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Belhassan Oueslati : 7 soldats décédés et 10 blessés dans la fusillade de Bouchoucha
Le porte-parole du ministère de la Défense, Belhassan Oueslati a révélé, lundi 25 mai 2015, que le caporal-chef ayant commis la fusillade à la caserne de Bouchoucha avait des problèmes familiaux et un comportement perturbé ces derniers-temps.
Belhassan Oueslati a souligné qu’il s’agit d’une opération isolée et que les causes seront révélées par l’enquête en cours. Le bilan actuel s’éléve à 7 soldats décédés en plus de l’assaillant et de 10 blessés dont l’un dans un état grave. Le porte-parole du ministère de la Défense affirme qu’il ne s’agit en aucun cas d’une attaque terroriste.
I.L.
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L'ATTENTAT DE BOUCHOUCHA : 11 QUESTIONS A JOHN WAYNE (1)
JOHN WAYNE
| 26-05-2015 10:36
Q-1 : La Tunisie déplore 7 morts et 15 blessés lors d'un attentat qui a visé la base militaire de Bouchoucha. Cet attentat vous étonne-t-il ?
JW : Absolument pas. J'ai depuis environ 3 années mis en garde la Tunisie et son gouvernement quant à des attentats qui viseraient les structures vitales au pays comme les préfectures et la bases militaires alors que les Tunisiens s'enlisaient dans une euphorie révolutionnaire et surtout électorale. Je suis un pur produit de Bourguiba et un ancien collègue de Ben Ali. Je sais lire à travers les mascarades et les pièges de l'histoire. Je ne suis pas la médiocrité et l'antipatriotisme qui gouverne mal et qui vend sa Nation comme le sont les Tunisiens d'aujourd'hui, mais l'élite qui a bâti et qui a défendu.
Q-2 : Que signifie cet attentat en termes de situation sécuritaire ?
JW : Je vous renvoie aux centaines d'analyses que j'ai publié sur Business News et sur Tunisie-Secret. La guérilla islamiste a débuté le soir du départ de Ben Ali alors que l'armée Tunisienne qui avait menacé notre Patron et Président avant de le pousser à l'exil, était trop occupée à recevoir des instructions de l'ambassade des Etats Unis quant à l'avenir de la Tunisie, et qu'une poignée de mercenaires obéissant a la CIA exhibaient les Trabelsi que l'on conduisait à un bus qui les mènerait en prison. Le départ de Ben Ali a été suivi d'une chasse aux sorcières qui a débuté avec l'arrestation de notre frère Ali Sériati mais aussi par une confrontation armée entre mes collègues de la police et du Ministère de l'Intérieur et ces mêmes mercenaires de l'armée Nationale. Cette confrontation et le vide sécuritaire qui lui est associé ont favorisé l'entrée d'armes et de djihadistes dès le soir du 14 Janvier 2011.
Q-3 : Qu'elle est la suite ?
JW : La suite vous la connaissez. Des dizaines de mes collègues qui ont protesté ce coup d'état militaire ont été abattus ou emprisonnés par l'armée qui sous les instructions de la CIA a créé un gouvernement par intérim qui a libéré les islamistes les plus dangereux et rapatrié leurs têtes en Tunisie. Le gouvernement par intérim est aussi celui responsable d'une coopération odieuse avec l'OTAN qui a affaibli la Libye, menant son leader à un siège à Syrte qui s'est fini par son assassinat dans la souffrance et l'humiliation. La Libye effondrée est devenue la plus grand base d'Al Qaeda avec l'Irak et la Syrie et constitue un pays hostile à la Tunisie dont le but et son occupation militaire et la création d'un Califat.
Q-4 : Comment avez-vous pu deviner que la Tunisie se destinerait a une confrontation armée de plus en plus grave avec les Djihadistes ?
