Quelle tristesse de voire l'incompétence généralisée ...
Dans une interview à la BBC en anglais, le chef du gouvernement, Habib Essid, a reconnu vendredi 3 juillet, que la police avait été trop lente à intervenir lors de l'attentat sanglant dans un hôtel de Sousse, la semaine dernière. « Nous sommes vraiment désolés pour ce qui s'est passé », a-t-il dit.
Habib Essid a déclaré que « le temps de réaction, là est le problème », ajoutant que la police avait été bloquée partout, sans plus de précisions. « Les 38 touristes tués étaient nos invités. Ils étaient venus passer leurs vacances avec nous, mais ce qui s'est passé est une horreur inacceptable », a-t-il souligné.
Une minute de silence en hommage aux victimes a été observée, aujourd’hui même, en présence de Habib Essid et de plusieurs ministres sur les lieux du massacre. Au même moment, le Royaume-Uni s'est immobilisé et les drapeaux étaient en berne.
S.H
Commentaires (36)
CommenterDu retard que du retard ....
Quelle tristesse de voire l'incompétence généralisée ...
c'est ca
mr le ministre
VOUS NE VOUS EN SORTIREZ JAMAIS PEUPLE DE JERDHAN !
Une révolution lors de laquelle le même clown qui décrète aujourd'hui l'état d'urgence et des « mesures douloureuses » a vendu la Libye a l'OTAN pour que cette force sioniste en fasse la plus grande base d'Al Qaeda au monde.
Une base d'Al Qaeda entretenue en gazo-dollars par l'émirat dégoutant du Qatar qui aujourd'hui gouverne la Tunisie avec la CIA.
Vous pouvez créer des polices des plages, des polices touristiques, et même des polices des bains maures et des toilettes Turques, cela ne servira à rien !
Le pays a été démantelé par des islamistes obéissant a Moza dont la garde-robe est évaluée a des milliards de dollars, des beurres qui haïssent la Tunisie car leurs parents nettoient les excréments fumants des roumis en France, et des droit de l'hommistes qui travaillent pour le centre Carter et dont les comptes en banque offshores débordent de dollars.
Ecoutez-moi, lisez-moi, et retenez bien ce que je dis :
C'est la fin pour vous peuple de sales traitres que je respecte autant que les mouches qui survolent mon casse-croute au thon.
Vous êtes des traitres, des vendus, des colonisés, des êtres bas et sans dignité !
Le même destin que les Chiites d'Irak et les Libyens de Benghazi vous attend.
Votre vie oscillera au rythme des attaques sanglantes de DAECH et selon mes lectures et les informations que je viens de recevoir, les attentats de Sousse ne sont que le début d'une longue campagne de tueries, de cadavres, de sang, et de voyages sans retour pour la morgue !
VIVE LE NATIONALISME ARABE !
A BAS LE PEUPLE TUNISIEN DE TRAITRES !
VIVE MOUAAMAR KADHAFI !
F.M. Alias JOHN WAYNE
Ancien Elève au Collège Sadiki.
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.
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Bravo mais il faut draguer bcp plus en profondeur
paralle
De s gens comme Seddik Talbi, Jaiet...sont une chance pour l'islam
Des intellectuels qui relèvent ce tabou pour détartrer les cerveaux en étudiant et en remettant en questions des lectures de la religion avec leur large spectre du savoir du 21ème siècle, ceux-là on devrait le bannir et les préserver car c'est par eux que l'islam peut prospérer et revivre en symbiose avec les soucis de la société contemporaine.
Les obscurantistes conservateurs populistes qui politisent l'islam, sont un danger fatal pour cette religion. Il suffit de regarder l'aboutissement de leurs idées et de leurs manoeuvres
La demission de certain de ce gouvernement d incapables
c est un marche qui aurait pu etre conclu entre Ennahdha(Ghannouchi) et Nidaa(BCE).Tous les deux ont des arrieres pensees et des avantages dans la nomination de Habib Essid au poste de chef du gouvernement......Le mal qui
ronge les institutions de l Etat vient de ces deux vieillards calculateurs manipulateurs sur le compte des interets du pays et du peuple.