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Béji Caïd Essebsi à Ettadhamen : C'est la première fois qu'un responsable rend visite à ce quartier !
14/01/2018 | 11:44
2 min
Béji Caïd Essebsi à Ettadhamen : C'est la première fois qu'un responsable rend visite à ce quartier !

Le président de la République, Béji Caïd Essebsi s’est rendu ce matin du dimanche 14 janvier 2018, à Cité Ettadhamen pour inaugurer la maison de Jeunes du quartier, à l’occasion de la célébration du 7ème anniversaire de la Révolution.

 

 

 

 

 

Le président de la République a assuré que cette année sera réservée exclusivement aux jeunes, soulignant qu’ils représentent une grande partie des chômeurs, dont plusieurs d’entre eux sont de hauts diplômés, « Nous sommes venus dans ce quartier populaire, et c’est la première fois qu’un haut responsable rend visite à ce quartier. Aujourd’hui, nous inaugurons cette maison de Jeunes, qui fût incendiée lors de la révolution. L’innovation dans ce projet, c’est qu’il s’agit d’un projet pilote, financé non seulement par l’Etat, mais aussi par des investisseurs particuliers », a-t-il assuré.

 

 

 

Et d’ajouter que les gens protestent contre plusieurs choses, dont, notamment, l’établissement des listes des blessés de la révolution. « Je vous promets que ça sera fait d’ici la fin du mois de mars. Aussi, des allocations seront attribuées aux familles défavorisées, cette initiative sera signée dans les heures qui viennent par le chef du gouvernement, outre les mesures qui ont été prises lors du conseil ministériel restreint qui a eu lieu hier ».

 

S.H



 

 

14/01/2018 | 11:44
2 min
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Commentaires (20)

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takilas
| 14-01-2018 21:32
Un quartier qui comprend plus d'un million d'habitants, dont leur nombre a considérablement augmenté au fil du temps depuis les années soixante jusqu'à ce jour.
La capitale Tunis est devenue, depuis lors, la convoitise pratiquement de toutes les couches sociales sans distinction, et son expansion est devenue faramineuses au détriment des terres agricoles des alentours de tunis connues par être les plus fertiles en Afrique du Nord.
Quelques unes de ces couches (ou catégories) sont intéressées par le recrutement dans les administrations (ministères ; sociétés étatiques) qui se sont développés dans cette pauvre capitale, tandis que d'autres recrutements sont soit interdépendants de ces administrations, ou exerçant dans le transport (marchandise, public dont les dizaines de milliers de taxis etc...) et d'autres par le commerce devenu florissant (cigarettes, friperies épiceries, légumes ainsi que le marché parallèle etc...). Donc les salaires alloués par l'État sont tous destinés à l'administration, sans productivité ni rentabilité.
Bref des emplois qui ne servent à rien pour l'économie tunisienne, sauf peut-être pour les sédentaires restés dans leurs villes qui profitent du monopole des marchés (dont les produits subventionnés par l'État) ou pour quelques agriculteurs qui arrivent à s'en sortir à bon escient. D'ailleurs ces derniers cités ont bénéficié de la quintessence du relâchement de l'État dans le développement de l'agriculture, quoique celle-ci est de même subventionné directement ou indirectement par l'État.
En somme, l'État tunisien est devenu au fil du temps une source indispensable pour le peuple tunisien, ou plutôt la source d'allaitement de ce peuple gâté et paresseux, qui prétexte qu'il n'y rien a rien à travailler dans les régions intérieures, alors qu'il bataille avec acharnement à habiter Tunis ; et refusé tout développement des dites régions justement pour avoir plus de chance d'habiter cette maudite Tunis la massacrée. .
En conclusion le temps précité et évalué à trois ou quatre décennies (d'exode rural et de concentration à Tunis) à engendré une accoutumance dans la poursuite de cette politique défaillante, laquelle politique à causé toutes les perturbations sociales, économiques et même de gouvernance, puisque avec toutes ces faiblesses stratégiques, même les plus médiocres, incultes et alléchés à savoir quelques partis (comme nahdha) sans connaissances appropriées, se sont mêlés à cette débandade et ce désordre, croyant qu'il s'agit d'un magasin (hanout) de djerbien à gérer.
Inutile de rappeler que les quinze siècles d'expansion et d'histoire élogieuse de la Tunisie, se sont éteints rien qu'en trois décennies dont surtout le dernier quinquennat.
Sahha lihom ki aabthou bina.
Et les mascarades continuent à l'avenue Habib Bourguiba de...la pauvre ville prestigieuse de Tunis.