JW : La réponse est simple. Une fois Ben Ali et son régime démantelés par l'armée Nationale a la demande des Etats Unis, la Tunisie a replongé dans la même crise sécuritaire qui existait peu avant le 7 Novembre 1987 mais en plus grave. Du temps de Ben Ali, la Libye de Kadhafi était un pays contrôlé par des militaires et un système de renseignement impitoyable. Les islamistes ne pouvaient pas fuir en Libye ni attaquer de ce pays la Tunisie. Leurs activités étaient limitées à la frontière avec l'Algérie. Aujourd'hui, les djihadistes profitent d'un Libye immense en territoire mais surtout bénéficiant de l'aide logistique de la CIA et du Qatar. En Algérie, ils sont en déroute ce qui explique pourquoi ils limitent leurs activités à une route qui longe la frontière Algérienne et qui débute au Sud près de la frontière Libyenne.
JW : Absolument pas. J'ai depuis environ 3 années mis en garde la Tunisie et son gouvernement quant à des attentats qui viseraient les structures vitales au pays comme les préfectures et la bases militaires alors que les Tunisiens s'enlisaient dans une euphorie révolutionnaire et surtout électorale. Je suis un pur produit de Bourguiba et un ancien collègue de Ben Ali. Je sais lire à travers les mascarades et les pièges de l'histoire. Je ne suis pas la médiocrité et l'antipatriotisme qui gouverne mal et qui vend sa Nation comme le sont les Tunisiens d'aujourd'hui, mais l'élite qui a bâti et qui a défendu.
Q-2 : Que signifie cet attentat en termes de situation sécuritaire ?
JW : Je vous renvoie aux centaines d'analyses que j'ai publié sur Business News et sur Tunisie-Secret. La guérilla islamiste a débuté le soir du départ de Ben Ali alors que l'armée Tunisienne qui avait menacé notre Patron et Président avant de le pousser à l'exil, était trop occupée à recevoir des instructions de l'ambassade des Etats Unis quant à l'avenir de la Tunisie, et qu'une poignée de mercenaires obéissant a la CIA exhibaient les Trabelsi que l'on conduisait à un bus qui les mènerait en prison. Le départ de Ben Ali a été suivi d'une chasse aux sorcières qui a débuté avec l'arrestation de notre frère Ali Sériati mais aussi par une confrontation armée entre mes collègues de la police et du Ministère de l'Intérieur et ces mêmes mercenaires de l'armée Nationale. Cette confrontation et le vide sécuritaire qui lui est associé ont favorisé l'entrée d'armes et de djihadistes dès le soir du 14 Janvier 2011.
Q-3 : Qu'elle est la suite ?
JW : La suite vous la connaissez. Des dizaines de mes collègues qui ont protesté ce coup d'état militaire ont été abattus ou emprisonnés par l'armée qui sous les instructions de la CIA a créé un gouvernement par intérim qui a libéré les islamistes les plus dangereux et rapatrié leurs têtes en Tunisie. Le gouvernement par intérim est aussi celui responsable d'une coopération odieuse avec l'OTAN qui a affaibli la Libye, menant son leader à un siège à Syrte qui s'est fini par son assassinat dans la souffrance et l'humiliation. La Libye effondrée est devenue la plus grand base d'Al Qaeda avec l'Irak et la Syrie et constitue un pays hostile à la Tunisie dont le but et son occupation militaire et la création d'un Califat.
Q-4 : Comment avez-vous pu deviner que la Tunisie se destinerait a une confrontation armée de plus en plus grave avec les Djihadistes ?
