alexametrics
jeudi 25 avril 2024
Heure de Tunis : 16:33
Dernières news
Campagne de lutte contre les étals anarchiques au centre-ville de Tunis
23/03/2017 | 09:44
1 min
Campagne de lutte contre les étals anarchiques au centre-ville de Tunis

En coordination avec les unités des forces sécuritaires, la police municipale a lancé, le jeudi 23 mars 2017, une campagne pour lutter contre les étals anarchiques et l'exploitation illégale du trottoir à la place Barcelone, Mongi Bali ainsi qu’à la rue Jamal Abdel Nasser.

 

Au cours de cette campagne et d’après une vidéo de Nessma TV, la police a saisi une grande quantité de vêtements qui étaient exposés sur les trottoirs.

 

F.Z.O


Photo d'illustration


23/03/2017 | 09:44
1 min
Suivez-nous

Commentaires (11)

Commenter

versus
| 23-03-2017 18:25
Ha, ok. Quoique je ne pense pas, je l'a connais depuis plus de 30 ans et l'acteur principal est un algérien. Mais bref, on ne va se chamailler pour un ticket de loto.

renardine
| 23-03-2017 18:12
voilà la preuve de la corruption.Des hommes d'affaires et des politiciens qui sont complices et financent le terrorisme

KATO
| 23-03-2017 17:12
Juste pour votre information, cette blague était déjà parue dans un bouquin de blagues, il y a déjà plus de 30 ans. Elle concernait une autre communauté, pour son côté radin.

SlahedinneBL
| 23-03-2017 14:44
Ils envahissent de nombreux endroits un peu partout dans les villes.
Ils sont comme la mauvaise herbe.
Ils reviendront dès que la Municipalité aura baissé sa garde.
Le laxisme de la période Troika, à des fins éléctoralistes, leur a donné un certain avantage qu'on aura du mal à éradiquer.
Cette guerre contre les étals anarchiques est la même que celle de la contrebande.
L'un sert l'autre.

versus
| 23-03-2017 14:43
Il existe une blague en France qui est la suivante "un zimigri se plaint à dieu de ne jamais gagner au loto et dieu de lui répondre, t'as qu'à jouer déjà". Pour les miséreux, ils ont fait un choix de vie et d'avenir, qui est: éducation (par la fréquentation des bancs d'école), travail (pour la dignité et manger). Ceux que vous décrivez de miséreux, je vous prend par la main durant une semaine et on égrène les bars de la ville, là ou la Celtia coule à flot.
La vie n'est faites que de choix, en Europe le miséreux c'est celui qui travaille pour nourrir et loger les miséreux dont vous parlez.
HC à une vision exacte de ceux que sont ces miséreux, ces posts sont toujours de bon sens.
Je te salue l'ami, HC.

fethia
| 23-03-2017 13:11
Tant que l'État procède par campagne pour nettoyer la capitale et rompre avec l'anarchie, rien ne sera fait et les contrevenants reviendront toujours pour ternir cette image pour laquelle les gouvernants n'ont pas su trouver de solutions ou n'ont pas de volonté pour lui trouver des solutions. Les marchands anarchiques menacent en disant "qu'ils sont les collègues de feu bouazizi".

HatemC
| 23-03-2017 12:43
Vous réfléchissez c'est bien ça ??? Mais pas bien ...

Je soupçonne qui vous êtes mais bon ... je réponds pour tous ceux qui suivent BN et surtout pour couper l'herbe aux personnes comme vous qui leur trouve des prétextes d'exister ...

D'abord la misère n'est pas une fatalité et ces vendeurs de misères peuvent s'organiser et devenir légaux avec un commerce légal dans des endroits dédier .... et payer l'emplacement et leur impôts ...

Se déclarer et ainsi avoir accès aux soins ... et cotiser dans une caisse retraite etc ...

NON A L'ANARCHIE ... l'anarchiste ...

700 000 Tunisiens ne paient pas leur impôt, manque à gagner pour le Trésor Tunisien, c'est ce fléau qu'il faut combattre, combattre le commerce parallèle.

L'économie souterraine ...
Combattre ceux qui alimentent chaque jour ce commerce miséreux qui plonge les commerçants des villes dans la faillite ...

VOUS REFLECHISSEZ avec vos orteils on dirait ...

A combien estimerions-nous le manque à gagner en impôts directs et indirects pour l'Etat ?
A combien estimerions-nous le manque à gagner pour les caisses d'assurance maladie et de retraite auxquelles ces actifs ne cotisent pas ?