AIRBORN
| 14-01-2018 20:19
pourrait mieux des salons de sport -piscines .Tennis pour tous les generations

citoyen artiste
| 14-01-2018 18:24
les nations mettent le paquet pour que l'enchantement soulage les citoyens déprimés
stressés découragés TOUT A UN PRIX Fini le bricolage Arrêtez avec la Culture au rabais
Toute proportion gardée regardez les commémorations cossues ce sont des remèdes
contre EL FADDA collective Des ACTIONS SPECTACULAIRES DE L'IMAGINATION telle de monter un HAPPENING DANS LE MARCHE DE GROS
par exemple: joindre l'ART LES ARTS à l'UTILE QUI INTERPELLE CONSCIENCE IMAGINATION ET VOLONTE DE SORTIR LA NATION
DU layssa fil imken ahssanou memma keen
DE LA GRANDEUR DE LA GRANDEUR ET DU PANACHE LA VIE EST BELLE IL EST PLUS SAIN
D'ALLER DANS LE SENS

le berbère
| 14-01-2018 18:12
je me demande naïvement ,est ce que le gourou qui adonné l'ordre à son excellence BCE d'aller visiter le nid d'abeilles islamistes ses enfants ou une simple décision de la part du vendu BCE ? la cité ettadhamen est bourrée de camps d'entrainement des islamistes jihadistes dans plusieurs spécialités des arts de combats surtout les armes blanches .au lieu d'implanter une caserne militaire ,une autre pour la garde nationale et la troisième pour la police ,LE BCE ignore complètement ce que lui prépare le gourou .UN BON BAIN CHAUD AU VITRIOLE .UN LOUP PEUT TOUJOURS TUER SON FRÈRE RIEN QUE POUR UNE VIEILLE LOUVE EN CHALEUR .

VOILA UN SIMPLE ET MODESTE RESUME DES INAUGURATIONS DE ESSISSI :
inauguration du chantier des centrales atomiques pour la production d'éléctricité .
un canal hydraulique matrin pour augmenter la capcité de circulation des bateaux .
renouvellmeent du reseau ferroviaire du pays .
DES ROUTES
DES ROUTES ?
DES ROUTES
DES ECHAGEURS
DES LOGEMENTS
ETC
ETC
ETC
j'ai honte d'entendre que le président BCE INAUGURE UNE MAISON DE JEUNESSE DEJA DÉTRUITE PAR LES ENFANTS DU GOUROU .
JE NE SUIS ET NE SERAIS JAMAIS D'ACCORD QUE C'EST UNE RÉVOLUTION ,CERTES S'IL Y A EU UNE RÉVOLUTION OU SONT ALORS LES GUILLOTINES ?

kbwebkb
| 14-01-2018 17:18
Pourquoi les elus locaux ne sont jamais impliqués et mis en valeur? Pourquoi on ne leur demande jamais des comptes voir les déchoir de leur mandat en cas de manquement grave?

Warda
| 14-01-2018 15:23
Infos mosaique fm : après le départ de BCE, ce centre a été volé de vélos, matériel, etc....plein de vols à l'intérieur se sont produit !!!

Que faire contre ces voyous ??????

C'EST SCANDALEUX ! HONTEUX !!

