Je vous pense que vous avez réalisé un cauchemar!

Merci pour l'article.
Cela ne pouvait finir autrement.
Quand le pouvoir tombe accidentellement entre mains d'affamés, haineux de surcroit, la fin ne peut être autre.
Salutations.

il suffit que BCE fasse un discours ou il s'excuse sur ses propos et ça reviendra au calme.

Mes chers compatriotes,
Le bp n'est ni Aljazeera, ni le régionalisme, il s'agit d'un grand manque de respect envers 1M de personnes, qui n'ont commis aucun crime sauf qu'il ont soutenu l'adversaire de Bce, à ce titre l'élite adverse, au lieu de respecter le choix de cette tranche de population , continuait à les stigmatiser, regarder le nombre de coms parlant de manipulation en utilisant des termes les plus blessants.
Il faut savoir que parmi ces populations, on trouve des ouvriers, des étudiants, aussi des cadres supérieurs et des intellectuels '
La plus part des gens se sont vu attaqué dans leur dignité, élément devançant la pauvreté, surtout dans le sud.
Tant que les politiciens du camp NT, n'améliore pas leurs discours, la situation ne pourrait s'améliorer.
C'est vraiment dommage que le clan bce, ne reconnait pas ses erreurs de communication, et continue à jeter la responsabilité sur leur adversaire, qui avouant le a sauté sur l'occasion pour essayer de gagner du terrain dans le champ électorale.

cet article que je vous transmet ..
Merci M FBS ..pour cet ecalairage et du bon sens.........
DEBOUT POUR LA PATRI

voici son texte .


contagion de la haine fait des ravages sous nos cieux. Des politiciens en mal d'inspiration politique soufflent sur la braise des vieilles rancunes régionalistes et tribales. En lieu et place des confrontations de programmes et de projets de société, certains préfèrent caresser dans le sens du poil de la bête. On dresse les uns contre les autres, des pulsions régionalistes primaires sont sollicitées dans la crispation sur fond de ressentiment.
Soyons clairs. Des hommes courts se sont avisés de brûler la cité. Ils essaient de réveiller le vieux démon des Numides, l'esprit de partition et d'atomisation de l'édifice national. C'est leur dernier argument dans une course folle et insensée pour les sièges et les dignités.
Il est étonnant de voir combien l'attrait du siège l'emporte sur l'intérêt national. La Tunisie, l'un des pays les plus anciennement civilisés au monde, policé depuis l'aube des temps, est menacée. De nouvelles grimaces de la peur sont invoquées par d'étranges incantations de pseudo-leaders en mal de charisme, de programmes, de communion avec la large masse.
Le jeu démocratique ne vaut que s'il y a concurrence, émulation, jeux de rôles et projets alternatifs. La démocratie c'est la concurrence loyale, à la bonne franquette, et l'alternance, ne fût-ce que dans la dimension discursive. L'archipel des replis sur soi, l'esprit de clocher, le régionalisme et le tribalisme sapent le jeu démocratique, le vicient, l'empoisonnent.
Ces derniers jours, on administre la peur et on distille, un peu partout, les appels à la haine. Comme toujours, le citoyen lambda est utilisé comme chair à canon dans cette guerre. Parce qu'il s'agit d'une guerre insidieuse, sournoise, non déclarée, mais dûment assumée par certains.
Le tout au milieu du silence assourdissant des protagonistes de la place politique malade. Le président de la République, le chef du gouvernement, le président de l'Assemblée constituante sortante, les leaders des principaux partis se taisent. Certains d'entre eux sont intimement liés au complot régionaliste aux conséquences tragiques qui se trame. D'autres sont occupés à partager les dividendes des élections, dans un jeu pervers où le donnant-donnant prévaut.
La Tunisie est malade de ses pseudo-élites politiques. Les coteries, les clans, les esprits de corps mafieux prévalent. Les pulsions primitives sont le plus démocratiquement partagées. L'esprit national unitaire vacille, le patriotisme est en berne.
Partout, c'est la mêlée pour le pouvoir, à la Kasbah, à Carthage, au Bardo. Les intérêts égoïstes, particularistes et étriqués s'exercent à la danse macabre. Des gourous tapis dans l'ombre tirent les ficelles du jeu pervers et démentiel.
Un jour Fanfani, président du Conseil italien, avait remarqué un livre sur Jugurtha qui traînait sur le bureau de Bourguiba. Le premier président de la République tunisienne lui a dit : «Je suis un Jugurtha qui a réussi». Parce que, comme autrefois Jugurtha, Bourguiba avait réussi à unifier tous les Tunisiens, du Nord au Sud, et d'Est en Ouest, autour du projet de la libération nationale et d'édification de l'Etat moderne. Malgré ses hauts et ses bas, et son déficit démocratique, le projet avait abouti depuis l'Indépendance en 1956.
Aujourd'hui, chez certains, la haine de Bourguiba se recoupe avec la haine du pays. On ne fait guère la part des choses. On sollicite de vieux démons réducteurs, régionalistes et isolationnistes. Le tout enrobé de slogans tantôt identitaires, tantôt religieux ou droit-de-l'hommistes. Suffit-il qu'on gratte le vernis pour que la bête ressurgisse.
Malgré tout, il faut garder le cap de la bonne espérance. Le sursaut est une affaire de tous. Le parti de l'intelligence doit l'emporter sur le parti de l'instinct.
Réveillez-vous Jugurtha (ou Bourguiba), ils sont devenus fous.
Auteur : Soufiane BEN FARHAT

