| 13-02-2019 17:23
En daignant(*) lire l'aigreur d'estomac récurrente de notre très estimable et mésestimé Léon-l'édenté, je n'ai pu me départir de cette pensée qui me revient comme une litanie, chaque fois que je me sens légitime à lui renvoyer à la figure les compliments dont il est prodigue à l'endroit de ceux qui ne versent pas dans la fange benaliste, là où se vautrent complaisamment notre aigri contempteur et ses "happy few" compagnons de route, tels ce pauvrissime "J. Wine", qui aurait plus besoin de soins urgents qu'autre chose; ou encore ce mollasson en fer-blanc, qui se donne des airs de faux-dur en faisant le baisemain à l'extrême-droite , j'ai nommé l'ex-prétendu ambassadeur qui ne représentait jamais que lui-même, et que seuls les initiés peuvent reconnaître !
Même si mézigue est contraint et poussé à émettre un jugement de valeur à propos de quelqu'un ("ne jugez pas si vous ne voulez pas être jugés"), je ne peux que constater l'indécrottable double obstination (et double foi) de notre ci-devant "mounachid" !
A savoir d'abord, le soutien sans faille et sans jugeote qu'il témoigne encore à son déchu maître (à penser ?), celui qui avait pourtant trahi par deux fois sa charge, quand il a mordu la main de Bourguiba son bienfaiteur, avant de se carapater en rase campagne aux premiers bruits de rébellion d'une poignée de va-nu-pieds !
Léon devrait pourtant méditer l'exemple de Boabdil, encore faut-il qu'il le connaisse ?
La mère de Boabdil (Abou Abdillah, dernier roi d'Andalousie) excédée par les lamentations de son fils, lui envoya dans les gencives : "ne pleure pas comme une femme ce que tu n'as pas su défendre comme un homme" !
Quant à la deuxième obsession de notre cher et tendre ami, c'est son amour immodéré et irréfléchi pour la secte mahométane à laquelle il prétend appartenir, et qu'il résume à la XVIème Sourate (qui me dilate la rate), à moins qu'il n'applique le verset 112, à son cher maître-fuyard, ce qui revient à en blasphémer le sens premier et qui désigne le prophète ?
Maxula.
(*) Pour ne pas dire, "en m'abaissant" !
Même si mézigue est contraint et poussé à émettre un jugement de valeur à propos de quelqu'un ("ne jugez pas si vous ne voulez pas être jugés"), je ne peux que constater l'indécrottable double obstination (et double foi) de notre ci-devant "mounachid" !
A savoir d'abord, le soutien sans faille et sans jugeote qu'il témoigne encore à son déchu maître (à penser ?), celui qui avait pourtant trahi par deux fois sa charge, quand il a mordu la main de Bourguiba son bienfaiteur, avant de se carapater en rase campagne aux premiers bruits de rébellion d'une poignée de va-nu-pieds !
Léon devrait pourtant méditer l'exemple de Boabdil, encore faut-il qu'il le connaisse ?
La mère de Boabdil (Abou Abdillah, dernier roi d'Andalousie) excédée par les lamentations de son fils, lui envoya dans les gencives : "ne pleure pas comme une femme ce que tu n'as pas su défendre comme un homme" !
Quant à la deuxième obsession de notre cher et tendre ami, c'est son amour immodéré et irréfléchi pour la secte mahométane à laquelle il prétend appartenir, et qu'il résume à la XVIème Sourate (qui me dilate la rate), à moins qu'il n'applique le verset 112, à son cher maître-fuyard, ce qui revient à en blasphémer le sens premier et qui désigne le prophète ?
Maxula.
(*) Pour ne pas dire, "en m'abaissant" !