Jilani
| 14-01-2018 15:17
U. Président qui se croit trop intelligent et prend les tunisiens et surtout les jeunes pour des debiles. Alors que tout ce qu'il fait et dit ne résoudra aucun problème avec se consensus de merde et des intérêts pour sa famille. On en a marrrrre de supporter ces pingouins.

Leila Ben Salem
| 14-01-2018 15:15
Une chose est certaine,il ne se serait jamais deplace a la cite Ettadhaman s il n y avait pas eu les manif de cette semaine.La comedie macabre de Mafsoud Eddaoula pardon de Mafhoum eddaoula continue et personne ne peut l arreter.

A4
| 14-01-2018 15:07
HIER
Ecrit par A4 - Tunis, le 14 Janvier 2017

Hier j'ai pleuré
J'ai pleuré de tristesse
Comme un gosse en détresse
Aux ballons crevés

Hier j'ai pleuré
Comme un tout petit môme
Entouré de fantômes
Laids et dépravés

Hier j'ai pleuré
Comme quelqu'un qui a peur
De ces bipèdes sans coeur
Chargés de corvées

Hier j'ai pleuré
Toutes les larmes de mon corps
Dans ce mauvais décor
Fade et délavé

Hier j'ai pleuré
En pensant à ma "rév"
En pensant à mes rêves
Qui m'ont esquivé

J'ai pleuré hier
Quand au soleil couchant
Je l'ai trouvée à terre
Bien qu'elle ait six ans

takilas
| 14-01-2018 15:02
Un quartier qui comprend plus d'un million d'habitants, dont leur à considérablement augmenté au fil du temps depuis les années soixante jusqu'à ce jour.
La capitale Tunis est devenu depuis lors la convoitise pratiquement de toutes les couches sociales sans dodtinction.
Quelques unes de ces couches (ou catégories) sont intéressés par le recrutement dans les administrations qui se sont concentrées dans cette capitale, tandis que d'autres sont soit interdépendants de ces administrations, ou concernées par le transport (marchandise, public dont taxis etc...) et d'autres par le commerce devenu florissant (cigarettes, friperies épiceries, légumes ainsi que le marché parallèle etc...).
Bref des emplois qui ne servent à rien pour l'économiste tunisienne, sauf peut-être pour les sédentaires qui profitent du monopole des marchés (dont les produits subventionnés par l'État) ou quelques agriculteurs qui arrivent à s'en sortir à bon escient. D'ailleurs ces derniers cités ont bénéficié de la quintessence du relâchement de l'État dans le développement de l'agriculture (quoique celle-ci est de même subventionné directement ou indirectement par l'État.
En somme, l'État tunisien est devenu au fil du temps une source indispensable pour le peuple tunisien, ou plutôt la source allaitement à ce peuple gâté et paresseux qui prétexte qu'il n'y rien à travailler dans les régions intérieures, alors qu'il bataille. Avec acharnement à Tunis ; et refusé tout développement de dites régions justement pour avoir plus de chance d'habiter cette maudite Tunis la massacrée. .
En conclusion le temps précité et évalué à trois ou quatre décennies (d'exode rural et de concentration à Tunis) à engendré une accoutumance dans la poursuite de cette politique défaillante, laquelle politique à causé toutes les perturbations sociales, économiques et même de gouvernance, puisque avec toutes ces faiblesses stratégiques, même les plus médiocres, incultes et alléchés dont quelques partis (comme nahdha) sans connaissances appropriées, se sont mêlés à cette débandade et ce désordre, croyant qu'il s'agit d'un magasin (hanout) de djerbien à gérer.
Inutile de rappeler que les quinze siècles d'expansion et d'histoire élogieuse de la Tunisie, se ont éteints rien qu'en trois décennies dont surtout le dernier quinquennat.
Sahha lihom ki aabthou bina. Et les mascarades continuent à l'avenue Habib Bourguiba de...la pauvre ville prestigieuse de Tunis.