Même s'il y avait souffrance avant le 14 maudit elle est loin d'être comparable avec la merde dans laquelle le peuple est plongé et jusqu'au coup.
Régales toi mon petit et continues à chanter Khobs ou ma.
Notre rendez vous est sous le mûrier.
La libération du dirigeant de Nidaa Borhen Bsaies, à la faveur d’une grâce présidentielle, a fait couler beaucoup d’encre. On craint en effet de discréditer l’appareil judiciaire définitivement avec ces libérations suivies de grâces. On craint surtout que la guerre contre la corruption menée actuellement par le gouvernement tombe à l’eau avec des libérations à des fins politiques.
Plusieurs sur les réseaux sociaux ont en effet cité le nom de Chafik Jarraya comme le futur prisonnier qui pourrait bénéficier d’une grâce, juste après son procès et sa probable condamnation. Après, Chafik Jarraya, tout comme Borhen Bsaies, est un ami intime du fils du président de la République, le seul capable de signer de telle grâces.
Interrogé à ce sujet, Iyad Dahmani a préféré botter en touche en indiquant que la guerre contre la corruption sera menée à son terme. « Il s’agit d’une prérogative du chef de L’Etat, je n’ai pas le droit de me prononcer dessus, mais j’aurai souhaité que ce soit Maher Manai qui en bénéficie », a indiqué M. Dahmani à Business News.
Beji Caïd Essebsi a pourtant bien été alerté sur le cas de Maher Manai, depuis 2015. À l’époque où Mohsen Marzouk était encore au palais, sa famille a été reçue à Carthage et on lui a promis de faire tout le possible pour qu’il soit libéré au plus tôt. Trois ans après, il est toujours incarcéré.
On rappelle que Maher Manai a été condamné à la peine capitale pour un crime qu’il n’a pas commis. Sa peine a été commuée à perpétuité après la révolution. Le véritable meurtrier a avoué son crime et souligné que Maher Manai a bel et bien été condamné à sa place. Malgré toute la polémique, malgré les promesses de Moncef Marzouki puis de l’équipe de Béji Caïd Essebsi, cet innocent demeure toujours en prison.
R.B.H
La libération du dirigeant de Nidaa Borhen Bsaies, à la faveur d’une grâce présidentielle, a fait couler beaucoup d’encre. On craint en effet de discréditer l’appareil judiciaire définitivement avec ces libérations suivies de grâces. On craint surtout que la guerre contre la corruption menée actuellement par le gouvernement tombe à l’eau avec des libérations à des fins politiques.
Plusieurs sur les réseaux sociaux ont en effet cité le nom de Chafik Jarraya comme le futur prisonnier qui pourrait bénéficier d’une grâce, juste après son procès et sa probable condamnation. Après, Chafik Jarraya, tout comme Borhen Bsaies, est un ami intime du fils du président de la République, le seul capable de signer de telle grâces.
Interrogé à ce sujet, Iyad Dahmani a préféré botter en touche en indiquant que la guerre contre la corruption sera menée à son terme. « Il s’agit d’une prérogative du chef de L’Etat, je n’ai pas le droit de me prononcer dessus, mais j’aurai souhaité que ce soit Maher Manai qui en bénéficie », a indiqué M. Dahmani à Business News.
Beji Caïd Essebsi a pourtant bien été alerté sur le cas de Maher Manai, depuis 2015. À l’époque où Mohsen Marzouk était encore au palais, sa famille a été reçue à Carthage et on lui a promis de faire tout le possible pour qu’il soit libéré au plus tôt. Trois ans après, il est toujours incarcéré.
On rappelle que Maher Manai a été condamné à la peine capitale pour un crime qu’il n’a pas commis. Sa peine a été commuée à perpétuité après la révolution. Le véritable meurtrier a avoué son crime et souligné que Maher Manai a bel et bien été condamné à sa place. Malgré toute la polémique, malgré les promesses de Moncef Marzouki puis de l’équipe de Béji Caïd Essebsi, cet innocent demeure toujours en prison.
R.B.H