Mounir Khaireddine, secrétaire général régional de la section Tunis 1 du syndicat de l'enseignement secondaire a fait part, ce dimanche 19 janvier 2020, de sa solidarité et celle des autres syndicalistes avec l’enseignant au lycée Rue de Russie, arrêté pour suspicion de harcèlement sexuel.
Le syndicaliste a assuré que l’affaire est montée de toutes pièces et qu’elle a pris de l’ampleur « à cause de certains ne cherchant que le buzz et le sensationnel ». Il souligne, également, que le harcèlement est condamnable, toutefois les accusations infondées ne doivent devenir un moyen de règlement de compte.
Il a ajouté que le syndicat va soutenir les enseignants du lycée Rue de Russie dans leur mouvement de protestation, appelant le ministère de l’Education ainsi que les deux délégations régionales à rendre public, obligatoirement, les résultats des enquêtes administratives. Le syndicat a, également, revendiqué la libération de l’enseignant accusé, jusqu’à sa comparution devant la justice le 29 janvier 2020.
Rappelons que les cours au lycée Rue de Russie sont suspendus depuis le 10 janvier 2020, suite à une grève ouverte observée par les enseignants solidaires avec leur collègue détenu dans une affaire de harcèlement sexuel contre une lycéenne qui étudiait dans cet établissement.
S.H
S'il est innocent, le juge va le blanchir.
vous pénalisez les élèves innocents en faisant grève en plus vous êtes payés par les impôts de leurs parents.
C est de l escroquerie et rébellion contre l Etat.
C"est cela l UGTT.
Des bandits au au-dessus des lois.