Vladimir Poutine a-t-il eu peur d'être empoisonné lors du G20?
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Dhaker Lahidheb, professeur en cardiologie et membre de l'équipe médicale ayant soigné le chef de l’Etat, Béji Caïd Essebsi à l’hôpital militaire de Tunis, a annoncé sa démission de son parti.
Sur sa page Facebook personnelle, tard dans la soirée du vendredi 28 au samedi 29 juin, Pr Lahidheb affirme avoir démissionné du Courant démocratique (Attayar) et quitté toute activité politique.
« Ma démission protégera le parti, que je considère comme étant la seule bouée de sauvetage de ce pays […] ce parti que j’ai contribué à créer et que je me retrouve aujourd’hui contraint à quitter afin que certains ne puissent pas se servir d’une information que je n’ai pas communiquée afin de lui porter atteinte », écrit-il, ajoutant que « cette décision est personnelle et n’est motivée par aucune pression professionnelle ou politique ».
« Après ce flot d’injures et d’insultes, je présente ma démission, après que tout le monde se soit assuré du rétablissement du commandant suprême des forces armées », poursuit le professeur Lahidheb.
S.T
Dhaker Lahidheb, professeur en cardiologie et membre de l'équipe médicale ayant soigné le chef de l’Etat, Béji Caïd Essebsi à l’hôpital militaire de Tunis, a annoncé sa démission de son parti.
Sur sa page Facebook personnelle, tard dans la soirée du vendredi 28 au samedi 29 juin, Pr Lahidheb affirme avoir démissionné du Courant démocratique (Attayar) et quitté toute activité politique.
« Ma démission protégera le parti, que je considère comme étant la seule bouée de sauvetage de ce pays […] ce parti que j’ai contribué à créer et que je me retrouve aujourd’hui contraint à quitter afin que certains ne puissent pas se servir d’une information que je n’ai pas communiquée afin de lui porter atteinte », écrit-il, ajoutant que « cette décision est personnelle et n’est motivée par aucune pression professionnelle ou politique ».
« Après ce flot d’injures et d’insultes, je présente ma démission, après que tout le monde se soit assuré du rétablissement du commandant suprême des forces armées », poursuit le professeur Lahidheb.
S.T