Le ministre des Affaires sociales, Ahmed Ammar Younbaï a reçu, jeudi 7 mai 2015, une délégation d’experts du Bureau international du Travail. Une rencontre qui a été l’occasion pour les experts de présenter un document portant sur la mise en place d’un plan national de lutte contre le travail des enfants en Tunisie, pour la période 2015/2020.
Ahmed Ammar Younbaï a rappelé à ce propos, que la Tunisie dispose d’une législation développée en matière de contrôle du travail. Il a souligné que le ministère des Affaires sociales a intensifié les visites et les campagnes de sensibilisation autour du phénomène du travail des enfants.
Pour sa part, la délégation d’experts a indiqué que le Bureau international du Travail, a adopté le projet de la mise en place d’un plan national de lutte contre le travail des enfants en Tunisie, réaffirmant que l’organisation est prête à soutenir encore plus la Tunisie à travers ses expertises dans ce domaine.
I.L.
Mais ces connards sont des fous a lier bordel !!!!
Ah non moderateur ,pas de décoration étoilé !!! parce que là ,si on laisse faire ces tarés d'idéalistes a la mord moi le noeud,ils finiront par faire imploser la societé tunisienne !!
Revoir de fonds en comble l 'Enseignement
La massification des bacheliers avec des notes gonflées a produit les diplomés chomeurs peu qualifiés malgré leurs diplomes ronflants sinon les pays demandeurs de diplomés les auraient embauché
Tous ceux qui décrochent de l'ecole doivent etre formés àune prodession;essyez de trouver un bon electricien ;un bon chaffagiste ;un bon peintre;un bon boucher (les bouchers sont encore à l 'ere de la kardha et satour;avec de la viande suspendue en plein air)
Il ya du travail pour le recyclage ds dechets;pour l 'economie verte à tous les echelons
PROPOSEZ DES SOLUTIONS
Les enfants travailleurs sont dans l'obligation de nourrir leurs familles ou parce que le système les a rejetés sans qu'ils puissent acquérir l'ensemble des compétences enseignées au cours du cycle primaire ou secondaire.
Ça serait injuste d'interdire à un enfant qui nourrit toute une famille de ne pas travailler et de laisser toute sa famille mourir de faim. C'est illogique et c'est contreproductif. La vie n'est pas du tout facile pour beaucoup de gens. Il y a même ceux, par exemple en Chine ou en Inde, qui vendent leurs enfants à la bourgeoisie parce qu'ils n'ont pas assez d'argent pour nourrir tous les enfants. Et ceci pour une maigre somme de quelques dollars.
Certes, Il faut protéger les enfants de la maltraitance pour que l'on n'abat pas, que l'on ne les force pas à travailler 12 heures par jour, et pour qu'ils auraient aussi le droit de fréquenter une école afin d'apprendre à écrire, à lire et faire des calculs arithmétiques de bases.
Je connais des familles tunisiennes qui ont des bonnes mais qui leur permettent aussi de fréquenter une école privée durant 3 heures par jour. Elles font partie de la famille et elles sont heureuses.
Il faut demander d'abord le consentement de l'enfant ou lui permettre une alternative afin qu'il puisse aussi se nourrir avec sa famille.
Exemple: Jamila âgée de 14 ans est née dans un petit village rural du Cap Bon tunisien. Peu après sa naissance, son père est mort d'un cancer d'estomac. La mère de Jamila allait travailler sur les champs des autres, mais ne gagnait pas assez d'argent pour nourrir ses cinq enfants. Désespérée, elle a alors envoyé sa fille Jamila travailler comme bonne chez une famille relativement riche à Nabeul. Jamila est très heureuse chez sa famille "adoptive", elle aide le matin à faire le ménage et l'après-midi elle fréquente une école libre pour enfant. Interdire à Jamila de travailler, ça ne serait pas une solution optimale dans ce cas particulier.
Il faut plutôt traiter le travail des enfants au cas par cas afin de trouver une solution optimale.
Jamel
http://www.go4tunisia.de/PDF/Pronostics_excerpt.pdf
http://www.go4tunisia.de/PDF/intelligence_artificielle.pdf
https://www.youtube.com/watch?v=ID1ZTMq0ITg&list=RDb4e8TjBLsJc&index=2
A mon avis, ce n'est pas avec les aides médiocres octroyées actuellement par le ministère des affaires sociales qu'on va arrêter ce fléau.
Il faut mettre en place tout un programme tout en incriminant les pères fainéants de ces filles qui adorent l'argent facile.