Si on ne traite pas l'informel, l'anarchie restera la norme.

C'est une injustice à l'encontre de l'intérêt général yé si l'autre ...

Il est vrai que l'économie informelle permet à des personnes en rupture avec le marché de l'emploi, comme ces vendeurs à la sauvette de renouer avec l'activité économique ... mais faut-il encore qu'ils déclarent leur étale et leur commerce et payer ne serais-ce que l'emplacement ... NON ces gens profitent d'un vide et nous installe dans l'anarchie ...

Ces gens gagnet leur vie mieux que quiconque et c'est NET D'IMPOT ... et alimentent la contrebande et le terrorisme par ricochet ...

Va te cultiver au lieu de raconter des inepties ...

je regarde ces vendeurs comme des voyous qui n'ont aucune considération pour l'intéret commun ... Hatem Chaieb

l'autre
| 23-03-2017 11:47
On traversant les rues des grandes villes tunisiennes comme Tunis, Sfax, Sousse, et autres...Je m'insurge contre l'anarchie qui reigne et j'ai le sentiment de honte de voir les rues jonchées de saleté , les passant bousculés et les trottoirs confisqués par ces marchands de la misère. J'ai envie de crier et dire Stop à cette situation inacceptable. Mais, une fois chez moi et je commence à réfléchir et je me pose la question du fond: pourquoi ces gens sont sur le trottoir, est ce par plaisir, est ce par un choix de gain facile, ... Là je me rends compte qu'il y a un autre problème. ces gens ont été poussés par la misère à faire ce type de boulot "vendeur ambulant sur un trottoir". Ils ont une famille, des enfants à nourrir , à soigner mais n'ont rien dans les poches alors que faut-il faire? Ils n'ont pas de choix que de faire des métiers de la honte et de la misère. Ils sont donc peut être le seul responsable sur cette situation. C'est facile de faire compagne et de les renvoyer du trottoir , de confisquer leur bien ou leur misère. Il faut une solution radicale et trouver un moyen pour que ces gens nourrissent , soignent leurs enfants, leurs parents leurs femmes ou maris. Il est très facile de dire que ce sont les seuls responsables sur cette situation. Quand j'entends des augmentations de salaire dans le privé, des avantages pour nos députés (voiture, logement et même des tarifs spéciaux pour eux et leurs familles dans les avions, hôtels pour passer des vacances agréable et ne pas faire la queue aux aéroports comme les citoyens, des grèves d'enseignants pour avoir plus, .... alors que ces malheureux vendeur ambulants ont moins que rien, là je mes sentiments changent et je ne suis plus sûr que ces vendeurs ambulants sont fautifs et méritent ce traitement. Ils sont là par obligation et c'est du devoir de la société , de l'état, de nous tous de trouver des solutions justes. Il faut peut être réfléchir à mettre en place des lieux accessibles où ces gens exposent leurs produits pour gagner leur vie et nourrir leurs enfants. Il faut peut être un partage plus équitable des ressources et plus de solidarité. Je vous invite donc de regarder autrement ces vendeurs ambulants et ne le prenez pas pour les seuls responsables sur cette anarchie à ciel ouvert. Les responsables sont ailleurs, les responsables c'est peut être nous tous pour notre silence et complicité avec nos gouvernants qui ne veulent pas voir en face la réalité et continuent de délapider nos peu des moyens juste pour se maintenir dans leurs postes et garantir leurs avantages. Peut être il faut réfléchir plus que ça avant e juger ces vendeurs ambulants certes sources de nuisance, de saleté mais.... je ne sais rien , je ne sais pas...!!! la faute est à qui?

HatemC
| 23-03-2017 11:33
Une police municipale en voiture qui sillonne les quartier régulièrement ...
Autrement ces beni hilel reviendront ...

ils ont dénaturés nos rues et défigurés tous les quartier ...

On se croirait à KANDAHAR ... foutu bled peuplé dignare et d'inculte ... 3ouribet Khouribet .... Ces gens sont comme des criquets là ils passent ils détruisent .... et laisse derrière eux leur défection d'arabe rétrograde ... y en a marre de cette situation ... Hatem Chaieb

tunisiano
| 23-03-2017 10:31
vous savez c'est quoi le malheur en Tunisie, c'est qu'on fait tout avec des campagnes qui durent quelques heures ou bien quelques jour mais après tout redevient comme auparavant, notre pire problème est l'endurance et la volonté de pratiquer les lois toujours et chaque jour