Le secrétaire d’Etat chargé du Commerce, Fayçal Hafiane était l’invité de la matinale sur Shems FM ce jeudi 27 octobre 2016, pour s’exprimer sur la politique actuelle de lutte contre la contrebande et pour revenir sur la descente de police qui a eu lieu hier, mercredi 26 octobre 2016 à la rue Sidi Boumandil à Tunis.
Au micro de Hamza Belloumi, le secrétaire d’Etat a déclaré : « Les campagnes de lutte contre la contrebande se poursuivent, notre objectif est de cerner le maillon charnière des circuits économiques parallèles. Aujourd’hui tous les bureaux tabac vendent de la contrebande de cigarettes et le gouvernement d’union nationale a décidé de lutter efficacement contre tous ces circuits ». Il a ajouté qu’une délégation nationale créée en janvier 2016 et composée de 12 représentants des différents ministères tunisiens œuvrent à élaborer les politiques adéquates de lutte contre la contrebande.
A propos de la descente effectuée dans les commerces de vente de cigarettes et de contrebande à la rue Sidi Boumandil et qui a tourné à l’affrontement entre les unités de police et certains protestataires, Faycal Hafiane a déclaré : « Comme à la rue des Salines, il y a eu coopération entre les différentes unités de police et les brigades ». Il a ajouté que les réseaux de contrebande de cigarettes cachent des mafias mondiales qui financent le terrorisme.
A la question de Hamza Belloumi : « Que prévoit la Loi de finances 2017 à propos de la contrebande ? », Fayçal Hafiane a répondu qu’il ne fallait pas attendre que la LF 2017 le prévoie et que la lutte contre la contrebande était déjà une des priorités de l’Accord de Carthage.
Enfin, à propos des vendeurs à la sauvette, le secrétaire d’Etat a indiqué qu’ils devaient s’organiser convenablement car bientôt des espaces leurs seront dédiés pour vendre leurs produits légalement, « l’objectif étant de relier le commerce parallèle au commerce légal».
K.H
Commentaires (11)
CommenterMarcher pieds-nus
Danger pour la santé
Le Hafyane n'a pas d'idée sur la mafia administrative tunisienne ...
un vrai hafiane
MAFIA CONTRE BARBUS
Je pense que c'est très primaire de penser que les mafias financent le terrorisme. Tous les truand et autres genres d'engeances de ripoux, de bandits et de criminels savent que le business de quelque ordres que ce soit, ne marche pas avec une société qui part en couilles quand on se fait exploser quand on va se prélasser sur le bord de la plage, quand on va faire ses sourse aux malls et quand le nombres de guerriers ninja s et de batmans est supérieurs au nombres de punaises qui sévissent dans les quartiers populeux.
Le trafic de contrebande s'active et se développe autour de trois axes ;
1/ corruption présente dans les rangs de la police, la douane et dans la garde nationale,
2/ un sous-développement sous-jasent qui est largement présent chez les gens qui courent derrière la mode,
3/ incapacité des gouvernants (quelqu'ils soient) à réagir et à donner l'exemple en coupant le mal à la racine : exemple : pour arrêter la contrebande des portables, il suffit d'ouvrir le marché aux commerciaux locaux avec les grosses Cies internationales qui vendent les portables derniers cris en taxant un minimum ppour que les derniers des pauvres puissent l'acquérir.
On étend cela à tous les produits de consommations afin de ne pas creuser un grand fossé entre les gens.
Ensuite ;il faut et qu'on le veuille ou non, former académiquement, nos policiers, nos gendarmes, nos militaires et leurs donner une paye assez honorables, qui puisse les abriter de la tentation de la corruption.
Un policier ou un garde nationale qui arrête une personne pour la contrôler, ne doit en aucune manière être tenté d'accepter un backchich pour ne pas mettre une contravention et rentrer dormir tranquille sachant que sa paye et sa fierté sont au dessus de toutes les richesses du monde.
Cela existe en Europe et en Occident, où malgré la présence de certaine brebies gâleuses, il et très difficile de corrompre un agent de l'ordre.
