La fédération nationale des textiles relevant de l'UTICA a lancé aujourd’hui, vendredi 12 février 2016, un cri de détresse suite à la perte de 40 mille postes d’emploi durant les 4 dernières années à cause de la fermeture de près de 300 entreprises.
Par ailleurs, le président de la fédération, Belhassen Ghrab a indiqué, dans une déclaration accordée à Shems F, que le secteur passe par une crise, appelant le chef du gouvernement à tenir un conseil ministériel restreint dans les plus brefs délais afin de trouver les solutions nécessaires.
S.H
Perte de 40 mille postes d'emploi dans le secteur du textile
La fédération nationale des textiles relevant de l'UTICA a lancé aujourd’hui, vendredi 12 février 2016, un cri de détresse suite à la perte de 40 mille postes d’emploi durant les 4 dernières années à cause de la fermeture de près de 300 entreprises.
Par ailleurs, le président de la fédération, Belhassen Ghrab a indiqué, dans une déclaration accordée à Shems F, que le secteur passe par une crise, appelant le chef du gouvernement à tenir un conseil ministériel restreint dans les plus brefs délais afin de trouver les solutions nécessaires.
Il faut pas oubliers chères amies tunisiens qu aujourdhuie la tunisie n est plus le pays ou la fabrication du textiles et autres manifactures ne coute moins cheres aux investisseurs etranges !!!!!! Le Bangladesh , le sri lanka, l éthiopie sont les nouveaux pays émergents dont la main d oeuvre coutes 10 foix mons cheres qui tunisiennes ou tunisiens
Pour redonner la confiance au touristes il faut enfin déterminer l'état d'urgence qui signalise toujours du danger.
Le Gouvernement doit trouver un autre chemin pour lutter contre l'extrémisme comme aussi dans les autres pays.
C'est la même chose avec le secteur du textile.
Mais là on doit trouver aussi la possibilité d'un paiement acceptable et le stabilité de production, parce que les fabricant doivent tenir leurs
contrats!
Où sont les Forces qui sont responsables pour l'économie et ne seulement pour leur propre Avancement?
les sous-traitants ont parfois mis la clé sous la porte/faillite dans leur pays et l'effet boomerang se répercute sur les usines de textiles tunisiennes.
Le matos existe, les usines ne demandent qu'a redémarrer, il faut penser local et s'ouvrir sur le net pour vende directement la marchandise afin de toucher un max de gens !
Les tunisiens et tunisiennes sont pleins de nouvelles idées créatrices dans le domaine de la mode, il suffit d'ouvrir la porte aux sponsors, aux crédits coopératifs ou encore au financement participatif..voire même à l'ensemble des salariés qui aurait une part sociale dans l'entreprise..etc...
Ne laissons pas un outil de travail dépérir, alors qu'il ne demande qu'à renaître..la main d'oeuvre est là..il suffit de..
Il faudrait booster Mam Bouchamaoui, c'est son domaine le textile, non ?
Le textile chinois est bon marché, pourquoi se casser la tête ?
Les tunisiens, désormais ne peuvent que tourner le dos aux difficultés. Ils sont trop fatigués.
