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Habib Rachdi : Sahbi Atig est responsable de l'entrée de 452 mercenaires sur le territoire tunisien (Vidéo)
01/02/2014 | 1
min
Habib Rachdi : Sahbi Atig est responsable de l'entrée de 452 mercenaires sur le territoire tunisien (Vidéo)
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Le secrétaire général adjoint du syndicat de la sécurité républicaine, Habib Rachdi a indiqué sur les ondes de Mosaïque Fm que le dirigeant du mouvement d’Ennahdha, Sahbi Atig est responsable de l’entrée de452 mercenaires sur le territoire tunisien.

Habib Rachdi a indiqué, également, qu’il a reçu des informations selon lesquelles, Sahbi Atig a donné de l’argent à des habitants de la cité Ettadhamen pour semer la pagaille, et ce pendant la fête de la révolution « nous avons avisé les parties concernées de ses données, et la suite des évènements a confirmé nos dires », a-t-il souligné.

D’autre part, le secrétaire général adjoint du syndicat de la sécurité républicaine, a révélé que la dernière communication relevée par les services de sécurité vers le mont Châambi, provenait de Walid Bennani, or aucune enquête n’a été ouverte à ce sujet et le dirigeant islamiste n’a même pas été interrogé.

Concernant, le terroriste Kamel Zarrouk, M.Rachdi s’est interrogé sur les moyens qui permettaient à ce dernier à s’échapper à chaque fois que les unités de sécurité tentent de l’arrêter, sans oublier qu’il circule librement entre la cité Ettadhamen et Jebel Lahmar. Il a ajouté que le terroriste Kamel Gadhgadhi circulait librement entre la cité El Ghazela, Raoued et la cité Ettadhamen.

« Ce ne sont pas les terroristes qui nous font peur, mais ce sont les directives que nous recevons, et qui ont permis à des terroristes comme Zarrouk ou Gadhgadhi, de prendre une envergure démesurée».

Dernier point évoqué par Habib Rachdi a été celui de la prison Ennadhour que le président Marzouki, aidé par l’ancien ministre de la Justice, Noureddine Bhiri, a prétendu avoir fermée en jouant sur l’autre appellation de Borj Erroumi. « Or, il s’agit d’une opération de diversion à des fins politiques et propagandistes car les deux appellations concernent une seule prison », conclut-il en substance.

S.H
01/02/2014 | 1
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