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Ennahdha : Nous n’avons accusé personne de corruption
19/11/2018 | 12:04
1 min
Ennahdha : Nous n’avons accusé personne de corruption

 Le mouvement Ennahdha a rendu public, le 19 novembre 2018, un communiqué pour répondre aux commentaires qui ont suivi la déclaration polémique de son président, Rached Ghannouchi.

 

Ainsi, Ennahdha déclare que les propos de M.Ghannouchi ne sont une accusation pour personne mais plutôt un critère utilisé pour évaluer les candidatures en collaboration avec le chef du gouvernement. Ennahdha est également consternée par les interprétations faites des propos de son président surtout qu’il ne voulait pas « nuire d’une manière directe ou indirecte aux ministres partants dont l’un des brillants leaders d’Ennahdha, Imed Hammami ».

Le parti islamiste conclut en disant qu’il respecte les membres partants du gouvernement et leur souhaite la réussite dans leurs vies politiques et professionnelles.

 

M.A

19/11/2018 | 12:04
1 min
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Commentaires (13)

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Adnène
| 20-11-2018 02:40
Le cheikh a commis l'erreur de se prononcer directement et de façon négative sur la valeur des personnes qu'il a mis hors du gouvernement.Ce n'est pas dans ses habitudes de descendre dans la mêlée des politiciens. Il gardait sa position du "guide" manipulant à l'arrière scène et ne faisant que des déclarations bidons autour du "tawafik". Il est au milieu d'une tempête incontrôlable, et confirme la méfiance 'une large tranche de la population quand au jeu politique des nahdhaouis; jamais franc et constructif.

Angel
| 20-11-2018 01:00
"....dont l'un des brillants leaders d'Ennahdha, Imed Hammami »."
OUF ça fait longtemps que je n'ai pas autant ri!!!
Heureusement que je ne suis plus en activité...
J'aurais démissionné... ou comme beaucoup j'aurais émigré!

MFH
| 19-11-2018 15:54
Avouer ses erreurs est une qualité trop appréciée parce qu'elle procure confiance et crédibilité à son auteur. Cette qualité ne semble pas faire partie des m'?urs des Nahdhaouis qui préfèrent plutôt désavouer que de reconnaître leurs erreurs. Leur ténacité a démentir tout propos compromettant semble être le principal obstacle à la pérennité du parti.

The Mirror
| 19-11-2018 15:41
Je rappelle qu'en 2016, l'organisme international de lutte contre la corruption, "The Panama Papers", a accusé de corruption les membres suivants d'Ennahdha:

- Rached Ghanouchi
- Lotfi Zitoun
- Rafik Abdessalem

Rafik Abdessalem est connu auprès des tunisiens pour le don chinois de 1 million de dollars offert par la Chine à la Tunisie, que Abdessalem, alors ministre des Affaires étrangères, a tout simplement mis dans ses poches.

Saif
| 19-11-2018 15:32
Comment se fait-il que seul Mr. Imed Hammami a su décoder les propos de son chef alors que les autres ex-ministres ses ex-collègues : Majdouline Cherni , Ghazi Jeribi, Mabrouk Korchid et Faouzi Abderrahmane n'ont pas su interpréter une déclaration dont les termes sont aussi clairs que l'eau de roche ?
Ah oui c'est bien ça le critère de compentence !

A4
| 19-11-2018 14:13
Le gourou est un débile mental. La preuve: à chaque fois qu'il radote, ses sous-fifres sont obligés de sortir pour rectifier ses dérapages !!!

