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Béji Caïd Essebsi s'engage à ne poursuivre aucun journaliste
18/12/2014 | 16:40
1 min
Béji Caïd Essebsi s'engage à ne poursuivre aucun journaliste
Le candidat au second tour de la présidentielle, Béji Caïd Essebsi s’est engagé, lors de son passage à la station Jawhara FM, dans la journée du jeudi 18 décembre 2014, de ne jamais poursuivre un journaliste et ne jamais porter atteinte à la liberté de la presse, s’il est élu président de la République.

Béji Caïd Essebsi s’est adressé à l’animateur de l’émission à laquelle il a accordé une interview, Zouheir El Jiss et contre qui le président de la République sortant a déposé plainte, lui assurant qu’il ne suivra pas ce même exemple. L’engagement pris par Béji Caïd Essebsi a été établi en manuscrit sur la charte préétablie par la radio Jawhara FM en trois points : le respect de l’intelligence du citoyen et de l’électeur en évitant de faire usage de la langue de bois ou un discours populiste, le respect de la dignité humaine et la vie privée et ne pas porter atteinte à l’ordre public et la défense nationale, et la non diffusion d’un discours incitant à la haine ou la violence ou encore au racisme.

Na.B
18/12/2014 | 16:40
1 min
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Commentaires (4) Commenter
borhan
nazou
| 18-12-2014 19:18
Un acquis est un acquis !!!
BCE là parfaitement compris, l'histoire ne revient jamais en arrière.
Il ne se mettra jamais la liberté de la presse à dos, maintenant qu'elle a goûtée à la liberté d'expression.
Alors agitez tous les chiffons du passé.
Après tout, vous avez opté pour un agité du cerveau.
UN PEUPLE AVERTI EN VAUT DEUX
SALOMBO
| 18-12-2014 18:33
La Tunisie a besoin de discours, en l occurrence, rassurant et apaisant. Mr le président sortant n a jamais fait autant de promesse que ces derniers jours. Mais il était où les trois dernières années écoulées?. Pendant que ses citoyens dormaient dans le froid et buvaient de l eau non potable, il était où pendant que ses citoyens s immolaient par manque de justice, il était où quand les tunisiens s entretuaient entre eux, il était où quand les tunisiens demandaient de vivre dans la dignité. Mr Marzouki était dans une autre planète différente de la leur il menait tout simplement une vie où le dollars et l euro coulaient à flot . il continu à utilisé le symbole des droits de l homme rien que pour s accrocher à son poste. Sa façon de demander aux tunisiens de lui accorder un mandat non renouvelable m a rappeler le président déchu ( Ben Ali) quand il a déclaré ils m ont trompé sur l état réel dans lequel se trouvait le pays. Vous êtes le problème de la Tunisie du moment, partez et si vous ne partez pas de vous même les urnes s en chargeront le 21/12/14 J. PREVERT a dit un homme(un peuple) averti en vaut deux.
Excellent
HatemC
| 18-12-2014 17:36
ça confirme que le Tunisien doits mesurer ses échanges avec les autres .... le respect des uns s'arrêtent là .... éthique ... déontologie .... des termes qui sont dénués de sens pour certains journalistes .... qu'ils apprennent le sens ....
Pourquoi poursuivre un journaliste voyou et lui donner de l'importance ... il sera sanctionné par le public et désavoué .... la balle est dans le camp des journalistes ... les professionnels doivent impérativement se recycler ... se moderniser ... apporter de l'information, on ne leur demande pas plus .... à nous de nous faire une opinion sur tel ou tel sujet sans aucune influence ....

Un vieux de la vieille ... Un journaliste HC
PAR SON PROPRE PIEGE...!
BORHAN
| 18-12-2014 17:05
Nous verrons bien dans quelques temps car durant cinq ans de pouvoir "bonapartiste", il se passera énormément de choses qui plaisent et qui déplaisent....
Monsieur ESSEBSI n'a pas besoin d'amadouer et de faire les yeux doux à une corporation qui est déjà acquise à sa cause.
Mais, demain sera une autre histoire.
Face au pouvoir, tout est permis et rien n'est acquis d'avance.
Monsieur Essebsi maîtrise bien ses rouages et ces subtilités à tel point il en fait trop.
En ce moment, il promet tout et à tout le monde...c'est ce qui fait le charme de la parole et du verbe.
Je paris que les médias se trompent sur toute la ligne car certains pratiquent déjà la censure et d'autres s'auto-censurent par peur de se retrouver à l'index au lendemain des résultats des urnes.
De ma part, je persiste à croire que c'est tout à fait compréhensible il faut quand même assurer quelque chose de l'après élection du ...