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Lazhar Akremi dépose une plainte contre Chafik Jarraya et Borhène Bsaies
17/11/2017 | 17:40
1 min
Lazhar Akremi dépose une plainte contre Chafik Jarraya et Borhène Bsaies

Lazhar Akremi, ex-secrétaire d’Etat au ministère de l’Intérieur et ancien membre de Nidaa Tounes, a déposé aujourd’hui, vendredi 17 novembre 2017, une plainte contre le chargé des affaires politiques de Nidaa Borhène Bsaies et l'homme d'affaires Chafik Jarraya.

 

Contacté par Business News, Lazhar Akremi explique que cette plainte est motivée par « des soupçons de malversations » liés à un bien mal acquis ayant servi à la création d’une école privée dans le quartier résidentiel d’Ennasr (L’Ariana). Une école gérée par l’épouse de Borhène Bsaies et une deuxième dame ayant entretenu des relations avec Chafik Jarraya.

« Le contrat d’acquisition du bien foncier ayant servi à la création de cette école a été falsifié », explique-t-il, ajoutant que l’origine des fonds de cette école et leur traçabilité seraient « douteuses ». « Il y a des zones d’ombre dans la création de cette école et ce sera à la justice de faire la lumière sur ça », a-t-il ajouté.

 

Lazhar Akremi précise avoir été contacté par le ministère public suite à son intervention, à ce sujet, sur la chaîne Tounessna datant de deux jours. Lors de son intervention, il a affirmé que le local en question est  un bien confisqué appartenant à l'Etat.

 

S.T.


17/11/2017 | 17:40
1 min
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Commentaires (15)

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ourwa
| 19-11-2017 17:43
Ou bien vous n'avez rien compris à mon commentaire ourwa| 18-11-2017 16:57, ou bien vous faites semblant... C'est vrai que "pire" veut dire "plus grave" et là-dessus vous vous embrouillez. Dans mon commentaire du 18/11, mon intention n'était nullement d'amoindrir la gravité de ces profiteurs par rapport aux agissement de l'Etat en le domaine, bien au contraire... Mais je voulais tout simplement pointer cette réalité évidente du pays: quand la corruption et le vol, les profits indus, aussi bien économiques que politiques, deviennent la ligne essentielle de gouvernance, c'est que le pays dérive allègrement vers une dictature évidente, sous couvert d'une démocratie de pacotille...surtout quand cette pseudo démocratie est entretenue et soutenue par un mouvement islamo-fasciste notoire...
" Quand le chat n'est pas là, les souris dansent", dit le proverbe; l'absence de contrôle et de sanctions contre ces profiteurs par l'Etat ouvre une autoroute à tous les escrocs, voleurs, corrupteurs et corrompus... C'est ce qui s'est passé sous le règne du dictateur ben Ali, mais aussi sous celui de son parrain Bourguiba. C'est ce qui se passe actuellement sous le règne de BCE-islamistes...
Ce qu'entreprend Chahed comme "actions" contre la corruption n'est que de la poudre aux yeux,mais une poussière insignifiante dans l'oeil du cyclope de la corruption et du vol généralisés, publics et privés...
La nature a horreur du vide! Est-ce ainsi, pour remédier à ce constat, que vous ressortez, comme une vieille ritournelle, vos anciens poèmes...
On aurait aimé que vous rappeliez l'exhortation de Chahed dans ses actions de combattre la corruption, exhortations formulées par des partis d'opposition à s'attaquer au mal de la corruption au sein même de l'Etat, de ses institutions, de son Administration, en même temps... Lise-vous les journaux? Ecoutez-vous les propos des uns et des autres? J'en doute!... A moins que vous soyez un adepte inconditionnel de cet Etat des choses...

Bab ezzira
| 19-11-2017 11:54
Ce qui m'intrigue chez ce bon homme c'est que la majorité de ses déclarations et apparitions médiatiques n'ont de but que de dénigrer NIDA TOUNES.
Il existe mille et un défauts et dépassements chez les autres partis mais notre L.A. ne choisit de voir et d'attaquer que NT. Que cherche t il ????? Ses actions sont-elles innocentes ???? Y'a-t-il quelqu'un qui se cache derrière lui ???? Pleins de questions qui méritent réflexion de la part de n'importe quel bipède sur ce sol de Tunisie et du belvédère en particulier.
Mon ami Santa Louza de Bab Edzira ce grand philosophe aux ailes coupés conseille notre grand maitre et grand grand militant des droits des singes de se trouver un autre créneau pour réussir ses nouvelles apparitions cauchemardesques. Pour Santa, Lazhar n'est autre qu'un vulgaire cheval de Troie, c'est un judas par excellence au service des adversaires de NT.
Remarquez que cet individu ne s'attaque jamais jamais aux frérots de la sectes ou aux anarchistes qui essayent de détruire la Tunisie : DROLE DE HASARD !!!!