JOHN WAYNE
| 19-11-2018 14:13
Comme enseigné dans mes séries « L'islam détruira le monde Arabe », et « L'Islam ou le suicide intellectuel des peuples Arabes », l'Islam quel que soit sa forme, a longtemps été associé à la notion de négation de la pensée Hellénique, c'est-à-dire a la pensée qui est composée d'un raisonnement Cartésien ou logique.
Le Mouvement Mutazilite a longtemps combattu la pensée musulmane fondamentale qui dit que rien ne peut être remis en question dans les textes sacrés car ceux-ci émanent directement de la main de Dieu. Les Mutazilites devaient perdre leur combat contre les Ascharites et l'Islam devait replonger dans un système de pensée des ténèbres associant intolérance, absurdité de la pensée, et violence. Cette version de l'Islam devait être le fer de lance de celui qui fut a l'origine du mouvement des frères musulmans, à savoir Jamal Eddine Al Afghani.
Le Nationaliste endurci que je suis reproche à l'Islam d'être une religion a l'origine du sous-développement technologique et intellectuel des peuples Arabes car Jamal Eddine Al Afghani qui a l'époque disposait d'une aide économique et logistique de l'empire de Londres, a combattu le Nationalisme qui préconisait un monde arabe décolonisé.
Or la colonisation des peuples Arabes par les puissances occidentales n'a profité qu'a l'occident car elle suivait l'inertie de la révolution industrielle sans se préoccuper de la misère dans laquelle baignaient à l'époque les peuples Arabes.
En Tunisie a l'époque du Protectorat, le système des Marabouts y était proéminent et ce même système illustrait ce sous-développement intellectuel à connotation religieuse dans lequel baignaient les peuples Arabes.
L'Islam contemporain est un Islam de recolonisation.
Cela est illustré par le lien irrévocable qui existe entre les islamistes et l'occident aujourd'hui, lien qui s'est fortement manifesté lors des révolutions Arabes qui ont vu une montée en puissance de l'Islamisme soutenu par les puissances occidentales mais surtout par Israël et ses agents et services secrets dans le monde et en Tunisie (voir mon article sur les ennemis de la Nation Tunisienne).
L'Islam d'aujourd'hui a un rôle hypocrite de modernité qui se retrouve dans le livre de Yousef Al Qaradhawi intitulé « Fatwa Contemporaines ».
Dans cet ouvrage désobligeant, l'homme qui fut à l'origine de la guerre civile Algérienne écrit :
« L'islam a aussi affirmé la liberté de parole et de critique, surtout quand elle est nécessaire à la communauté et concerne la morale et les bons comportements. Si dépraver son âme, sa morale, sa conscience, son adoration, sa famille, relève de la liberté, alors l'islam ne la reconnaît pas. Mais il maintient sur leurs bases, étaie et protège les libertés nécessaires à la vie paisible en société, la liberté de penser, de croire et de pratiquer sa religion, de disposer de soi sans que cela nuise aux autres, la liberté de propriété selon les conditions légales, sans dommage causé ni subi'?' »
Ce qui signifie que l'Islam limite sa notion de liberté a une notion de vertu sociale qui au siècle contemporain, se heurte aux principes fondamentaux des démocraties à l'occidentale qui protègent libertés et droit a la différence quelle qu'elle soit.
Pour que la démocratie s'installe au sein des peuples Arabes, ceux-ci doivent vivre au préalable une révolution de l'Islam qui modernisera cette religion fondamentalement désuète.
La modernisation de l'Islam doit passer par des siècles de régimes autoritaires, nationalistes, et séculiers, car l'Islam en sa version actuelle représente une menace a la survie des peuples Arabes.
Cela explique donc la raison pour laquelle Israël, puissance hégémonique, tient à maintenir les peuples Arabes dans leur version ancienne de l'Islam qui est devenue facteur de pauvreté, de guerres interminables, de famines, et de recolonisation.

JOHN WAYNE

Tsunami1956
| 19-11-2018 14:00
Je suis sidéré par les propos du gourou de la secte du samedi dernier et aujourd'hui de cette mise au point.
La girouette tourne à plein gaz chez ce manipulateur.
Passons.
Reconnaitre Imed Hammammi comme l'un des plus brillants de la secte veut tout dire.
Pour ceux qui connaissent réellement sa valeur sauront que dans la secte, il n' ya pas meilleur que lui ou presque
Quelle bande d'incompétents manipulateurs.

Abir
| 19-11-2018 13:53
Ennahda depuis huit ans elle fait que nier de toute accusation,toujours elle n'a pas fait,elle n'a pas dit,elle n'est pas au courant,elle n'a pas touché de l'argent et ainsi de suite, personne ne le croit mais elle a réussi jusqu'aujourd'hui !

Battal
| 19-11-2018 12:48
Le gourou, comme d'habitude se retourne à 180° el hajra tdhoub.....