JW : La réponse est simple. Une fois Ben Ali et son régime démantelés par l'armée Nationale a la demande des Etats Unis, la Tunisie a replongé dans la même crise sécuritaire qui existait peu avant le 7 Novembre 1987 mais en plus grave. Du temps de Ben Ali, la Libye de Kadhafi était un pays contrôlé par des militaires et un système de renseignement impitoyable. Les islamistes ne pouvaient pas fuir en Libye ni attaquer de ce pays la Tunisie. Leurs activités étaient limitées à la frontière avec l'Algérie. Aujourd'hui, les djihadistes profitent d'un Libye immense en territoire mais surtout bénéficiant de l'aide logistique de la CIA et du Qatar. En Algérie, ils sont en déroute ce qui explique pourquoi ils limitent leurs activités à une route qui longe la frontière Algérienne et qui débute au Sud près de la frontière Libyenne.
être dans le vent c'est avoir le destin des feuilles
1/raisonnable
| 26-05-2015 08:28
Pendant les élections, BCS avait promis de nettoyer l'appareil sécuritaire de toutes les nominations partisanes, lors le coup d'état de la troïka. Lorsqu'il a eu les voix de peuple pour accéder au trône, la seule chose qu'il avait faite, c'est de faire ressusciter les mêmes terroristes que les tunisiens n'en veulent, pas pour diriger le pays. Résultat des ordres que Gannouchi et sa secte ne cessent de surgir, pour nous impressionner en chaque circonstance , au vu et au su des clans à la tête de l'État bananière, pour partager la part du gâteau. Il convient de préciser que nos militaires ont été assassinés à la demande des responsables de partis, pour leurs homologues infiltrés au sein des forces de l'ordre. En effet, outre que les attentats commis durant, le mal ne fait que commencer, dès lors qu'une grande partie de leur milices s'entraine en Libye, ils n'ont qu'un souci d'avoir l'aval du gourou de la nébuleuse extrémiste au pouvoir en Tunisie.
L'ATTENTAT DE BOUCHOUCHA : 11 QUESTIONS A JOHN WAYNE (1)
JOHN WAYNE
| 26-05-2015 06:42
Q-10 : Quelles sont vos solutions ?
JW : ***. Au lieu de discuter d'homosexualité et de légalisation du cannabis, le nouveau gouvernement doit imposer un service militaire obligatoire de trois années aux jeunes entre 18 et 30 ans. Notre pays doit mettre à la porte les ambassadeurs de Turquie, des Etats Unis, d'Arabie Saoudite, et du Qatar. Le gouvernement militaire au pouvoir doit se rendre à Moscou d'urgence et négocier une coopération militaire qui inclura la création de bases et la fourniture d'équipement militaire a la Tunisie sans en faire un diktat économique comme l'on fait les Etats Unis et le FMI. La coopération de ces deux dernières entités est une mascarade destinée à affaiblir et a recoloniser la Tunisie dans un but de renforcement de l'islamisme.
Q- 11 : De quelles armes a besoin notre pays ?
JW : Une fois la situation sécuritaire rétablie par un gouvernement*** impitoyable, l'état d'urgence, et la loi martiale, la Tunisie doit modifier le profil technologique de son armée. Elle doit acquérir de la Russie des centaines de tanks plus modernes mais surtout doit se munir de bombardiers lourds qui détruiront la route de ravitaillement des Djihadistes qui mène du Sud à Chaambi. Toute la région de Chaambi doit être soumise à un bombardement au napalm de façon régulière même s'il s'agit d'en détruire la faune et la flore. Ces bombardiers lourds pourront aussi être utilisés si les frontières avec la Libye étaient soumises à une attaque ou si DAECH arrivait à pénétrer en territoire Tunisien. Et dans une telle situation, l'utilisation d'avions de chasse serait aussi inefficace que les bombardements des Etats Unis contre DAECH En Irak. La Tunisie doit acquérir de la Russie des bombes au napalm et à fragmentation. C'est en sécurisant l'intérieur du pays par un régime militaire, en rasant de la carte Chaambi, mais aussi en se préparant à une offensive militaire au Sud, que la Tunisie s'en sortira.
F.M. Alias JOHN WAYNE
Ancien Elève au Collège Sadiki
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.