A4
| 19-11-2017 11:18
Il y a pire que la dictature, il y a les profiteurs affamés !!!
Définition: pire veut dire plus mauvais. Ce qui veut dire qu'avant c'était mauvais, très mauvais même, mais maintenant ça l'est encore plus !
Sinon, pourquoi notre situation ne fait qu'empirer de jour en jour ?
Alors à tous ces profiteurs affamés:

LA VACHE
Ecrit par A4 - Tunis, le 08 Septembre 2016

La pauvre vache est à terre
Sortez vite vos longs couteaux
Sans retenue et sans prière
Servez-vous quelques bons morceaux

Elle est là, raide, sans défense
Son doux museau est dans la boue
Préparez vos chants et danses
Amusez-vous comme de vrais fous

Sortez-nous vos vieilles gamelles
Aiguisez vos canines et dents
L'occasion est des plus belles
Attaquez poitrine et puis flancs

Découpez, n'ayez pas honte
Oubliez ses yeux larmoyants
Charcutez sans tenir compte
De son long râle gémissant

C'est aujourd'hui qu'il faut le faire
Demain ça sera sûr trop tard
Profitez de cette nouvelle ère
Empiffrez-vous de gras et lard

Charcutez, peuple d'affamés
Gavez-vous, c'est de la vachette
Qu'elle soit crue ou même cramée
Ne laissez-en aucune miette

Enfoncez encore vos hachettes
Faites jaillir et couler son sang
N'ayez pitié de la "pauv' bête"
Le temps n'est pas aux sentiments

Taillez encore, la chair est fraîche
Ce n'est pas elle la vache qui rit
Le temps n'est pas du tout aux prêches
Le temps est à la barbarie !

sauvons la nation tunisienne
| 19-11-2017 10:24
SVP n'essayez pas de nous faire pleurer avec les beys, n'en faites pas une tragédie. COmme tous les autres envahisseurs ils ont coloniser en partie le Maghreb en pillant, tuant, raptant femmes et enfants expédiés à l'époque vers Damas alors capitale de leur sublime porte, femmes et enfants réduits en esclavage immonde. Que ne dénoncez-vous cette gigantesque injustice ? Pourquoi pleurer sur les ottomans et leurs beys pour argumenter votre vision de la corruption en Tunisie.

Ce que je retiens c'est que toute forme de corruption doit être dénoncée sous n'importe quelle forme et par qui que ce soit mais pas en pleurant sur le sort des beys.

Foued Foued
| 19-11-2017 08:18
Bravo bonne continuation lazhar akrmi , je pense qu'il y on a beaucoup de tunisiens comme B Bsais

Abel Chater
| 18-11-2017 19:46
Absolument d'accord avec Lazhar Akrémi, tout en saluant son courage et son patriotisme concernant sa lutte contre ces gangrènes de la République, Borhèn Bsaïes et Chafik Jarraya. Toutefois, il n'a pas le droit de virer la Justice tunisienne vers Jésus Christ (alayh Salam) et vers sa "Mère Térésa de Calcuta". Lorsque les Trabelsia et tout le régime déchu de Ben Ali appauvrirent des milliers de Tunisiens, pour s'enrichir eux-mêmes, personne n'a pensé à aider leurs victimes même par un tout petit mot. Il n'y avait qu'une concurrence pour «jeter la première pierre» sur les opposants de la famille régnante.
Lorsque le défunt dictateur déchu Bourguiba destitua le Roi de Tunisie "Bey", sa Maîtresse Wassila Ben Ammar enleva les pantoufles de la Princesse «fille du Bey», l'ayant chassée les pieds nus. La famille du Bey se transforma en vendeurs de "Lèblèbi" et de "Keftèji". Pourquoi personne n'a évoqué la gigantesque INJUSTICE contre le Bey et sa famille, alors que ceux qui se préparent pour un éventuel morceau du gâteau caché ici ou là par les résidus du régime déchu de Ben Ali, se transforment en des "humanistes" et en des "humanitaires" contre la volonté de la JUSTICE et de sa jurisprudence dans cette deuxième République tunisienne, par laquelle ce même Lazhar Akrémi gagne son pain.
Si à chaque criminel qui a détruit des familles, tout un peuple et tout un pays, on lui cherchait des excuses jusqu'à lui verser des larmes de crocodiles afin d'hypnotiser le peuple et l'ensemble de sa Justice, on devrait fermer les tribunaux et les prisons. Pourquoi donc rédiger et préparer des dossiers par milliers de documents pour élucider la vérité, alors que par un simple discours télévisé de Lazhar Akrémi, nous voyons ces hypocrites sur le plateau, se transformer en de lézards de muraille avec la gesticulation de leurs têtes et les mimiques de leurs visages, sans pour autant qu'ils ne s'imaginent pour une seule seconde à la place des victimes de ces monstres. Ces mêmes monstres qu'ils cherchent maintenant à les faire sortir par les fenêtres de sentiments inappropriés à la souffrance dont avait vécu le peuple tunisien.
Que Monsieur Lazhar Akrémi et ces malins de la télévision aillent voir Monsieur Kheireddine Kallel, ruiné par les Trabelsia jusqu'au handicap physique, s'il est encore en vie. Le propriétaire d'Electro Kallel, n'est qu'une victime parmi des milliers. Qu'ils créent une association d'aide aux victimes du régime déchu de Ben Ali ou du moins, qu'ils soutiennent l'IVD de Sihèm Ben Sédrine à leur restituer même un tant soit peu de leur dignité humaine, au lieu de pleurnicher la pauvreté théâtrale de leurs bourreaux, sans vouloir évoquer les richesses qu'ils cachent encore sous les cendres de Chafik Jarraya, de Borhèn Bsaïes, de Samy El-Fehri, de Moez Ben Gharbia et de tant d'autres anciens pions des Trabelsia et du régime dictatorial déchu de Ben Ali.
Hu, huu, huuu !!! Pourquoi les contribuables ne versent-ils pas un salaire aux familles de leurs bourreaux, alors que les jeunes Tunisiens et presque toutes les familles de ce qu'ils appellent eux-mêmes «zones de l'ombre», ne trouvent ni travail, ni même une allocation de chômage pour garder leur dignité humaine, piétinée par 55 années de dictature régionaliste aveugle?

