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Création d'une agence pour la maintenance des postes frontaliers
10/10/2015 | 20:30
1 min
Création d'une agence pour la maintenance des postes frontaliers

En déplacement ce samedi 10 octobre 2015 à Dhehiba, Najem Gharsalli, ministre de l’Intérieur, a annoncé la création d’une agence qui s’occupera de la maintenance des postes frontaliers. « Il s’agit d’une décision prise lors d’un conseil des ministres », a-t-il déclaré au micro de Shems Fm.

 

M. Gharsalli a souligné, par ailleurs, l’importance de la barrière de sable longeant la frontière tuniso-libyenne. Celle-ci, considère-t-il, a déjà prouvé son efficacité. « S’il n’y avait pas eu cette barrière, on n'aurait pas réussi à piéger les deux véhicules qui ont tenté [récemment] de s’introduire dans notre territoire. Vous n’êtes pas sans savoir ce que ces deux véhicules portaient à bord et quelles étaient leurs intentions et ce qui aurait pu se produire s’ils avaient réussi à passer », a-t-il expliqué

 

E.Z

 

10/10/2015 | 20:30
1 min
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Commentaires (9)

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Mourad Lotfi B
| 11-10-2015 18:25
Non, je ne le connais ni de loin, ni de prés et je ne connais personnellement aucun membre de sa famille. Une fois que j'ai déposé plainte pourquoi il n'a pas été inquiété? Pourquoi ne l'a-t-on pas confronté à moi? je ne veux pas divulgué toutes les rumeurs qui circulent mais d'aprés des temoins, il serait sous l'effet de la drogue. Concernant sa libération il y aurait "anguille sous roche". J'ai employé le conditionnel. Son père possède une usine à Ben Arous.

nazou
| 11-10-2015 17:32
Y-à pas à dire, ce fou furieux qui a ravagé votre cabinet dentaire , avait sûrement une dent contre vous.

Mourad Lotfi B
| 11-10-2015 17:05
Non, je n'ai aucun lien de parenté avec les juges que vous avez nommés. Et je ne pense pas qu'il est vraiment entrain de faire le ménage. Et voici mon histoire que BN a eu l'amabilité de publier le 31 août dernier. Depuis belle lurette je possède un cabinet dentaire à Ben Arous. Depuis un certain temps je n'exerce pratiquement plus sauf pour ma famille, mais, légalement, j'exerce puisque je dépose régulièrement mes déclarations d'impôts et je suis à jour avec la CNSS. Quotidiennement je passe en voiture devant mon cabinet. Tantôt je ne descends pas de ma voiture, tantôt j'inspecte le jardin à travers le portail et parfois j'entre au cabinet qui se situe au premier étage d'une villa avec entrée et jardin individuels. Le 31 Août 2015, en passant au niveau de mon cabinet, une de mes voisines me fait signe de m'arrêter. Je descends elle me dit va inspecter ton cabinet. Je descends, j'ouvre le portail du jardin, un portail en fer forgé et une porte en bois, je monte les escaliers j'ouvre la porte en bois de l'appartement qui ne peut s'ouvrir aussi bien de l'extérieur que de l'intérieur qu'avec la clé. J'ouvre la porte de la salle qui est en même temps mon bureau et la salle de soins et voici ce que je constate : la porte fenêtre ouverte et ses vitres brisées, les persiennes défoncées, mon fauteuil dentaire fortement endommagé, ma bibliothèque renversée mes livres par terre et à moitié déchirés dont 12 volumes de l'EMC, mes vases et mes cendriers de valeurs brisés (dont une avec son éteint cigare datant du 19ème siècle). Et voici les faits comme rapportés par mes voisins : « Vers le coup de minuit, nous avons été réveillé par des bruits provenant de votre cabinet presque tout le quartier est venu à la rescousse. A ce moment un jeune homme est apparu au balcon et c'est mis à crier Allah Akbar, foutez le camp, je possède une bombe je vais vous tuer tous. Sincèrement nous l'avions cru et avions eu peur. Malgré notre peur nous avions averti la police secours et une chaine humaine à encerclée tout le quartier. En voyant le piège se rétrécir le bonhomme tente de s'enfuir en empruntant les toits des maisons mitoyennes. Mais les ouvriers en bâtiment d'un immeuble en construction se sont mis à renseigner la foule sur son itinéraire jusqu'au piège à rats il a sauté dans un entrepôt aux murs hauts de 3 mètres dont il ne pouvait ressortir par ses propres moyens. A ce moment des personnes téléphonent au propriétaire de l'entrepôt qui arrive peu de temps après, mais refuse d'ouvrir son entrepôt avant l'arrivée de la police de peur du lynchage. La police arrive devant mon cabinet, des voisines (tous les voisins étaient mobilisés devant l'entrepôt) les informent que le bonhomme s'est réfugié dans l'entrepôt. L'homme est capturé et accompagné au poste de Ben Arous et on demande au propriétaire de l'entrepôt d'aller déposer un P V. ». Je me rends donc au poste de police de Ben Arous et j'informe le représentant du chef de poste que je viens déposer plainte contre la personne qui a saccagé mon cabinet et que la police a arrêtée, il me rétorque « mais aucune personne n'a été arrêtée » et il va vérifier, aucune trace de cette affaire à ce moment il me demande d'aller chercher un témoin de l'arrestation. Je retourne et je demande aux voisins y a-t-il une personne qui a vu la police arrêter l'homme ? On me rétorque : « demande plutôt y a-t-il une personne qui n'a pas vu cette scène ». C'est alors que me vînt l'idée d'aller voir le propriétaire de l'entrepôt. Le propriétaire confirme et déclare : Qu'ils sont allés au poste, qu'il a déposé et on lui demanda est ce que personnellement il tient à le poursuivre et vu qu'il n'a pas subi de dégâts il répondit non et il me précisa qu'au moment de son arrestation l'homme était en possession de trois passeports un tchèque et deux tunisiens les trois en son nom ! Il m'accompagne au poste et témoigne. Alors qu'un agent m'accompagne pour aller faire le constat, le propriétaire est retenu sûrement pour une nouvelle déposition. L'agent fait son constat et prend ma déposition par la suite la police technique me rend visite dans mon cabinet et fait son boulot. Je ne porte pas de jugements, je rapporte des faits sur ce qui se sont passés dans la nuit du 30 au 31 Août. Heureusement il y a aussi chez nous des compétences qui réconfortent à commencer par l'agent qui a fait le constat et qui s'est chargé de l'affaire et surtout l'officier je pense que c'est un officier de la police technique dont je ne vois pas pourquoi on ne nommerait pas police scientifique en deux mots c'est la Grande Classe comme on en voit dans les films policiers américains. Il faut surtout saluer la réaction citoyenne et courageuse de mes voisins. S'il y a vraiment une volonté politique, je pense que le terrorisme n'a aucun avenir en Tunisie.