JW : ***. Au lieu de discuter d'homosexualité et de légalisation du cannabis, le nouveau gouvernement doit imposer un service militaire obligatoire de trois années aux jeunes entre 18 et 30 ans. Notre pays doit mettre à la porte les ambassadeurs de Turquie, des Etats Unis, d'Arabie Saoudite, et du Qatar. Le gouvernement militaire au pouvoir doit se rendre à Moscou d'urgence et négocier une coopération militaire qui inclura la création de bases et la fourniture d'équipement militaire a la Tunisie sans en faire un diktat économique comme l'on fait les Etats Unis et le FMI. La coopération de ces deux dernières entités est une mascarade destinée à affaiblir et a recoloniser la Tunisie dans un but de renforcement de l'islamisme.
Q- 11 : De quelles armes a besoin notre pays ?
JW : Une fois la situation sécuritaire rétablie par un gouvernement*** impitoyable, l'état d'urgence, et la loi martiale, la Tunisie doit modifier le profil technologique de son armée. Elle doit acquérir de la Russie des centaines de tanks plus modernes mais surtout doit se munir de bombardiers lourds qui détruiront la route de ravitaillement des Djihadistes qui mène du Sud à Chaambi. Toute la région de Chaambi doit être soumise à un bombardement au napalm de façon régulière même s'il s'agit d'en détruire la faune et la flore. Ces bombardiers lourds pourront aussi être utilisés si les frontières avec la Libye étaient soumises à une attaque ou si DAECH arrivait à pénétrer en territoire Tunisien. Et dans une telle situation, l'utilisation d'avions de chasse serait aussi inefficace que les bombardements des Etats Unis contre DAECH En Irak. La Tunisie doit acquérir de la Russie des bombes au napalm et à fragmentation. C'est en sécurisant l'intérieur du pays par un régime militaire, en rasant de la carte Chaambi, mais aussi en se préparant à une offensive militaire au Sud, que la Tunisie s'en sortira.
F.M. Alias JOHN WAYNE
Ancien Elève au Collège Sadiki
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.
L'ATTENTAT DE BOUCHOUCHA : 11 QUESTIONS A JOHN WAYNE (2)
JOHN WAYNE
| 26-05-2015 06:42
Q-5 : Il semblerait que les attaques des Djihadistes en Tunisie soient de plus en plus efficaces. Comment expliquer ce phénomène ?
JW : Comme je l'ai expliqué sur Business news, il faut environ 4 années à une guérilla pour murir et atteindre un niveau véritablement militaire. Les Vietminh ont débuté avec des fourches et des fusils de la seconde guerre mondiale pour atteindre un niveau militaire ou ils abattaient les B-52 Américains sur Hanoi. Les Etats Unis même avec leurs bombardements incessants de Hanoi et 10 années après le début de la guerre du Vietnam, n'osaient plus voler en dessous de 40000 pieds. Il en est de même pour la guérilla du Viêt-Cong. Celle-ci était au début limitée aux zones démilitarisées entre le Vietnam Sud et le Vietnam Nord. En moins de dix années, les Viêt-Cong par leurs tunnels sont entrés dans le jardin de l'ambassade des Etats Unis à Saigon ou ils ont fait de nombreuses victimes lors de l'offensive de Têt. Les attentats en Tunisie ont débuté de façon sporadique et fait un nombre limité de victimes. Aujourd'hui les djihadistes frappent au c'ur de la capitale. Ils ont détruit des convois de l'armée. Très bientôt ils abattront des avions et des hélicoptères militaires mais surtout et grâce à leurs cellules dormantes, ils procéderont a des attaques spectaculaires touchant les structures vitales de Tunis comme le Palais de Carthage ou le Premier Ministère.
Q-6 : Est-ce vraiment possible ?
