Le député Ennahdha, Habib Khedher, a estimé que le président de la République Béji Caïd Essebsi a commis une grave faute en ce qui concerne la dualité du pouvoir exécutif.
«Ma conviction et celle de l’Assemblée nationale constituante, c’est que la mise en place d’un pouvoir exécutif avec deux têtes était la garantie de la réussite de transition démocratique dans notre pays», a-t-il martelé.
M. Khedher n’est pas d’accord avec le chef de l'Etat en ce qui concerne l’amendement de la Constitution. Il estime que les deux idées développées par le président Caïd Essebsi sont en opposition. Pour lui, c’est un non-sens d’amender la Constitution alors que le processus de mise en place du régime politique n’a pas été achevé. Il considère donc qu’il faut finir d’abord, évaluer puis changer ce qui est nécessaire.
Il a tenu à rappeler qu’il est impossible de changer quoi que ce soit pour le moment vu qu’un intervenant essentiel manque encore : le Tribunal constitutionnel.
I.N
Habib Khedher : Béji Caïd Essebsi a commis une faute grave !
Le député Ennahdha, Habib Khedher, a estimé que le président de la République Béji Caïd Essebsi a commis une grave faute en ce qui concerne la dualité du pouvoir exécutif.
«Ma conviction et celle de l’Assemblée nationale constituante, c’est que la mise en place d’un pouvoir exécutif avec deux têtes était la garantie de la réussite de transition démocratique dans notre pays», a-t-il martelé.
M. Khedher n’est pas d’accord avec le chef de l'Etat en ce qui concerne l’amendement de la Constitution. Il estime que les deux idées développées par le président Caïd Essebsi sont en opposition. Pour lui, c’est un non-sens d’amender la Constitution alors que le processus de mise en place du régime politique n’a pas été achevé. Il considère donc qu’il faut finir d’abord, évaluer puis changer ce qui est nécessaire.
Il a tenu à rappeler qu’il est impossible de changer quoi que ce soit pour le moment vu qu’un intervenant essentiel manque encore : le Tribunal constitutionnel.
Une nouvelle page est tournée dans l'histoire de la Tunisie.
C'est la naissance de la démocratie musulmane, déjà expérimentée au Maroc et maintenant totalement institutionnalisée en Tunisie pour vraisemblablement être généralisée au Maghreb.
YC a pris la bonne direction, celle du cours de l'histoire !
Ceux qui pensent le contraire, font semblant de ne pas comprendre parce que jouant le jeu des anciens maîtres du Maghreb. Mais il n'en sont pas moins conscients de la réalité des choses.
Quand on y pense bien, à tête reposée, BCE n'a pas commis qu'une "faute grave", il a commis le péché originel, qui a totalement transformé la donne telle que la voulait la majorité du peuple tunisien, en admettant Ennahdha dans le saint du saint politique tunisien ! Et, depuis, ce pauvre peuple ne cesse de ramer....
Et qu est ce que vous attendez pour voter la loi et elire les membres de cette cours......sortez la de votre frigo et ne jouez pas sur plusieurs cordes....Tous les pays de la region ont leur cours constitutionnelle depuis des annees ..seuls Beji caied Essebsi et Ghannouchi n en veulent pas..parce qu ils ont des arrieres pensees pour la bloquer...ne soyez pas si hypocrite ya Si Khedher......
pour la premiere fois un khwanjee raisonne logiquement, tout a fait d'accord avec ce monsieur (il veulent l'appler le pere de la constitituon.,, hihihihi... et gassas l'oncle de la constittution et sonia ben toumia sa tante....) bref... surtout pas reunir le pouvoir executif en une seule main... imaginer ce bajnbouj a pu faire pour l'interet de son fils....
Désolé de le dire mais c'est la bande des islamophones déchaînés, je ne suis pas Nahdaoui mais ces gens ont au moins essayé contrairement à vous derrière vos écrans à insulter les gens, bande satanique de rien!!!
9allou néji caïd éTaxi !!!!!