Le parti Attayar (Courant démocratique) a démarré, ce vendredi 19 avril 2019, les travaux de son 2 e congrès au palais des Congrès à Tunis.
A la cérémonie d’ouverture, plusieurs personnalités ont été présentes, dont notamment, Mustapha Ben Jaâfar, président d’Ettakatol, Hamma Hammami, porte-parole du Front populaire et l’avocate Radhia Nasraoui, Samir Cheffi, secrétaire général adjoint de l’UGTT, Jaouher Ben Mbarek, leader du réseau Dostourna, Ahmed Souab, juge administratif.
Le leader d’Attayar, Mohamed Abbou a prononcé un discours lors de cette cérémonie, assurant que son parti œuvrera à décrocher sa place lors des prochaines élections. Il a affirmé que s’il ne parviendra pas à gouverner conformément à ses principes, sa place sera donc dans l’opposition. M. Abbou a évoqué, également, plusieurs questions faisant le point de l’actualité, comme la guerre contre la corruption ou encore le départ massif des compétences tunisiennes à l’étranger, soulignant qu’il y a toujours de l’espoir en Tunisie. « Bien que la période soit difficile, elle n’est que passagère », selon ses dires.
S.H
Commentaires (11)
CommenterAbbou après sa campagne pour Marzouki+le CPR,la troika islamistes d'Ennahdha et la milice LPR
Un amendement de l'ordre du jour s'impose...
Ces deux groupe font plus mal à la Tunisie
Le communisme sous son nouveau visage
Achtung Achtung! Le péril rouge 'is back'
Démocratie-slogan
En chute dans les sondages, un membre de ce parti ne trouve pas mieux que de lancer un violent raid sur un parti concurrent, suivi d'une longue séquestration. N'empêche ça peut arriver, chaque parti pouvant compter dans ses rangs une brebis galeuse. Seulement voilà, aucune mesure d'écartement n'a touché ce membre, traduisant clairement l'aval du parti à ce genre d'opérations commando. Pourtant les réflexes démocratiques classiques imposaient cette mesure disciplinaire.
Ce parti prône depuis longtemps l'instauration de la démocratie. En principe il n'est pas novice. Il s'avère qu'il en ignore même jusqu'à l'abc de ses règles. L'ignore-t-il ou est-ce une volonté délibérée d'oppression?
Malheureusement, ce petit jeu se retrouve chez beaucoup de nos compatriotes se targuant d'être démocrates. A la première occasion, ils succombent rapidement à l'attrait du pouvoir et s'adonnent sans pudeur aux mêmes méthodes qu'elles ont fustigées des années durant.
Comme ce Mostfa Ben Jaafer qui menace d'une guerre civile un parti luttant loyalement et démocratiquement pour le pouvoir. Quelle honte !
Le plus honnête d'entre eux est le parti Ta7rir. Au moins il énonce clairement et honnêtement ses intentions. Sans faux-semblants.