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Collecte de signatures de soutien au profit de Mehdi Jomâa
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Des listes de soutien à la candidature de Mehdi Jomâa à la présidentielle seraient en train de circuler. C’est ce qui se raconte dans le milieu politique tunisien. Vérification faite, il s’est en effet avéré que ce sont des proches (de la famille) de l’actuel chef du gouvernement qui seraient derrière.
Le principal intéressé est au courant de ces listes, mais ne s’y est pas opposé, laissant ainsi faire les choses. Les membres de la famille de M. Jomâa chercheraient justement à le convaincre de candidater en appuyant leur argumentation par les milliers de signataires qui le soutiennent.
La réponse interviendra, par la positive ou la négative, lundi prochain au grand maximum.
On rappelle que Mehdi Jomâa a toujours déclaré qu’il n’entend pas rester à son poste après les élections, mais il ne s’est jamais prononcé d’une manière claire quant à la présidentielle, bien que la feuille de route lui interdise cela.
En avril dernier, à une question directe du Washington Post relative à la présidentielle, il a répondu : « Laissez-moi d'abord faire mon travail. Laissez-moi le temps de réussir ma mission ». Fin avril, c’est le quotidien français Le Monde qui laisse entendre que l’actuel chef du gouvernement pourrait devenir président de la République.
A la TAP, il y a quelques jours, il a bien annoncé qu’il ne sera pas le chef du gouvernement après les élections, mais il a poursuivi : «Pour autant, je me tiendrai à la disposition de mon pays pour rendre tout service qui serait en mon pouvoir».
On rappelle que le dernier sondage autorisé (datant de mai 2014) le créditait de 30,1% d’intentions de vote à la présidentielle.
Le principal intéressé est au courant de ces listes, mais ne s’y est pas opposé, laissant ainsi faire les choses. Les membres de la famille de M. Jomâa chercheraient justement à le convaincre de candidater en appuyant leur argumentation par les milliers de signataires qui le soutiennent.
La réponse interviendra, par la positive ou la négative, lundi prochain au grand maximum.
On rappelle que Mehdi Jomâa a toujours déclaré qu’il n’entend pas rester à son poste après les élections, mais il ne s’est jamais prononcé d’une manière claire quant à la présidentielle, bien que la feuille de route lui interdise cela.
En avril dernier, à une question directe du Washington Post relative à la présidentielle, il a répondu : « Laissez-moi d'abord faire mon travail. Laissez-moi le temps de réussir ma mission ». Fin avril, c’est le quotidien français Le Monde qui laisse entendre que l’actuel chef du gouvernement pourrait devenir président de la République.
A la TAP, il y a quelques jours, il a bien annoncé qu’il ne sera pas le chef du gouvernement après les élections, mais il a poursuivi : «Pour autant, je me tiendrai à la disposition de mon pays pour rendre tout service qui serait en mon pouvoir».
On rappelle que le dernier sondage autorisé (datant de mai 2014) le créditait de 30,1% d’intentions de vote à la présidentielle.
R.B.H.
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