JW : si l'on s'en tient à l'intellect faible des gouvernant actuels en Tunisie, non. Mais en réalité et je désire vous renvoyez à mes nombreux articles, les djihadistes disposent de mortiers de 82 mm et de RPG dans des villes comme Hammam lif. En théorie, ils peuvent dès demain bombarder le Palais de Carthage sans pouvoir être repérés puisqu'ils agiront des toits de quartiers populeux de cette ville peu contrôlée par la police.
Q-7 : Cela me parait exagéré.
JW : Comme il était exagéré de penser que Gadhgadhi aurait créé une cellule dormante équipée d'armes de guerre et de C-4 à Raouad et donc à quelques kilomètres du palais de Carthage. Les Tunisiens sont inconscients. Ils se pensent encore à l'époque de Ben Ali. En réalité, ils sont à la veille d'une guerre civile et d'une attaque globale de la Tunisie qui mettra ce pays à genoux.
Q-8 : Que redoutez-vous le plus ?
JW : La réponse se trouve dans mon article « Pourquoi la Tunisie va vers un Vietnam islamiste ». La Tunisie est condamnée à une attaque globale et coordonnée de cellules dormantes qui pourrait signifier un effondrement de la Nation avec désertions en masses et perte de la chaine de commandement. Ce que j'ai nommé l'offensive de Têt islamiste (OTI). Cette attaque est inévitable et ce que l'on a vécu hier n'est qu'un échantillon.
Q-9 : Quelle autre attaque pourrait toucher la Tunisie ?
JW : Je suis le premier au monde à avoir averti la Tunisie et le Maghreb quant à des attaques de type 11 Septembre qui toucheraient Tunis. J'ai deviné ce complot grâce à mes études nocturnes des sites web d'Al Qaida. Dans certains sites web qui sont très furtifs, l'on y a mentionné les mots «avions », « Tunis », et « Allah ». Ces commentaires codés n'ont pas échappé au flic de Ben Ali que je suis. Une autre attaque planifiée viserait la Banque Centrale de Tunisie qui serait détruite par un camion piégé. Les djihadistes ont de l'imagination mais surtout ils disposent de l'entrainement de la CIA en Turquie et en Jordanie et de l'argent du Qatar.
JW : Comme je l'ai expliqué sur Business news, il faut environ 4 années à une guérilla pour murir et atteindre un niveau véritablement militaire. Les Vietminh ont débuté avec des fourches et des fusils de la seconde guerre mondiale pour atteindre un niveau militaire ou ils abattaient les B-52 Américains sur Hanoi. Les Etats Unis même avec leurs bombardements incessants de Hanoi et 10 années après le début de la guerre du Vietnam, n'osaient plus voler en dessous de 40000 pieds. Il en est de même pour la guérilla du Viêt-Cong. Celle-ci était au début limitée aux zones démilitarisées entre le Vietnam Sud et le Vietnam Nord. En moins de dix années, les Viêt-Cong par leurs tunnels sont entrés dans le jardin de l'ambassade des Etats Unis à Saigon ou ils ont fait de nombreuses victimes lors de l'offensive de Têt. Les attentats en Tunisie ont débuté de façon sporadique et fait un nombre limité de victimes. Aujourd'hui les djihadistes frappent au c'ur de la capitale. Ils ont détruit des convois de l'armée. Très bientôt ils abattront des avions et des hélicoptères militaires mais surtout et grâce à leurs cellules dormantes, ils procéderont a des attaques spectaculaires touchant les structures vitales de Tunis comme le Palais de Carthage ou le Premier Ministère.
Q-6 : Est-ce vraiment possible ?
JW : si l'on s'en tient à l'intellect faible des gouvernant actuels en Tunisie, non. Mais en réalité et je désire vous renvoyez à mes nombreux articles, les djihadistes disposent de mortiers de 82 mm et de RPG dans des villes comme Hammam lif. En théorie, ils peuvent dès demain bombarder le Palais de Carthage sans pouvoir être repérés puisqu'ils agiront des toits de quartiers populeux de cette ville peu contrôlée par la police.
