L’ancien chef du gouvernement, Habib Essid a été présent, ce dimanche 28 juin 2020 , à l’émission 7/7 de Nachâat Azouz, sur les ondes d’Express Fm, pour revenir sur la période de sa gouvernance ainsi que sur les évènements politiques marquants ayant ponctué son passage à la tête de la Kasbah.
Habib Essid a considéré qu’il entretenait de bonnes relations avec le président défunt Béji Caïd Essebsi, soulignant qu’ils ont partagé plusieurs étapes décisives depuis qu’il était au ministère de l’Intérieur au gouvernement Caïd Essebsi en 2011.
Il a enchaîné en affirmant que la succession des attaques terroristes durant son exercice ne témoignait pas de l’échec du système sécuritaire, mais que c’était un fléau international, qui revient à des années de cumul, « les attaques terroristes se planifient bien à l’avance. Nous avons pris le pouvoir dans une période difficile. Le terrorisme à cette époque avait eu un impact très négatif sur l’économie, tout comme sur le secteur touristique, ce qui approfondit la crise. Les attaques étaient lourdes de conséquences, mais nous avons affronté la situation et nous avons effectué des réformes, jusqu’à parvenir au grand succès de Ben Guerdène. C’était le début, de la stratégie de la lutte contre le terrorisme ».
Revenant sur la visite effectuée par la président de la République, Kaïs Saïed en France, il a estimé que la visite était positive, soulignant que le chef de l’Etat doit assurer son rôle diplomatique. « La position de Kaïs Saïed par rapport au dossier libyen est claire. Le dossier libyen est délicat et touche aux relations extérieures de la Tunisie. Toutefois, il est inapproprié d’avoir des positions contradictoires entre le président du parlement et le président de la République. Et puis, force est de reconnaître que le mot de la fin revient au chef de l’Etat ».
Dans un autre contexte, Habib Essid a considéré que l’échec de Carthage et de la Kasbah revient au mauvais casting et parce qu’ils ne sont pas entourés de compétences dans l’administration et la direction.
S.H
A l'UGTT de jouer pleinement son .role il ne faut pas laisser le pays et notre destin entre les mains des khwanjias .
ils ont pris largement le temps pour détruire le pays.
en l absence d une vraie union entre les partis c'est à l'UGTT d'assumer son rôle
Une fois assurée de l'indemnité parlementaire le président d'Ennahda continue ses manoeuvres et son entêtement vis-à-vis des autres acteurs politiques du pays et vis-à-vis de son histoire.
l'Histoire ne pardonnera jamais aux traitres.
"Tant que nahdha est là rien n'ira".
Entre-temps les menbres de nahdha mènent la belle entre Tunis et Paris, et leurs projets et intérêts personnels sont infinis.
B.N : Merci d'avoir attiré notre attention.