Faouzi Benzarti n’est plus le sélectionneur de l’équipe nationale tunisienne de football. Mourad Okbi et Maher Kanzari occuperont ce poste par intérim jusqu’à la désignation d’un nouveau sélectionneur prévue d’ici la fin d’année. Telle était la décision de la Fédération tunisienne de football (FTF) annoncée dans un communiqué rendu public ce samedi 20 octobre 2018.
La FTF a précisé que ce limogeage a été approuvé suite à une évaluation négative portant sur 4 aspects à savoir la performance de l’équipe nationale, les résultats, les entrainements ainsi que la relation du sélectionneur avec les joueurs.
Un limogeage qui vient quelques mois après la nomination de Benzarti à la tête de l’équipe nationale succédant ainsi à Nabil Maâloul. Ce dernier avait présenté sa démission en juillet 2018 après la défaite de la Tunisie dans la 21ème édition de la Coupe du monde qui s’est déroulée en Russie du 14 juin au 15 juillet 2018.
B.L
Football : Les raisons du limogeage de Faouzi Benzarti
Faouzi Benzarti n’est plus le sélectionneur de l’équipe nationale tunisienne de football. Mourad Okbi et Maher Kanzari occuperont ce poste par intérim jusqu’à la désignation d’un nouveau sélectionneur prévue d’ici la fin d’année. Telle était la décision de la Fédération tunisienne de football (FTF) annoncée dans un communiqué rendu public ce samedi 20 octobre 2018.
La FTF a précisé que ce limogeage a été approuvé suite à une évaluation négative portant sur 4 aspects à savoir la performance de l’équipe nationale, les résultats, les entrainements ainsi que la relation du sélectionneur avec les joueurs.
Un limogeage qui vient quelques mois après la nomination de Benzarti à la tête de l’équipe nationale succédant ainsi à Nabil Maâloul. Ce dernier avait présenté sa démission en juillet 2018 après la défaite de la Tunisie dans la 21ème édition de la Coupe du monde qui s’est déroulée en Russie du 14 juin au 15 juillet 2018.
Salem,
c'est je jeune joueur du CSS Chawat qui est a l'origine (entre autre) du limogeage de F. Benzarti
etre titulaire d'entree de jeu, ensuite le mettre en pointe de l'attaque, et le cerise sur le gateau le joueur score par 2 fois ! la ca fait trop pour l'ego du president de Fede
rappelant au passage que le President de la Fede est un Fou amoureux du CSS, et tres respectueux des dirigeants et staffs du CSS.
Mahmoud
Une fausse et farfelue analyse (même si ce n'en est pas une) prématurée sans fondement ne servant qu'à improviser des circonstances atténuantes pour ton concitoyen ( certainement) Wadi Jeri qui a pu allécher plusieurs naifs sudistes par son populisme et sa corruption avec nahdha, car pour formuler une analyse devpointbde vue rédactionnel, il fallait la proposer en amont, sinon cela deviendrait une faiblesse et nun manque de personnalité prouvant ainsi de la compassion pour le sale Wafdin Jeri,
Apprend à être libre des chaines de nahdha, et non pas soumis aux caprices de quelques régionalistes sudistes qui ont terni la réputation exemplaire des sudistes d'antan !
takilas a édit: " tant que nahfdha est là rien n'ira ".
'? défaut de voir les presidents de clubs virer ce Jary. Les joueurs pros et patriotes devraient boycotter l'équipe nationale jusqu'au changement du bureau fédéral. Il en va de l'avenir du foot Tunisien et aussi du leur.
Depuis le 14 maudit on s'attaque à tout ce qui peut ressembler de près ou de loin à une compétence "réelle". Malgré mon aversion pour le football qui a été à l'origine de l'apprentissage révolutionnaire et de la révolte régionaliste des gueux footeux qui s'en est suivie, sous couvert de ce sport, je reconnais en cet Homme de la graine de vainqueur, de la graine de dirigeant, de la graine d'honnêteté.
Il va donc de soi qu'il soit écarté comme un malpropre. Sans vouloir faire des comparaisons inopportunes, un peu comme les tracas que l'on fait aujourd'hui au Soldat Patriote et Scientifique AHMED FRIAA pour avoir osé préparer un programme d'envergure pour la Tunisie, dans les défis de demain que sont les défis écologiques et énergétiques, avec une étude aboutie et bien ficelée, un programme qui emploiera des milliers de jeunes qui n'ont aujourd'hui qu'un seul espoir: Quitter la Tunisie.
Il a aussi "osé" en parler à France 24 de son programme. Ceci lui a valu une assignation à ne pas quitter le territoire; et ce, par un dernier de la classe aigri en tenue de corbeau, qui a reçu une plainte de la Kahina "Ben Chaudrine", une traitresse nuisible qui a détruit le pays florissant et prospère de Ben Ali, en se mettant aux ordres de tierces puissances.