Q-7 : Cela me parait exagéré.
JW : Comme il était exagéré de penser que Gadhgadhi aurait créé une cellule dormante équipée d'armes de guerre et de C-4 à Raouad et donc à quelques kilomètres du palais de Carthage. Les Tunisiens sont inconscients. Ils se pensent encore à l'époque de Ben Ali. En réalité, ils sont à la veille d'une guerre civile et d'une attaque globale de la Tunisie qui mettra ce pays à genoux.
Q-8 : Que redoutez-vous le plus ?
JW : La réponse se trouve dans mon article « Pourquoi la Tunisie va vers un Vietnam islamiste ». La Tunisie est condamnée à une attaque globale et coordonnée de cellules dormantes qui pourrait signifier un effondrement de la Nation avec désertions en masses et perte de la chaine de commandement. Ce que j'ai nommé l'offensive de Têt islamiste (OTI). Cette attaque est inévitable et ce que l'on a vécu hier n'est qu'un échantillon.
Q-9 : Quelle autre attaque pourrait toucher la Tunisie ?
JW : Je suis le premier au monde à avoir averti la Tunisie et le Maghreb quant à des attaques de type 11 Septembre qui toucheraient Tunis. J'ai deviné ce complot grâce à mes études nocturnes des sites web d'Al Qaida. Dans certains sites web qui sont très furtifs, l'on y a mentionné les mots «avions », « Tunis », et « Allah ». Ces commentaires codés n'ont pas échappé au flic de Ben Ali que je suis. Une autre attaque planifiée viserait la Banque Centrale de Tunisie qui serait détruite par un camion piégé. Les djihadistes ont de l'imagination mais surtout ils disposent de l'entrainement de la CIA en Turquie et en Jordanie et de l'argent du Qatar.
L'ATTENTAT DE BOUCHOUCHA : 11 QUESTIONS A JOHN WAYNE (3)
JOHN WAYNE
| 26-05-2015 06:41
Q-10 : Quelles sont vos solutions ?
JW : je vous ramène à mon article publié sur Tunisie-secret et intitulé « Mon appel à l'armée et aux forces de l'ordre ». La Tunisie doit devenir un gouvernement militaire qui aura comme Ministres des officiers de l'armée et de la Garde Nationale. Au lieu de discuter d'homosexualité et de légalisation du cannabis, le nouveau gouvernement doit imposer un service militaire obligatoire de trois années aux jeunes entre 18 et 30 ans. Notre pays doit mettre à la porte les ambassadeurs de Turquie, des Etats Unis, d'Arabie Saoudite, et du Qatar. Le gouvernement militaire au pouvoir doit se rendre à Moscou d'urgence et négocier une coopération militaire qui inclura la création de bases et la fourniture d'équipement militaire a la Tunisie sans en faire un diktat économique comme l'on fait les Etats Unis et le FMI. La coopération de ces deux dernières entités est une mascarade destinée à affaiblir et a recoloniser la Tunisie dans un but de renforcement de l'islamisme.
Q- 11 : De quelles armes a besoin notre pays ?
JW : Une fois la situation sécuritaire rétablie par un gouvernement militaire impitoyable, l'état d'urgence, et la loi martiale, la Tunisie doit modifier le profil technologique de son armée. Elle doit acquérir de la Russie des centaines de tanks plus modernes mais surtout doit se munir de bombardiers lourds qui détruiront la route de ravitaillement des Djihadistes qui mène du Sud à Chaambi. Toute la région de Chaambi doit être soumise à un bombardement au napalm de façon régulière même s'il s'agit d'en détruire la faune et la flore. Ces bombardiers lourds pourront aussi être utilisés si les frontières avec la Libye étaient soumises à une attaque ou si DAECH arrivait à pénétrer en territoire Tunisien. Et dans une telle situation, l'utilisation d'avions de chasse serait aussi inefficace que les bombardements des Etats Unis contre DAECH En Irak. La Tunisie doit acquérir de la Russie des bombes au napalm et à fragmentation. C'est en sécurisant l'intérieur du pays par un régime militaire, en rasant de la carte Chaambi, mais aussi en se préparant à une offensive militaire au Sud, que la Tunisie s'en sortira.
