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Biographie de Abderrahim Zouari, candidat à la Présidentielle de 2014
Abderrahim Zouari, né le 18 avril 1944 à Dahmani, est le candidat du parti du Mouvement destourien à l'élection présidentielle de 2014. Titulaire d'une licence de droit privé, d'un certificat d'aptitude à la profession d'avocat et d'un diplôme d'études spécialisées de droit, il a intégré très jeune les structures du Parti socialiste destourien (PSD) au Kef.
Maire de Dahmani entre 1970 et 1975 et attaché de cabinet au ministère de l'Agriculture entre 1971 et 1974, il est désigné comme gouverneur à l'âge de trente ans. En poste à Gabès (1974-1978) puis Nabeul (1978-1980), il devient ensuite directeur de l'administration régionale au ministère de l'Intérieur en 1980 puis député de 1981 à 1987.
Il est nommé, sous Ben Ali, à la tête de différents ministères : Justice (1991-1992), Jeunesse et Enfance (1993-1997), Affaires étrangères (1997),Éducation (1998-1999), Sport et Éducation physique (2000-2002), Tourisme et Artisanat (2002-2004) et Transport (2004-2011).
Le 13 avril 2011, suite à un mandat d'arrêt du parquet de Tunis, il est inculpé et arrêté pour « détournement de fonds publics et abus de pouvoir au cours de ses missions au sein du RCD ». Trois mois plus tard, sa libération est ordonnée par la justice bien qu'il reste en garde à vue jusqu'au 2 novembre 2012
Maire de Dahmani entre 1970 et 1975 et attaché de cabinet au ministère de l'Agriculture entre 1971 et 1974, il est désigné comme gouverneur à l'âge de trente ans. En poste à Gabès (1974-1978) puis Nabeul (1978-1980), il devient ensuite directeur de l'administration régionale au ministère de l'Intérieur en 1980 puis député de 1981 à 1987.
Il est nommé, sous Ben Ali, à la tête de différents ministères : Justice (1991-1992), Jeunesse et Enfance (1993-1997), Affaires étrangères (1997),Éducation (1998-1999), Sport et Éducation physique (2000-2002), Tourisme et Artisanat (2002-2004) et Transport (2004-2011).
Le 13 avril 2011, suite à un mandat d'arrêt du parquet de Tunis, il est inculpé et arrêté pour « détournement de fonds publics et abus de pouvoir au cours de ses missions au sein du RCD ». Trois mois plus tard, sa libération est ordonnée par la justice bien qu'il reste en garde à vue jusqu'au 2 novembre 2012
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