Dans un statut publié sur sa page Facebook ce mardi 11 décembre 2018, l’ancienne secrétaire d’Etat à la Jeunesse, Faten Kallel a commenté d’un ton ironique les débats concernant la Loi de finances 2019 votée hier lundi à l’ARP avec 113 voix pour, 36 contre et 11 abstentions. Elle a écrit : « Chaque année, on découvre l’existence de tendances communistes ! ».
Mme Kallel a, dans ce statut, présenté un nombre de propositions afin d’apaiser les tensions qui coïncident avec chaque approbation annuelle de la Loi de finances. Des tensions ressenties principalement chez les communistes qui revendiquent l’élimination des hommes d’affaires.
« Je suggère une bonne fois pour toutes d’exclure toutes les activités économiques privées notamment les grandes surfaces, l’importation des véhicules, des vêtements et des aliments, les activités pétrolières, les banques, les hôtels et les opérateurs téléphoniques. Je suggère également de fermer ou nationaliser les activités lucratives. C’est inacceptable qu’il y ait des personnes qui s’enrichissent alors que nous regardons ! Toutes les entreprises doivent être comme les entreprises publiques en sureffectif et en faillite ! Ainsi, nous réaliserons la justice et reviendrons à la Tunisie des années 80 !» peut-on lire dans ce statut.
B.L
Commentaires (12)
Commenterdénigrement et hypocrisie
A cette pauvre capitaliste qui se moque de la populace
Echaki wil mertah ma ibatouch fard m'rah
G&G
RCDiste et fier
Mais qui est cette jeune mijaurée ?
Jalousie
HOLLYWOOD
Pauvre petite dame!
Et dire qu'elle était secrétaire d'?tat!
Il vaut mieux en rire que pleurer !
Bravo!!
La bande de fainéants doit aller travailler pour devenir plus riche!!
Merci Madame Kallel.
Il faut se mettre à jour
Le prix Nobel d'économie J Stiglitz(que l'on ne peut traiter de socialiste) a tiré la sonnette d'alarme sur le malaise du au effets de la mondialisation et des inégalités dans quelques ouvrages comme « Le triomphe de la cupidité ou « Le prix des inégalités »
Dans un débat sur la crise financière en 2008 l'économiste Jacques Attali quant à lui a été on ne peut plus clair à la question "Alors qui va payer ? : " A terme, c'est soit le contribuable, par le biais de l'augmentation des impôts, soit le consommateur, victime de la restriction du crédit, soit l'épargnant, dont les fonds seront rognés par l'inflation. Tout le monde perd, sauf le capitalisme financier"