L'Ironie du sort a voulu que les traitres soient aujourd'hui Libres et donneurs d'ordres et que la patriotes soient assignés.
Ce n'est pas étonnant, c'est le commun des pays colonisés: Les traitres soumis à leurs maîtres étrangers y vivent en Rois et les patriotes en esclaves.
Nous seront là pour libérer notre pays ya ouled el xxxxxx. Avec tous les moyens du bord. Nous sommes les Djihadistes de la pensée et de la Liberté de Notre Mère Patrie, que vous autres, ingrats et scélérats, avez trahie.
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES
Le dinar allait être convertible en 2012, le voici aujourd'hui à votre image.
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES
Les projets innovants d'énergie verte allaient être finalisés en 2020, les voici aujourd'hui statiques à votre image.
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES
La Tunisie allait être une démocratie raisonnable en 2014, la voici aujourd'hui "7adhba ou khoutha" à votre image.
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.
Le plein emploi allait être assuré de force par Ben Ali sur le restant de son mandat en imposant le recrutement "social" aux grands trusts (en particulier à ses proches) et dès le 12 janvier les banques privées avaient recruté des centaines de candidats. Vous avez aujourd'hui un pays qui baigne dans 3 fois plus de chômage.
Alors lisez et relisez le
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES
jusqu'à bien comprendre qu'il vous concerne, peuple d'ingrats.
VIVE BEN ALI.
Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya;
Résistant Souverainiste.
Est-ce qu'il n'y a aucune structure publique qui est capable de rappeler à) l'ordre Jery et ses collaborateurs ?
C'est une grave faute commise par cette fédération au détriment du foot-ball tunisien dans la mesure où Benzarti a été appelé à l'équipe nationale depuis peu de temps et il a démissionné d'un poste avec des avantages alléchants.
Comment alors le limoger bien qu'il a réussi les 03 matchs en les gagnant.
C'est inconcevable de prendre une telle décision !
C'est une grave faute passible des lourds sanctions disciplinaires, mais qu'elle est la structure compétente pour infliger les sanctions nécessaires à Jery et à ses collaborateurs !
L'engagement de Benzarti à ce poste n'aurait jamais dû avoir lieu, n'en déplaise à ceux qui ont soutenu qu'il était le plus indiqué pour cette mission. Car la compétence et l'expérience seules ne sont pas suffisantes pour assumer cette responsabilité. D'autres qualités sont indispensables, dont certaines capacités de tolérance et d'ouverture qu'il ne maîtrise guère. Malgré un palmarès étoffé, l'homme demeure malheureusement irascible, coléreux, têtu comme une mule, figé dans ses conceptions, prétentieux et très mauvais communicateur. Ses gesticulations incessantes du bord de touche à l'adresse de joueurs, son agressivité vis à vis du corps arbitral lorsque ses décisions lui sont défavorables, peuvent peut être passer en tant qu'entraîneur de club, mais sont incompatibles avec son statut de sélectionneur national. Et l'âge ne semble pas améliorer les choses ! Sur le plan technique, et à part le pressing haut sur l'adversaire, qu'il vend depuis des années, son empreinte sur le jeu des équipes qu'il coache n'est pas évidente. Au contraire certains choix auxquels il se cramponne ont valu des déboires à plus d'un club.
Ces réserves sur l'homme devaient être considérées avant son engagement. Une fois l'option prise, il y a des obligations à observer et des échéances pour l'évaluation à fixer. Or, la façon dont il a été limogé, après seulement trois mois, et après qu'il ait abandonné une situation confortable, est totalement inadmissible, dans le fond et dans la forme, et n'honore guère le football tunisien. Sur le plan humain, la soudaineté de la décision, même si elle était justifiée, ne peut avoir que des séquelles importantes sur l'ego et sur la fierté du concerné. Un peu plus de respect et de considération n'auraient pas été de trop ! Malheureusement, chez nous, on fait dorénavant peu de cas de ces valeurs et l'incorrection et l'humiliation dominent les rapports entre les citoyens, quel que soit leur rang. Regardez ce qui se passe en haut lieu ! Il se dit actuellement que cette décision est sous tendue par des considérations politiques, ce qui n'enlève rien au caractère immature et pour tout dire scandaleux, de la manière dont elle a été prise et communiquée.
Lors du match Tunisie Niger une altercation a eu lieu lieu entre Benzarti et Jeri car ce dernier voulait intervenir dans le rôle de l'entraîneur...c'est la vraie raison de son limogeage
Le plus grave dans tout cette gabegie footballistique,c'est que les instances de tutelle( le ministère) ne peuvent pas limoger el Jarii pour abus de pouvoir et incompétence.
On se souvient comment Tarek Dhiab a été rappelé à l'ordre par la FIFA du temps où il était Ministre.
Seuls les clubs qui l'ont élu, peuvent le dessaisir dans sa fonction lors des prochaines élections.
C'est la meilleure action que les clubs peuvent faire pour sauver la Fédération.
