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Des campagnes pour contrôler les restaurants et les fast-foods sur tout le territoire tunisien
22/09/2017 | 21:09
1 min
Des campagnes pour contrôler les restaurants et les fast-foods sur tout le territoire tunisien

 

Les ministres du Commerce, Omar Béhi, de l’Intérieur, Lotfi Brahem, de la Santé, Slim Chaker et de l’Agriculture, Samir Taïeb, ont présidé, ce vendredi 22 septembre 2017, une réunion dédiée aux mécanismes de suivi conjoint et aux moyens de les développer.

 

Cette réunion, précise un communiqué, relève du souci du gouvernement de préserver la santé et la sécurité du consommateur et de protéger son pouvoir d'achat en coordonnant les efforts des différentes structures de contrôle et en intensifiant les campagnes conjointes de suivi.

 

Il a été convenu, à l’issue de cette rencontre, de constituer un comité mixte comprenant les structures de supervision dans les ministères concernés. La première réunion se tiendra la semaine prochaine pour mettre en place un programme de travail conjoint et des réunions périodiques avec des campagnes sectorielles conjointes toutes les deux semaines en commençant par contrôler les restaurants et les fast-foods.

 

M.B.Z

22/09/2017 | 21:09
1 min
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Commentaires (20)

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Justinia
| 24-09-2017 13:29
Pas seulement une main nue,l'autre main gauche avec laquelle il se nettoie ses parties intimes est carrément sur une partie de la "pizza"...

Benje
| 24-09-2017 09:51
Eh oui le tourisme que beaucoup veulent le supprimer voir le transformer en tourisme interne ou magrhbine ne rapporte pas que des devises mais a instauré le contrôle de ses raustaurants internes et les règles d'hygiènes exigés par les tours opérateurs et les agences étrangères (européennes seulement) comme fram clubmed ...
ça a un effet bénéfique le tourisme (mission civilisatrice) depuis les années 70 sur la société combien même si ces règles ont été appliquées dans les villes et partout

Moustache
| 24-09-2017 02:44
Lorsque j'étais jeune, il y avait des inspecteurs d'hygiène dans chaque zone du pays, des inspecteurs qui vérifiaient tout et avaient le pouvoir de fermer un magasin, un fast-food ou un restaurant.

Malheureusement, c'était le temps des bakchich, dès qu'ils rentraient quelques part, un couffin de produit de première qualité lui était offert, et OUI! tout le monde accepte!!! ce n'est pas avec les salaires minables qu'on leur donnaient qu'ils allaient refusaient, et c'est devenu un business, une sorte d'entente: "Tu fais ce que tu veux à condition de préparer ma petite enveloppe pour la fin de la semaine".
Ces inspecteurs avaient surement un petit agenda dans leur poche pour savoir tout comme une mafia, chez qui ils allaient "inspecter" (comprenez être soudoyer).

Aujourd'hui avec la super situation que vit la Tunisie, le dinars tellement faible qu'elle en devient le paradis des retraités français et italiens (imaginez une retraite de misère devenir un salaire de deux directeur d'administration publique), des tensions sociales tellement fortes qu'aujourd'hui les gens acceptent avec un sourire mesquin des hausses de salaires de 15 dinars (sous gouvernement jebali et gouvernement larayedh)

Donc non je ne crois pas que ces contrôles vont vraiment réussir à moins de rajouter un contrôle sur un contrôle. les salaires des fonctionnaires font tellement pitié qu'ils seraient capable de bafouiller leur rapport pour une baguette (en plus je crois que les inspecteurs font depuis quelques années parties de la police et non plus des municipalités donc ça leur rajoutera un pouvoir assez inquiétant)

Ou alors de mettre en place un contrôle citoyen, et la je ne penses pas qu'un restaurant préférera soudoyer tous les citoyens qu'améliorer leur services. Ça lui reviendra moins chère.

Chaque citoyen qui rapporte une infraction d'hygiène aura une sortes de bonus, avec une liste pour vérifier si un citoyen n'en fait pas un business, et si au bout de X infraction un contrôle valide l'infraction alors d'une part le citoyen sera remercié (rémunération ou autre) et gagnera des points de fiabilité, et d'autres part le restaurant sera poursuivi au pénal, le propriétaire sera le plus responsable mais également les employés qui ont participé et ont fermé les yeux sur les pratiques internes.

PS: Vérifier également les restaurant des faculté, ils reçoivent de la viande fraichement abattues mais sans en connaitre la provenance.

Zohra
| 23-09-2017 21:48
Partout c'est dégueulasse, les boulangeries, la plupart des restaurants du n'importe quoi, qualité de services nuls et beaucoup de manque d'hygiène,... mesquina Tounes

l'idiot du bled
| 23-09-2017 21:44
Croire en cette histoire de CHAT WARMA.

Sadok chikhaoui
| 23-09-2017 20:58
récemment de retour du pays du jasmin, Un ami m'a affirmé qu'en Tunisie, il a failli crever de faim, faute de lieu décent et pour ne pas risquer l'intoxication alimentaire, entre nourriture infecte qui pue le graillon, un mélange innommable d'harissa et de mayonnaise, une viande qui pue le cadavre, et des serveurs sales mal rasés qui se torchent le nez avant de plonger les doigts dans un thon oxydé et des salades flétries, des couverts sales, et comme ces gens mangent à la main, c'est une gageur si on daigne vous donner un couteau propre et une fourchette

Gg
| 23-09-2017 19:07
Elle disait : " Si tu veux savoir si les cuisines d'un restaurant sont propres, va aux toilettes!".
Elle avait raison.

PARCE QUE LE PATRON A DECIDE...
| 23-09-2017 15:01
le reste du temps.....LOIS DE LA JUNGLE...

Jememarre
| 23-09-2017 14:57
Personnellement, je suis allé dans un boui boui comme ceux que l'on voit partout en Tunisie.
J'ai commandé un casse croûte tunisien le type était en train de se laver les pieds et aussitôt il est venu me servir.
Et c'est comme. Ça partout en Tunisie.
Aucune hygiène

rz
| 23-09-2017 13:16
L'hygiène du personnel et des denrées alimentaires dans les restaurants, les gargotes, les pâtisseries, les cafés et les vendeurs de casse croûtes à la sauvette étaient oubliées par le contrôle d'hygiène pendant ces 7 dernières années; d'où n'importe qui, fait n'importe quoi; hier seulement un Toubib m'a raconté qu'il vient de diagnostiquer un cas de tuberculose aiguë chez un jeune qui travaillait dans une pâtisserie et lorsque la maladie s'est bien installée il s'est cloîtré chez lui ne voulant pas aller consulter un Médecin et c'est sa s'ur qui l'a convaincu d'aller consulter.