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Démission de Hamdi : Quand Tarek Kahlaoui dit vrai…
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Une fois n’est pas coutume, un post FB de Tarek Kahlaoui parait sensé et fondé sur des réalités qu’on n’a pas cessé de rappeler depuis plusieurs mois.
Le directeur de l’Institut des études stratégiques et membre du CPR, rebondissant sur la démission acceptée de Mohamed Salah Hamdi de son poste de chef d’Etat major de l’armée, a déclaré que l’un des acquis des terroristes est le « renversement » de ses dirigeants, surtout ceux qui mènent une guerre dure contre eux. M. Kahlaoui regrette que certains cherchent à faire de la récupération politique à travers ces « renversements ».
Tarek Kahlaoui, sans s'en rendre compte a priori, est en train de répéter ce que tout le monde disait après le grand remaniement opéré dans l’armée par son président Moncef Marzouki et ce en pleine guerre contre le terrorisme. C’est exactement l’opinion des analystes avisés du danger d’opérer des changements majeurs lorsque le ministère de la Défense était dirigé par Abdelkrim Zbidi et l’armée dirigée par le général Rachid Ammar. A l’époque, le CPR et ses acolytes, notamment Mohamed Abbou, n’hésitaient pas à déstabiliser l’armée et son moral (terme évoqué aujourd’hui par Kahlaoui) et faisaient tout pour placer des personnes bien déterminées à des postes-clés.
Cette analyse a été formulée par Business News la semaine dernière et a provoqué le sarcasme de Tarek Kahlaoui qui trouve étonnant que notre « « journaliste » (c’est lui qui a mis les guillemets) critique l’ingérence de Marzouki dans l’armée, alors qu’il en est le chef suprême.
A peine deux jours plus tard, Tarek Kahlaoui rejoint ce que nous avons toujours dit en parlant d’unité nationale et de la nécessité de préserver l’apolitisme de l’armée et son moral. Cohérence dites-vous ?
Le directeur de l’Institut des études stratégiques et membre du CPR, rebondissant sur la démission acceptée de Mohamed Salah Hamdi de son poste de chef d’Etat major de l’armée, a déclaré que l’un des acquis des terroristes est le « renversement » de ses dirigeants, surtout ceux qui mènent une guerre dure contre eux. M. Kahlaoui regrette que certains cherchent à faire de la récupération politique à travers ces « renversements ».
Tarek Kahlaoui, sans s'en rendre compte a priori, est en train de répéter ce que tout le monde disait après le grand remaniement opéré dans l’armée par son président Moncef Marzouki et ce en pleine guerre contre le terrorisme. C’est exactement l’opinion des analystes avisés du danger d’opérer des changements majeurs lorsque le ministère de la Défense était dirigé par Abdelkrim Zbidi et l’armée dirigée par le général Rachid Ammar. A l’époque, le CPR et ses acolytes, notamment Mohamed Abbou, n’hésitaient pas à déstabiliser l’armée et son moral (terme évoqué aujourd’hui par Kahlaoui) et faisaient tout pour placer des personnes bien déterminées à des postes-clés.
Cette analyse a été formulée par Business News la semaine dernière et a provoqué le sarcasme de Tarek Kahlaoui qui trouve étonnant que notre « « journaliste » (c’est lui qui a mis les guillemets) critique l’ingérence de Marzouki dans l’armée, alors qu’il en est le chef suprême.
A peine deux jours plus tard, Tarek Kahlaoui rejoint ce que nous avons toujours dit en parlant d’unité nationale et de la nécessité de préserver l’apolitisme de l’armée et son moral. Cohérence dites-vous ?
R.B.H.
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