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Gafsa : Reprise progressive des activités de la CPG après 2 mois d'arrêt
Bouali Mbarki, secrétaire général adjoint de l’UGTT, a annoncé, que le premier train chargé de phosphate est parti, dans l’après-midi de ce samedi 30 mai 2015, de Metlaoui vers le Groupe chimique de Gabès, et ce après un arrêt des activités de CPG depuis près de 2 mois.
Dans une déclaration accordée à la TAP, Bouali Mbarki a affirmé, dans la matinée du samedi, la reprise progressive des activités dans certaines unités de la Compagnie des phosphates de Gafsa (CPG), situées à Redayef, Metlaoui, Oum Larayes et Medhila.
Le responsable syndical a ainsi confirmé la levée du sit-in observé par des sans-emploi dans les unités de la CPG, alors que d’autres restés sur place, n’ont pas empêché le transport du phosphate.
Commentaires (8)
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Est ce la fin du tunnel....???esperons le.
Le patriote
| 01-06-2015 13:13
Seuls les travailleurs de ces mines de phosphate de Gafsa doivent juger les responsables de leur catastrophe et la destruction de leur outil de travail Un enorme deficit et un manque a gagner qui se chiffre par des centaines de milliards.J espere qu ils
doubleront sincerement d effort pour rattraper le temps perdu et redonneront de l espoir a leur entreprise qui risque la faillite totale et la destruction de leurs emplois.
doubleront sincerement d effort pour rattraper le temps perdu et redonneront de l espoir a leur entreprise qui risque la faillite totale et la destruction de leurs emplois.
Doit-on applaudir Bouali ou demander des comptes à l'UGTT
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| 31-05-2015 15:32
Il a fallut l'intervention de l'UGTT pour dénouer provisoirement cette affaire épineuse et relancer les tapis roulants de la CPG. Si l'UGTT n'est pas directement responsable sur ce qui ce passe au bassin miniers, elle possède certainement une influence sur les malfrats de la région et dans les deux cas on ne peut que déplorer cette action tardive après les énormes pertes encaissées par l'économie du pays suite au laxisme des institutions irresponsables qui participent à l'usure du pays et applaudissent aujourd'hui un faux héroïsme.
les Tunisiens ont perdu le goût du travail.
travailleur.
| 31-05-2015 10:28
Ça va pas duré longtemps , les Tunisiens ont perdu le goût du travail , ils préfèrent assis toute la journée au café petit Capissin sur la table et le soir rentrer a la maison chez la maman trouver un petit repas bien pimenté , beaucoup mieux que se lever tôt le matin sac sur le dos direction la mine .
Travailler c'est trop dur et ne rien faire c'est bon ( Julien Clerc ) .
Travailler c'est trop dur et ne rien faire c'est bon ( Julien Clerc ) .
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