C’est désormais l’escalade entre le ministère de l’Education et Lassaâd Yaâcoubi, secrétaire général du syndicat de l’enseignement secondaire par communiqués interposés.
Après le communiqué rendu public par le syndicat confirmant le boycott des examens de la semaine bloquée tout en continuant d’assurer le déroulement des cours ordinaires durant la même semaine, le ministère a publié, à son tour, un communiqué, appelant le corps enseignant à s’acquitter de sa tâche et d’assumer ses responsabilités en veillant à ce que les examens se passent selon l’agenda habituel durant ladite semaine bloquée.
Le même syndicat revient à la charge par le biais d’un communiqué rendu public, aujourd’hui dimanche 1er mars 2015 et signé Lassaâd Yaâcoubi pour s’élever contre ce qu’il appelle « la pression exercée par le ministère en vue de forcer les enseignants et les directeurs des lycées et collèges pour maintenir le déroulement des examens ou à défaut d’évacuer les élèves des établissement scolaires, ce qui signifie leur fermeture ».
Le syndicat « dénonce le comportement illégal du ministère qu’il considère comme une preuve de l’incapacité de l’autorité de tutelle à trouver une solution réelle à la crise actuelle qui ne peut trouver son issue qu’avec la satisfaction des revendications du syndicat », selon le même communiqué.
Et au syndicat de conclure en lançant un nouvel appel aux enseignants et aux directeurs pour venir nombreux, le lundi 2 mars 2015, à leurs établissements pour assurer les cours.
S.H
ceci etant evident et nous y adherons tous les citoyens les parents les tunisiens tout confondus
enseignant etant equivalent a l'avenir de nos enfants
par contreles enseignants devraeint etre conscients qu'ils sont dans un secteur particulier ayant trait directement aux principes et valeures ayant trait aux sacrifices tout comme le corp medical ou securitaire du pays
ils doievntdont faire passer l'interet de leurs concitoyens d'abord c
e sais que les enseignants de nouvelle generations se retrouve,tn dans ce secteur ou bien par hazard ou bien par tactique(je suis femme et j'ai besoin de temps et d'argent donc enseignante) et on ne fait plus se metier par pascient mais a defaut d'autres opportunites et c'est pourquoi les demande a cvharachtere financiers se multiplient les reactions contre les eleves s'accentuent(cours particuliers) les liens d'opportunisme avec les parents aises s'aggravent
pour resumer il est important de fournir des conditions descente a un enseignant acondition qu'il se limite a des valeures nobles du metier
N'est ce pas Messieurs les commentateurs ?
Ce traître Yacoubi essaie de prendre nos eleves en otages au moment des examens pour pousser le gouvernement a leur allouer des augmentations salariales faramineuses de 400 dinars par mois.
Il faut être dupe pour croire ce pseudo syndicaliste qui ne veut pas qu'on parle des dépassement en matière de cours particuliers.
Ce même Yacoubi se croit détenir la vérité en imposant un agenda de cours qui est de la seule prérogative du ministère de l'éducation.
Il faut être borgne pour suivre ce Yacoubi.
C'est un traître !
C'est la guerre entre l'employeur et l'employé et je me demande si le code est applicable dans le cas de figure!
J'adore Mr. Fradi de la compagnie de transport qui a bien appliqué les articles 378 et 388 du code de travail...
Néji JALLOUL aura-t-il le courage d'appliquer méticuleusement la loi?