Dernières news
Habib Essid reçoit l'ambassadeur d'Egypte
Le chef du gouvernement, Habib Essid, s’est réuni, aujourd’hui, lundi 2 mars 2015, avec Ayman Moucharrefa, ambassadeur de la République Arabe d'Egypte en Tunisie, au palais du gouvernement à la Kasbah.
Au cours de cette entrevue, le chef du gouvernement a souligné la solidité des relations séculaires entre les deux pays, exprimant la volonté du gouvernement de les renforcer et de les hisser à des paliers supérieurs.
Pour sa part, l'ambassadeur égyptien a remercié le gouvernement tunisien pour les mesures qu’il a prises pour faciliter l'évacuation des citoyens égyptiens travaillant en Libye à travers le territoire tunisien.
S.H
sur le fil
Dans la même Rubrique
Limogeage du premier délégué de Kairouan
28/03/2024
1
Commentaires (4)
Commenter
DICTATURE ET TERRORISME...!
FURRBY
| 03-03-2015 13:11
Depuis sa prise du pouvoir par la force, notre ami le dictateur Al-Sissi se bat pas contre un destin lourd à supporter...!
Hier, en plein centre du Caire, une bombe a explosé au sein même du grand tribunal laissant dernière elle des dizaines d'innocents...
Et, dire que le nouveau dictateur du pays est l'homme de la situation...!
Malheureusement,...
Piégé par sa propre naïveté, « otage » du nouvel ordre américain, docile serviteur des très riches « turbanés » du Golfe (excepté le Qatar), le nouveau larbin Al-Sissi aura-t-il le culot, l'audace et le courage de s'engager dans une guerre « même officieuse » chez le voisin libyen avec le risque d'embraser toute la région ?
Aura-t-il le choix de ne pas entraîner le pacifique peuple d'Egypte dans un naufrage inévitable ?
A-t-il encore la capacité à sortir indemne de son bourbier domestique, dont il est prisonnier, depuis son « putsch » usurpé par les armes à un peuple, foncièrement miséreux, assoiffé de liberté et de dignité ?
A-t-il encore une « lueur d'espoir » pour vaincre son propre dilemme, pour sauver sa peau au risque de subir le même sort que celui de feu Anwar Sadate, un arabo-musulman prix « Nobel de la paix » pour services rendus à'!) ?
Hier, en plein centre du Caire, une bombe a explosé au sein même du grand tribunal laissant dernière elle des dizaines d'innocents...
Et, dire que le nouveau dictateur du pays est l'homme de la situation...!
Malheureusement,...
Piégé par sa propre naïveté, « otage » du nouvel ordre américain, docile serviteur des très riches « turbanés » du Golfe (excepté le Qatar), le nouveau larbin Al-Sissi aura-t-il le culot, l'audace et le courage de s'engager dans une guerre « même officieuse » chez le voisin libyen avec le risque d'embraser toute la région ?
Aura-t-il le choix de ne pas entraîner le pacifique peuple d'Egypte dans un naufrage inévitable ?
A-t-il encore la capacité à sortir indemne de son bourbier domestique, dont il est prisonnier, depuis son « putsch » usurpé par les armes à un peuple, foncièrement miséreux, assoiffé de liberté et de dignité ?
A-t-il encore une « lueur d'espoir » pour vaincre son propre dilemme, pour sauver sa peau au risque de subir le même sort que celui de feu Anwar Sadate, un arabo-musulman prix « Nobel de la paix » pour services rendus à'!) ?
Pleurer, oui, mais pas seulement...
Gg
| 02-03-2015 19:31
Je ne voudrais pas mettre d'huile sur le feu, et encore moins de l'eau dans la rivière, mais n'importe quel hydrologue dira que les deux conditions principales pour limiter l'ampleur de ces catastrophiques inondations, sont:
1) Garder propres les caniveaux, les grilles d'égoûts et les canalisations. On ne dira jamais assez que les centaines de milliers de sacs plastiques abandonnés durant des mois, parfois des années, se retrouvent immanquablement sur les grilles d'égoûts et bouchent les tuyaux d'écoulement enterrés. Et ce en quelques minutes de déluge.
2) Respecter les étals naturels des cours d'eau. On ne construit pas en ces endroits, on laisse cet espace à la rivière ou à l'oued.
Pour n'avoir pas respecté cela, les villes de Montepellier et de Nîmes, en France, ont été saccagées plusieurs fois à l'automne dernier.
Les cours d'eau ont été forcés à passer dans des tuyaux enterrés, et là-dessus on a construit la ville: rues, parkings, immeubles. Eh bien l'automne dernier, les gros tuyaux enterrés ont littéralement explosé, soulevant tout ce qui avait été construit dessus!
Et la ville s'est retrouvée sous 50cm à 1m d'eau!
Bien fait, la connerie finit toujours par se payer. Trés cher!
1) Garder propres les caniveaux, les grilles d'égoûts et les canalisations. On ne dira jamais assez que les centaines de milliers de sacs plastiques abandonnés durant des mois, parfois des années, se retrouvent immanquablement sur les grilles d'égoûts et bouchent les tuyaux d'écoulement enterrés. Et ce en quelques minutes de déluge.
2) Respecter les étals naturels des cours d'eau. On ne construit pas en ces endroits, on laisse cet espace à la rivière ou à l'oued.
Pour n'avoir pas respecté cela, les villes de Montepellier et de Nîmes, en France, ont été saccagées plusieurs fois à l'automne dernier.
Les cours d'eau ont été forcés à passer dans des tuyaux enterrés, et là-dessus on a construit la ville: rues, parkings, immeubles. Eh bien l'automne dernier, les gros tuyaux enterrés ont littéralement explosé, soulevant tout ce qui avait été construit dessus!
Et la ville s'est retrouvée sous 50cm à 1m d'eau!
Bien fait, la connerie finit toujours par se payer. Trés cher!