F.M. Alias JOHN WAYNE
Ancien Elève au Collège Sadiki
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.
JW : je vous ramène à mon article publié sur Tunisie-secret et intitulé « Mon appel à l'armée et aux forces de l'ordre ». La Tunisie doit devenir un gouvernement militaire qui aura comme Ministres des officiers de l'armée et de la Garde Nationale. Au lieu de discuter d'homosexualité et de légalisation du cannabis, le nouveau gouvernement doit imposer un service militaire obligatoire de trois années aux jeunes entre 18 et 30 ans. Notre pays doit mettre à la porte les ambassadeurs de Turquie, des Etats Unis, d'Arabie Saoudite, et du Qatar. Le gouvernement militaire au pouvoir doit se rendre à Moscou d'urgence et négocier une coopération militaire qui inclura la création de bases et la fourniture d'équipement militaire a la Tunisie sans en faire un diktat économique comme l'on fait les Etats Unis et le FMI. La coopération de ces deux dernières entités est une mascarade destinée à affaiblir et a recoloniser la Tunisie dans un but de renforcement de l'islamisme.
Q- 11 : De quelles armes a besoin notre pays ?
JW : Une fois la situation sécuritaire rétablie par un gouvernement militaire impitoyable, l'état d'urgence, et la loi martiale, la Tunisie doit modifier le profil technologique de son armée. Elle doit acquérir de la Russie des centaines de tanks plus modernes mais surtout doit se munir de bombardiers lourds qui détruiront la route de ravitaillement des Djihadistes qui mène du Sud à Chaambi. Toute la région de Chaambi doit être soumise à un bombardement au napalm de façon régulière même s'il s'agit d'en détruire la faune et la flore. Ces bombardiers lourds pourront aussi être utilisés si les frontières avec la Libye étaient soumises à une attaque ou si DAECH arrivait à pénétrer en territoire Tunisien. Et dans une telle situation, l'utilisation d'avions de chasse serait aussi inefficace que les bombardements des Etats Unis contre DAECH En Irak. La Tunisie doit acquérir de la Russie des bombes au napalm et à fragmentation. C'est en sécurisant l'intérieur du pays par un régime militaire, en rasant de la carte Chaambi, mais aussi en se préparant à une offensive militaire au Sud, que la Tunisie s'en sortira.
F.M. Alias JOHN WAYNE
Ancien Elève au Collège Sadiki
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.
Amateurs
kaskou
| 25-05-2015 21:23
Mes sincères condoléances aux familles de nos valeureux soldats.
Les états se gouvernent par des hommes d'État. On n'en trouve pas à tous les coins de rue. Les stagiaires de tous bords ne feront pas long feu. Ils n'ont pas le temps d'apprendre le métier, ayant fait le choix fatal de tout détruire et recommencer à zéro. Ils creusent...
Les états se gouvernent par des hommes d'État. On n'en trouve pas à tous les coins de rue. Les stagiaires de tous bords ne feront pas long feu. Ils n'ont pas le temps d'apprendre le métier, ayant fait le choix fatal de tout détruire et recommencer à zéro. Ils creusent...
incomprehensif.
tropico
| 25-05-2015 16:32
Je ne sais pas comment peut on garder un fada dans l'armée.Ce fou aurait du être congédier et suivre des soins,il n'avait rien a faire dans une caserne militaire.Il faut lancer une enquête approfondie et chercher les vrais coupables lesquels ont permis a ce déséquilibre a se trouver dans une base militaire.Sincères condoléances aux familles de nos valeureux soldats.
Pépites
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