CHDOULA
| 11-10-2015 16:34
Il a raison notre ministre , c'est de la prévention , en cas de tempête de sable il faut remettre le sable en place rapidement !!!!!!!

Ben
| 11-10-2015 14:08
je ne suis pas parent, et je juge le monsieur sur les faits,notamment le ménage qu'il est entrain de faire dans les rangs des agents infiltrés au sein du ministère,
Je ne connais pas, par contre, le fils de légume dont vous parlez.
serez vous parent avec AHMED RAHMOUNI, ou avec le juge d'instruction en charge des affaires terroristes.

Mourad Lotfi B
| 11-10-2015 13:41
Mais,Il n'a pas eu le courage d'arrêter le fils de légume qui est entré par escalade et éffraction et qui a saccagé mon cabinet dentaire. Vous êtes un parent à lui?

Ben
| 11-10-2015 11:41
GHARSALLI apporte, tous les jours que dieu fait, la preuve de son patriotisme, et de son abnégation dans la tâche ardue qui lui est confiée.
Il associe courage, rigueur et loyauté à son pays. Ces qualités le hissent au dessus des querelles et campagnes de dénigrement que certains , parmi les membres du corps auquel il appartenait, n'ont eu de cesse à provoquer contre lui depuis le premier jour de sa nomination à la tête de ce département sensible.
Alors bon courage monsieur Gharsalli.

Napoleon
| 11-10-2015 11:24
Quand le FMI obligea la Tunisie à supprimer les taxes douanières, Ben Ali nous sortit le truc de la voiture populaire. Monsieur le Ministre êtes vous conscient de la bourde que vous allez faire, confier la maintenance des postes frontaliers à un organisme autre que sécuritaire c'est comme si vous offrez les postes de contrôles frontaliers aux contrebandiers ou aux terroristes. Si votre ministère est incapable d'assurer la maintenance comment voulez qu'il soit capable d'assurer la sécurité. La moindre des choses, vos postes seront truffés de caméras et de micros indécelables. A votre place Monsieur le Ministre, la chose que je ferais illico presto, c'est d'arrêter sur le champ la personne qui proposa cette suggestion et la confier simultanément aux brigades criminel et antiterroriste pour des interrogatoires poussés.

takilas
| 10-10-2015 22:31
Suivis par satellites et rondes aériennes (voire caméras) sont de même efficaces.