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Hafedh Zouari: L'Accord de Carthage 2 portera atteinte à la stabilité du pays
21/05/2018 | 23:10
1 min
Hafedh Zouari: L'Accord de Carthage 2 portera atteinte à la stabilité du pays

Le député Afek Tounes Hafedh Zouari a appelé, à travers un statut Facebook publié ce soir du lundi 21 mai 2018, "tous les Tunisiens patriotes soucieux de l'avenir du pays à faire face au projet de l'Accord de Carthage dans sa deuxième version".


"Cet accord est une atteinte à la stabilité du pays ainsi qu'à toutes les réalisations du gouvernement actuel depuis 18 mois. Ce gouvernement commence à cueillir les fruits de ses efforts et de sa lutte contre la corruption à travers l'augmentation du nombre des touristes et des investisseurs", indique Hafedh Zouari.

 

"Aller dans ce nouveau projet sur l'intiative de l'UGTT et de l'UTICA qui ont oublié leur rôle syndical engendredra la déterioration de la situation actuelle. Nous devons nous unir pour protéger la Tunisie de tout danger. Réveillez-vous!" a-t-il conclu. 

 

S.H

21/05/2018 | 23:10
1 min
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Commentaires (3)

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TMT
| 22-05-2018 14:09
Je soutiens largement cet appel !!
C'est tout dit.
Laissez nous tranquilles pauvres c... de politiciens ....

Lassaad
| 22-05-2018 08:28
Normal , pour lui " ça roule " avec ses camions . YC lui sert la soupe, son départ serait "grave" pour ses intérêts . Un lobby de plus dans le pays.

Abel Chater
| 22-05-2018 03:37
Absolument d'accord avec Hafedh Zouari. Limoger Youssef Chahed et le remplacer par un autre arriviste, ne fera que compliquer et freiner le travail du gouvernement. Il ne reste qu'un an pour les préparatifs des prochaines élections législatives et présidentielles. Youssef Chahed fait un beau travail. Il a réussi à se transformer en une personne charismatique en ce peu de temps. Il travaille beaucoup et ne cherche pas à voler les acquis de ses ministres. Il se laisse faire par le président Béji Caïd Essebsi, jusqu'à l'humiliation. Au lieu d'être par son pouvoir législatif au-devant du président de la République, suivant les prérogatives de tout régime parlementaire, il se rabaisse et s'aligne avec tous ses ministres, pour satisfaire la nostalgie maladive du président Béji Caïd Essebsi. On dirait que ce même Béji Caïd Essebsi, qui imite encore les deux dictateurs déchus Bourguiba et Ben Ali, en se réservant le fauteuil au bout de la table, qu'il ne regarde pas les informations, comment les présidents des démocraties dirigent leurs réunions de travail, du milieu de la table, non pas d'où il tord les cous de ses interlocuteurs, qui sont dans les vraies démocraties, des collègues, non pas ses sujets.