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Chahed s'entretient à Tataouine avec les représentants des partis et de la société civile
27/04/2017 | 17:07
1 min
Chahed s'entretient à Tataouine avec les représentants des partis et de la société civile

 

La visite du chef du gouvernement, Youssef Chahed dans le gouvernorat de Tataouine, se poursuit en ce jeudi 27 avril 2017. Après avoir quitté précipitamment le siège du gouvernorat, Youssef Chahed a rencontré les représentants des partis politiques, des organisations et de la société civile, ainsi que les députés de la région.

 

Le chef du gouvernement était accompagné, entre autres, du ministre des Affaires locales et de l’Environnement, Riadh Mouakhar, du ministre de l’Industrie et du Commerce, Zied Laâdheri et de la secrétaire d’Etat à la Formation professionnelle, Sayida Ounissi.

 

Après cet incident et alors que les protestataires avaient formulé le souhait de revoir de nouveau le chef du gouvernement, Youssef Chahed a refusé de les rencontrer une deuxième fois. Le ministre de la Formation professionnelle et de l’Emploi, Imed Hammami, et le ministre des Affaires sociales, Mohamed Trabelsi, sont quant à eux retournés au siège du gouvernorat pour s’entretenir avec eux.

 

S.A

27/04/2017 | 17:07
1 min
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Commentaires (5)

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MDO
| 28-04-2017 12:12
L'origine essentiel du mal après les changement de 2011 c'est qu'on a gardé l'ancienne mentalité et la conception des rôles respectivement de l'Etat, le gouvernement,les autres pouvoirs , les médias , ...etc.En effet il y a une nécessité impérieuse que toutes les parties prenantes dans le pays s'entendent sur le rôle et le positionnement de chacun d'entre eux pour bien l'assumer sinon on ne sortira jamais du tunnel et l'existence même de l'Etat sera sur la sellette, ce qui ne peut mener qu' à l'anarchie et un sort incertain pour tout le monde. Donc, les principaux principes sur les quels toutes les parties doivent s'entendre c'est d'abord comprendre bien le mode de fonctionnement de l'Etat dont le gouvernement n' a pas comme avant le pouvoir absolu il doit fonctionner conformément à la loi puisque les projets à réaliser doivent être inscrits dans le plan de développement et exécutés selon la réglementation en vigueur contrairement à ce que pense la majorité de l'opinion publique que le gouvernement peut décider à chaque instant un nouveau projet et l'exécuter et justement c'est ce gouvernent lui même qui participe à l'amalgame et la confusion lorsqu'il se déplace à une région et annonce des projets au lieu de faire comprendre aux citoyens que ces projets sont déjà inscrits dans le plan et que le rôle du gouvernement par le biais de l'Administration publique de mettre en exécution le plan. Concernant le chômage le rôle de l'Etat ne peut être que garantir l'équité de recrutement dans le secteur publique et inciter à l'emploi dans le secteur privé et non pas imposer à celui-ci un nombre de recrutement ou dans quel site il doit s'installer, en plus il y a des choses très bizarres véhiculées par tous le monde genre " l'emploi est l'un des objectifs de la révolution " dans ce cadre il est bien évidemment très bien d'avoir des objectifs mais faut - il encore qu'ils soient réalistes, ainsi on ne peut pas prétendre éliminer le chômage même si on a effectué une révolution, l'objectif est donc de diminuer le taux de chômage à un taux conforme à nos possibilités, en effet, tout le monde doit abandonner cet objectif vague cité à tort et à travers et s'entendre sur le taux de chômage qu'on peut diminuer sachant qu'on ne peut pas arriver avec une économie comme la notre à un taux qui soit inférieur à 12 % dans le meilleur des cas. Un autre point crucial dans la compréhension du rôle de chacun dans le pays c'est comment combattre la corruption, en effet, la plupart des intervenants pensent que c'est le rôle exclusif du gouvernement et que celui des partis politiques et les médias s'arrête à mentionner d'une manière vague l'existence du phénomène en critiquant l'Etat pour ne pas l'avoir éliminé alors que c'est justement toutes les autres parties doivent avoir un rôle actif dans la dénonciation de la corruption et même dans les pays qui ont de longues traditions démocratiques la majorités des scandales relatifs à la corruption ont été révélés par les journalistes, les associations ou les partis de l'opposition ou les citoyens et dans ce cadre on a remarqué que tous les politiciens et analystes en Tunisie parlent de l'existence et la gravité du phénomène de la corruption dans le pays mais d'une manière vague exception faite par Mr A.Briki qui a cité clairement des cas de fraude , car tout gouvernement dans tous les pays du monde peut avoir des calculs et des intérêts pour ne pas lutter efficacement contre la corruption. En conclusion tout le monde doit changer ses évidences et la perception figées et traditionnelle de son rôle dans le pays pour éviter le cercle vicieux dans lequel nous tournons actuellement, en effet, la démocratie n'est pas seulement des libertés et des revendications à garantir par l'Etat seulement ou un gouvernement mais le nouveau contexte implique une participation au pouvoir qui signifie aussi des responsabilités et des obligations à la charge de tout le monde.

hassib
| 27-04-2017 19:01
faut pas surtout oublier les traficants, les ghabbaras les mafieux les islamistes de daech et tous les autres terroristes de tout bord ,vous donnez là une mauvaise image de l'etat ! fallait pas y aller ,la Tuinsie est une et unie ,las khouenjiyas de nahdha qui sabotent le gouvernement doivent repondre de leurs crimes devant la justice ,il nous faut un homme fort et determiné,il faut que la loi sévisse sur tout le territoire du pays ,et les bandits seront bien au frais.vite cherchez nous un homme fort et determiné !

El Chapo
| 27-04-2017 17:51
https://www.youtube.com/watch?v=QSb7SAyNYLI

cfdqqa
| 27-04-2017 17:50
Un premier ministre intelligeant entouré par des ministres compétents non politisés et non religieux et un parlement où Ennahdha ne fait pas parti de la majorité pourra commencer à rétablir l'économie du pays. Le pays ne pourra pas compter sur des partis qui ont causé le plus grand mal au pays depuis janvier 2011.Ces gens là veulent toujours nager dans les eaux troubles pour ne pas être jugés de leurs délits.

Mounir
| 27-04-2017 17:23
Pourquoi Zied Laadheri est assis derrière?
Et s'il n'avait pas besoin de lui pourquoi l'emmener la bas?
Et la grande question! pourquoi celui assis à coté de Zied laadheri se tient la tête genre "on est foutu"?
Pour le ministre des affaires locales je ne pose pas la question de sa position à l'arrière il s'appelle déja Riadh "Mouakher"