selon shems fm

Un jeune homme de la région de Médenine, est décédé dans la nuit du jeudi 27 novembre 2014, quand les habitants ont appelé les forces sécuritaires au secours ; un groupe de personnes a coupé le courant électrique dans la rue et a incendié des roues en caoutchouc.

Selon le procureur de la république du tribunal de première instance à Médenine, la victime est tombée d'un toit d'une maison en échappant à la police. Le jeune homme est décdé sur le chemin de l'hôpital.
Une enquête a été ouverte.
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Jeu ignoble d'Ennahdha et du Qatar

ZABA avait en partie raison, hélas, lorsqu'il affirmait que beaucoup d' islamistes représentaient un danger mortel pour la Tunisie !!!!!!
Ces délinquants n'hésitent devant rien !!!

Honorez votre memoire...........la foule etait là.........vous etes les heritiers de ce GRAND PEUPLE !!
https://www.facebook.com/video.php?v=772259469515590&set=vb.278279195580289&type=2&theater

Salutations aux lecteurs de Business News et à sa Rédaction

Le soir de jeudi 27 novembre je discutais le sujet avec un bourguibiste tunisien et un cadre sécuritaire, déclarant que d'après mes analyses la situation socio-politique, après le révoltant résultat du premier tour des élections présidentielles et la fracture Nord/Sud voulue par les islamistes et ben-yousseffistes haineux du Sahel, laissait présager toute une "stratégie de la tension" cultivée par le parti des Frérots islamistes de Tunisie Ennahdha, leurs médias qatariens et l'alliance militaire turco-qatarienne, en vue de justifier une attaque à surprise pour soumettre la République tunisienne à un putsch djihadiste sur la base de l'allégeance politique du Sud-tunisien au pion du Qatar, l'indigne président provisoire Moncef Marzouki, traître vis-à-vis des ses engagements temporaires avec la République et se métamorphosant clairement en dictateur pro-charia et support du djihadisme qatarien.

Le "tartour" présidentiel, ainsi connu aux médias du monde entier - qui n'est rien de plus qu'un alter-ego des intérêts subversifs du chef suprême des Frères islamistes Rached Khriji al-Ghannouchi après l'emprisonnement définitif de Mohammed Badie en Egypte - a déjà fait comprendre ses intentions démagogiques nuisibles et violemment antidémocratiques dans l'interview à France 24 avec des menaces à peine voilées proférés à propos des "troubles et instabilité" en cas du passage présidentiel de Béji Caïd Essebsi (qui est logiquement conséquent vu l'échiquier politique). Maintenant la propagande des Frérots par leur chaîne diabolique Al-Jazeera passe à une étape supérieure, celle de l'instigation à la révolte populaire...

Il est de devoir du Ministre tunisien des Affaires Etrangères Mongi Hamdi d'intervenir dans ces ingérences gravissimes d'une chaîne qatarie notoirement connue pour son rôle de propagande djihadiste et de subversion tous azimuts.

Il en va clairement de la survie du système républicaine et de la Tunisie elle-même; de même l'alliance Front Populaire et Nidaa Tounès est de mise pour éviter la catastrophe nationale.

Je confirme par là que ce que dit le franc intervenant "John Wayne" alias F.M. est une MENACE IMMINENTE, les Tunisiens doivent se réveiller et se mobiliser pour l'unité du Pays.

C'est une banque de trafiquant et d'ignorant.
Il ne peuvent pas penser par eux mêmes pour savoir se qui bien pour la Tunisie.