2- Le bâtisseur.
3- Le destructeur.
Ibn Khaldoun.
#laazouza hazha louèd...
Lors de la réunion des signataires de l’Accord de Carthage tenue ce mardi 13 mars 2018, le président de la République, Béji Caïd Essebsi a déclaré : « Cette réunion est une occasion pour remettre les choses dans leur contexte, à une période où tout le monde parle et amplifie les événements. Ce que j’ai à dire, je le fais au grand jour ». Il a ainsi évoqué les déclarations qu’on lui impute lors de certaines rencontres, en niant tout ce qui se dit autour : « Je n’ai pas le temps pour tout ceci. Mon temps, je le passe à servir mon pays, étant le premier président élu par le peuple ».
A propos du principe de l’union nationale, le chef de l’Etat a affirmé que la Tunisie a besoin de tous ses enfants sans exception : « Je suis contre l’exclusion et j’ai été critiqué pour avoir initié le consensus, source de 60% de nos problèmes selon certains. Ces critiques ne me dérangent pas ! ». BCE a tenu à condamner la prolifération des ragots tout en soulignant : « Je le dis et redis, l’union nationale n’a pas lieu d’être sans l’UGTT et l’UTICA ! Il n’a y pas de politique sans le volet social ».
Béji Caïd Essebsi a par ailleurs rappelé la situation difficile que traverse le pays, assurant qu’il était vain de le répéter et qu’il faudra trouver des solutions : « C’est à nous tous autour de cette table et même en dehors de les trouver. Nous avons ouvert le cercle à d’autres composantes, sauf que celles-ci ont préféré se retirer pour des raisons inutiles à expliquer ».
Cette réunion des signataires est une occasion pour dialoguer comme d’habitude, avec clarté, sérieux et objectivité, annonce le président de la République : « Ainsi, nous avons demandé aux participants de nous présenter leurs propositions inscrites dans l’Accord de Carthage dont est issu le gouvernement. Mais cet accord ne peut être applicable en tout temps. De nouvelles donnes peuvent survenir ce qui ne pousse à actualiser ce que nous avons entrepris ».
M. Caïd Essebsi relève que parmi les partis, seul Nidaa Tounes a avancé de nouvelles propositions, suivi par Ennahdha hier. « Il nous faudra donc discuter de toutes les propositions et trouver un dénominateur commun, fixer les priorités. Il y a l’important et il y a l’essentiel. On peut avoir des différends à propos de l’important, mais pas sur l’essentiel. Maintenant, il est nécessaire que nous mettions en place une démarche à suivre ».
I.L
Lors de la réunion des signataires de l’Accord de Carthage tenue ce mardi 13 mars 2018, le président de la République, Béji Caïd Essebsi a déclaré : « Cette réunion est une occasion pour remettre les choses dans leur contexte, à une période où tout le monde parle et amplifie les événements. Ce que j’ai à dire, je le fais au grand jour ». Il a ainsi évoqué les déclarations qu’on lui impute lors de certaines rencontres, en niant tout ce qui se dit autour : « Je n’ai pas le temps pour tout ceci. Mon temps, je le passe à servir mon pays, étant le premier président élu par le peuple ».
A propos du principe de l’union nationale, le chef de l’Etat a affirmé que la Tunisie a besoin de tous ses enfants sans exception : « Je suis contre l’exclusion et j’ai été critiqué pour avoir initié le consensus, source de 60% de nos problèmes selon certains. Ces critiques ne me dérangent pas ! ». BCE a tenu à condamner la prolifération des ragots tout en soulignant : « Je le dis et redis, l’union nationale n’a pas lieu d’être sans l’UGTT et l’UTICA ! Il n’a y pas de politique sans le volet social ».
Béji Caïd Essebsi a par ailleurs rappelé la situation difficile que traverse le pays, assurant qu’il était vain de le répéter et qu’il faudra trouver des solutions : « C’est à nous tous autour de cette table et même en dehors de les trouver. Nous avons ouvert le cercle à d’autres composantes, sauf que celles-ci ont préféré se retirer pour des raisons inutiles à expliquer ».
Cette réunion des signataires est une occasion pour dialoguer comme d’habitude, avec clarté, sérieux et objectivité, annonce le président de la République : « Ainsi, nous avons demandé aux participants de nous présenter leurs propositions inscrites dans l’Accord de Carthage dont est issu le gouvernement. Mais cet accord ne peut être applicable en tout temps. De nouvelles donnes peuvent survenir ce qui ne pousse à actualiser ce que nous avons entrepris ».
M. Caïd Essebsi relève que parmi les partis, seul Nidaa Tounes a avancé de nouvelles propositions, suivi par Ennahdha hier. « Il nous faudra donc discuter de toutes les propositions et trouver un dénominateur commun, fixer les priorités. Il y a l’important et il y a l’essentiel. On peut avoir des différends à propos de l’important, mais pas sur l’essentiel. Maintenant, il est nécessaire que nous mettions en place une démarche à suivre ».
I.L