ourwa
| 18-11-2017 16:57
Croyez-vous avoir raison,A4, en disant :" Il y a pire que la dictature, il y a les profiteurs affamés !!"? (sic). ne pensez-vous pas que les dictateurs sont aussi-et surtout- des profiteurs à une très grande échelle, à l'échelle nationale, mais aussi internationale; pratique accompagnée la répression policière et l'embastillement des opposants politiques?... mais cela ne dédouane pas Lazhar Akremi et son parcours professionnel et politique plus que sombre... Ce constat ne lave pas non plus des charges qui pèsent lourdement sur Chafik Jarraya... Il faut revenir à l'Histoire :
- Le 11 juin 1910, donc avant la révolution, feu Chokri Bel-Aïd publiait dans Média Plus une chronique concernant Lazhar Akremi, en réponse aux diffamations de celui-ci le visant. Bel-Aïd retraçait dans le détail le sombre parcours de Akremi en tant qu'étudiant dans la Syrie de Hafez el-Assad, où il a appris l'art de rédiger des rapports... Au début des années 90, il est attaché de presse auprès du ministère de la justice. Nous sommes encore sous la botte féroce de Ben Ali...dont Akrémi fait l'éloge, comme il ne cesse de rédiger des rapports incendiaires contre les avocats indépendants...ce qui lui valut son rattachement à l'étude de l'avocat Mhiri, fondateur des Avocats RCDistes...
Il fut chargé de dénigrer Bochra Bel-Hamida( aujourd'hui député), l'ancienne présidente de l'Association tunisienne des femmes démocrates
Il est l'auteur d'un rapport diffamatoire contre le résistant à l'Etranger, Kamel Jendoubi.
Le titre de cette chronique de Chokri Bel-Aïd était " L'histoire personnelle d'un petit rapporteur" ( Par "rapporteur", il faut entendre "indicateur")
---Le 21 juin 2013, dans le média babnet.tn, Abderraouf Ayadi résume le contenu de la chronique de Bel-Aïd...et rappelle que depuis plus d'un an, Akremi touche 200 (deux cents) dinars( mensuels? quotidiens?...)pour son travail continu de lustrage de l'image du régime de ben Ali dans le domaine des Droits de l'Homme... A noter que la page relatant cette dernière précision dans la version française de Babnet Tunisie s'affiche vide...avec, écrite en gros, l'avis suivant: "La page demandée n'est malheureusement pas disponible" (sic). Étonnant, non?!
Le plus drôle... c'est que Lazhar Akremi, selon le présent article de BN, s'attaque avec virulence au journaliste Borhène Bsaies, dans une affaire de détournement de fonds publics à travers l'épouse de celui-ci , laquelle épouse aurait construit grâce à ces fonds indus, une école privée en collaboration avec une autre dame, une ancienne connaissance de Rafik Jarraya dans une affaire supposée de détournement de fonds publics etc... Et voilà la boucle bouclée.
Tout comme Jarraya, ancien associé d'affaires avec Imed Trabelsi et copain d'un terroriste libyen, tout comme Lazhar Akremi, Borhène Bsaïes était un laudateur acharné de Ben Ali et de son régime. C'est de notoriété publique et il est utile de le rappeler...
Ainsi, avec son historique sombre et infect,Lazhar Akremi ferait bien de se taire, car en remuant la m...de comme il le fait, m...de à laquelle il a largement contribué, il expose, encore une fois, sa duplicité, son hypocrisie et sa véritable personnalité, une personnalité faite de trahisons, de diffamations, de prosternations devant des dictateurs patentés, d'associations avec des criminels médiatiques, financiers...et apparemment terroristes...
Au cas où le vent tourne définitivement contre Lazhar Akremi, cher A4 (18-11-2017 09:05), pensez-vous que son ancien maître Ben Ali le sauverait du cachot...et lui attribuerait l'"asile" auprès de lui?

Alya
| 18-11-2017 15:43
Encore Bravo!!!

A4
| 18-11-2017 09:05
Il y a pire que la dictature, il y a les profiteurs affamés !!

Alexandre Dumas
| 17-11-2017 23:43
Son franc parler dénote d'une honnêteté et d'une sincérité sans faille!! B.Bsaïes risque d'être dans de sales draps!!