Mais ce que je reproche à ce Daimi qu'il n'a rien fait quand il était au pouvoir pour arrêter ce genre de mascarade.
Fehri ignore que l'étau se resserre de plus en plus et qu'il n'échapera pas des conséquences de ce danger.
G&G
RCDiste et fier
Surfant sur le "débat" actuel à propos du jeu télévisé de Sami Fehri et l'envoi des SMS surtaxés, le député Irada Imed Daimi a indiqué que ce type de jeu est interdit et que les montants des messages devaient être payés par l'organisateur et non par le participant.
Le député indique qu'il a adressé une réponse verbale au ministre concerné Zied Laâdhari depuis le mois de février dans ce sens, mais qu'il refuse jusqu'à présent de venir répondre. Dans les faits, la question de Imed Daïmi était planifiée lors d'une séance d'audition du ministre du Commerce Zied Laâdhari, datant du 28 février dernier. Séance d'audition à laquelle ledit député n'a pas daigné se présenter, même s'il en a été préalablement notifié, et n'a pas pu, donc, avoir réponse à sa question.
Dans son post, Imed Daïmi indique que le ministre ne veut pas assumer sa responsabilité pour "sanctionner ces réfractaires au bras long" et fait observer "le silence de la présidence du parlement devant ce ministre capricieux". C'est à se demander qui du ministre ou du député a failli à sa responsabilité.
Pour justifier ses propos relatifs à la nécessité d'interdire ces jeux de hasard télévisés, Imed Daimi évoque des lois remontant à 1974 (C'est à dire avant même la création des sms) et d'autres datant de 1992, 1998 et 2002 qui parlent plutôt des jeux promotionnels et non de ce type de SMS surtaxés. Dans sa lettre, M. Daimi oublie cependant d'évoquer la dernière loi des Finances qui réglemente ce type de jeux et prévoit une surtaxe conséquente.
À noter que ce type de SMS surtaxés permet aux médias audiovisuels d'avoir une certaine indépendance financière vis à vis des annonceurs et d'éviter de faire appel à l'argent politique à l'instar de chaînes si chères à M. Daimi and co.
Surfant sur le "débat" actuel à propos du jeu télévisé de Sami Fehri et l'envoi des SMS surtaxés, le député Irada Imed Daimi a indiqué que ce type de jeu est interdit et que les montants des messages devaient être payés par l'organisateur et non par le participant.
Le député indique qu'il a adressé une réponse verbale au ministre concerné Zied Laâdhari depuis le mois de février dans ce sens, mais qu'il refuse jusqu'à présent de venir répondre. Dans les faits, la question de Imed Daïmi était planifiée lors d'une séance d'audition du ministre du Commerce Zied Laâdhari, datant du 28 février dernier. Séance d'audition à laquelle ledit député n'a pas daigné se présenter, même s'il en a été préalablement notifié, et n'a pas pu, donc, avoir réponse à sa question.
Dans son post, Imed Daïmi indique que le ministre ne veut pas assumer sa responsabilité pour "sanctionner ces réfractaires au bras long" et fait observer "le silence de la présidence du parlement devant ce ministre capricieux". C'est à se demander qui du ministre ou du député a failli à sa responsabilité.
Pour justifier ses propos relatifs à la nécessité d'interdire ces jeux de hasard télévisés, Imed Daimi évoque des lois remontant à 1974 (C'est à dire avant même la création des sms) et d'autres datant de 1992, 1998 et 2002 qui parlent plutôt des jeux promotionnels et non de ce type de SMS surtaxés. Dans sa lettre, M. Daimi oublie cependant d'évoquer la dernière loi des Finances qui réglemente ce type de jeux et prévoit une surtaxe conséquente.
À noter que ce type de SMS surtaxés permet aux médias audiovisuels d'avoir une certaine indépendance financière vis à vis des annonceurs et d'éviter de faire appel à l'argent politique à l'instar de chaînes si chères à M. Daimi and co.