Quand le trafiquant se fait arrêter sur le route par deux douaniers, il brandit devant leur nez, et dit qu'il est prêt à payer aux deux douaniers en ce jour, à chacun d'eux, la paye que chacun d'eux touche en un mois, il va la leur donner en une fraction de seconde s'ils le relâchent. Le calcul est vite fait.
Dans notre pays la TUNISIE, nous avons des hommes de valeurs au sein de tout l'appareil sécuritaire, malgré la présence de quelques brebis galeuses, on va faire du bon boulot ; néanmoins, il faut que l'on fasse le maximum à se mettre au travail, à arrêter de se prélasser aux cafés, et se glander pendant les heures de travail, et à faire plus ce qu'il en faut afin de sortir de l'ornière, il faut que l'on rende compte à la police quand on réalise que quelqu'un de la famille est en train de faire ou de commettre un délit ou de préparer un attentat ou un crime Il faut que l'on devienne CIVIQUE ET CIVIL AVANT DE FAIRE SON DEVOIR DE MUSULMAN, car a société TUNISIENNE est composée de musulmans et de non-musulmans.
Si le corrupteur, le traficant, le prédicateur ne trouve personne qui l'écoute et qui s'émerveille de ses conneries, leurs règne ne durera pas, et la police prendra la relève pour qu'ils finissent devant les juges ; toujours avec l'espoir que chez les juges, le réveil sera de mise et que l'application des diverse lois et variées ne sera pas perdues.
J'ai vécus quelques années dans une île paradisiaque dans les caraïbes, ou des gars venaient vendre leur cracks, leur cocaïne et autres merdes, je les avaient filmés pendant trois longs et difficiles mois de fin d'années, ensuite ai obtenus le port d'armes, ai été voir les services des nacotraficking (DEA) pour leur donner le site où j'avais stocké les infos et les filmographies ; ensuite j'i attendu.
An bout d'une semaine, le quartier a été nettoyé. Je n'avais jamais eu à me servir de mon SW.
Les gens dans tous les quartiers de toutes les villes et des douars de la TUNISIE, savent qui est qui , et qui fait quoi, il suffit de les dénoncer à la police, à la gendarmerie, aux militaires. Si à Porto-Rico et à Sint-Marteen j'avais le feu vert pour détention et de port d'armes, en TUNISIE tant il est vrai que l'onne peut les avoir vue de la situation actuelle, néanmoins, une arme fabriquée artisanalement peut s'avérer utile et redoutablement efficace. Une paire de béquille à qui on bricole un chien avec ressort avec une cartouche de 7.62, peut arrêter un véhicule pour ne pas dire neutraliser un terroriste qui est déjà passé à l'action et sert à sa légitime défense.
Aidons déjà nos forces de police et de gendarmerie en plus des militaires par le renseignement, et le pays sera nettoyé de la vermine.
Tant que nos prédicateurs de terreur et de meurtres bénéficient de l'aide occulte et latentes de bon nombres de brebis silencieuses, ils auront pas une rue, mais un boulevard avec lequel ils vont mettre la TUNISIE SOUS TERRE Là Où ILS ETAIENT QUAND LES DICTATURE SEVISSAIENT.
LEHI TRAOUT
PS / CE SONT LES SYMPHATISANTS DES BARBUS QUI SE SONT LANCES DANS LE TRABENDOUS DEPUIS L'ERE DE BOUMEDIENNE, ET JE ME RAPPELLE EN 1974 sur la frontière algéro-tunisienne, que tous les contrebandiers qui ont été arrêtés par aussi bien nous l'armée Tunisienne que par les frères Algériens, tous ont été exécutés sur place.
La solution radicale existe...
SIdi Boumendil symbole de la décrépitude tunisienne
Benali la racaille vendue aux sionistes s'est servi des réseaux de contebande comme d'une milice supplétive sur frontières et au sein de la capitale.
S'interroger sur la contrebande c'est s'interroger sur le système benaliste , une pure ignominie destructrice de la Tunisie
C'est évident
Sidi Boumedil, un vivier de salafistes nauséabonds. Il faut créer des super/hyper marchés légaux avec des HYPERDISCOUNT
Donc, il faut ABSOLUMENT créer des super/hyper marchés légaux avec des HYPERDISCOUNT, comme en europe, pour que le tunisien ne se rende plus chez ces mercenaires de la haine.