Des habitants de Meknassi, gouvernorat de Sidi Bouzid, ont organisé, cet après-midi du dimanche 30 décembre 2018, une marche pacifique, pour soutenir les admis au concours du CPG qui n’ont toujours pas pris leurs fonctions.
Notons que les admis au concours du CPG, dans la région ont déjà entamé un sit-in ouvert, il y a plus d’un mois et demi. Ils revendiquent la prise de fonction effective, d’autant plus qu’ils ont signé les contrats de travail, il y a plus d’une année.
Des habitants de Meknassi, gouvernorat de Sidi Bouzid, ont organisé, cet après-midi du dimanche 30 décembre 2018, une marche pacifique, pour soutenir les admis au concours du CPG qui n’ont toujours pas pris leurs fonctions.
Notons que les admis au concours du CPG, dans la région ont déjà entamé un sit-in ouvert, il y a plus d’un mois et demi. Ils revendiquent la prise de fonction effective, d’autant plus qu’ils ont signé les contrats de travail, il y a plus d’une année.
On va encore embaucher des gens pour ne rien faire comme dans la Société de l"Environnement. La Société de phosphates du MAROC est en train d'investir en Afrique (Ethiopie) et nous notre société est en train d'investir dans les ressources humaines qui ont été embauchés par les Ministres de l'industrie et des mines et de des affaires sociales qui appartenaient à ENNAHDHA. Ces concours et ces embauches ont eu lieu lorsque ces ministères sont détenus par des ministres NAHSHAOUI.
Si je comprends bien il s'agit des nouvelles mines de phosphates de Meknassi et comme d'habitude l'administration tunisienne a besoin de décades pour démarrer de nouveaux projets. Est-ce une bonne Idée de donner à la CPG qui a tant de problèmes a gérer la situation au bassin minier la responsabilité pour les nouveaux projets (Meknassi, Hidra et Sara Ourtan)? Il y'a bien sûr des synergies à mettre tout sous l'administration de la CPG mais on risque en même temps de refaire les mêmes fautes qu'au bassin minier. Ces gens ont été recrutés il y'a plus d'une année et ils n'ont pas pu commencer leur travail vu que l'administration et la justice tunisienne ne sont pas capables de trouver des compromis avec les propriétaires des terrains de la mine. L'état est tellement faible qu'il laisse quelques propriétaires bloquer un tel projet, ce n'est pas ça la démocratie. Il faut nationaliser les terrains, commencer le projet et trouver un compromis par la suite avec les habitants.
On a tout vu en Tunisie cette fin d'année il y'a qui manifestent pour chercher du travail et y'a qui ne veulent pas travailler et y'a qui manifestent pour avoir plus de salaires.
Comment l'état peut il satisfaire tout le monde pour l'année 2019?
