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Restrictions sur les ventes de lait : Délice-Danone Tunisie dément le ministère du Commerce (MAJ)
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Faisant suite au démenti de Mohamed Ali Ferchichi, chargé de communication au ministère du Commerce, quant à l’émission d’une circulaire interdisant aux agriculteurs de vendre leurs production de lait, en attendant l’écoulement du stock de lait importé, le groupe Délice-Danone a confirmé l’existence d’une circulaire à ce sujet.
Intervenant sur les ondes de Mosaïque Fm, lundi 18 mars 2013, Laith Lakhoua, conseiller logistique de Délice-Danone, a affirmé que le groupe a bel et bien reçu une circulaire, le 11 mars 2013, de la part de Faten Ghazouani, directrice du commerce au sein du ministère, leur ordonnant d’arrêter l’approvisionnement du marché en lait, durant une période de quatre jours après la production, et ce, selon les procédures en vigueur lors des périodes de basse lactation.
En effet, M. Lakhoua a expliqué que si la circulaire est respectée, la société risque de se retrouver en situation de sur-stockage. Et d’ajouter que « ceci reflétait un non respect des procédures appliquées auparavant pour faciliter la commercialisation des produits locaux. Les sociétés tunisiennes sont toujours victimes de mauvais calculs. Nous ne sommes pas prêts à payer les pots cassés suite à une mauvaise estimation du marché local et une importation anarchique des produits étrangers », a-t-il déclaré.
Intervenant sur les ondes de Mosaïque Fm, lundi 18 mars 2013, Laith Lakhoua, conseiller logistique de Délice-Danone, a affirmé que le groupe a bel et bien reçu une circulaire, le 11 mars 2013, de la part de Faten Ghazouani, directrice du commerce au sein du ministère, leur ordonnant d’arrêter l’approvisionnement du marché en lait, durant une période de quatre jours après la production, et ce, selon les procédures en vigueur lors des périodes de basse lactation.
En effet, M. Lakhoua a expliqué que si la circulaire est respectée, la société risque de se retrouver en situation de sur-stockage. Et d’ajouter que « ceci reflétait un non respect des procédures appliquées auparavant pour faciliter la commercialisation des produits locaux. Les sociétés tunisiennes sont toujours victimes de mauvais calculs. Nous ne sommes pas prêts à payer les pots cassés suite à une mauvaise estimation du marché local et une importation anarchique des produits étrangers », a-t-il déclaré.
S.O.B.
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