Que Dieu te bénisse et Allah yarhmou.
Salutations.
Les sondages sont sans équivoque, aucun islamiste ne figure dans les cinq premières places dans la présidentielle. Les critiques ont beau mettre en doute les chiffres publiés par les différents sondeurs, et notamment Sigma, le parti islamiste Ennahdha sait que les chiffres sont bien réels, puisqu’il a ses propres outils de mesure.
Au vu de la situation et vu qu’il faut quelqu’un qui ne soit pas vraiment hostile à Ennahdha pour mériter le soutien du parti islamiste, Rached Ghannouchi est en train de tenter de faire du neuf avec du vieux en tendant une perche à l’ancien président Moncef Marzouki.
Le contact est établi par le biais de son gendre Rafik Abdessalem qui tente, autant que faire se peut, de dégeler les relations entre Ghannouchi et Marzouki. En signe de bonne volonté, il l’a invité à présider une conférence-débat, créée de toutes pièces.
Organisée par le Centre d’Etudes Stratégiques et Diplomatiques, la conférence-débat (généralement payante) fait partie d’une série intitulée « Où va la Tunisie ? ». D’après le site web du centre, la dernière conférence remonte à juin 2018… Le centre, quant à lui, a deux sièges principaux, l’un à Tunis et l’autre à Londres et est présidé par … Rafik Abdessalem.
R.B.H
Les sondages sont sans équivoque, aucun islamiste ne figure dans les cinq premières places dans la présidentielle. Les critiques ont beau mettre en doute les chiffres publiés par les différents sondeurs, et notamment Sigma, le parti islamiste Ennahdha sait que les chiffres sont bien réels, puisqu’il a ses propres outils de mesure.
Au vu de la situation et vu qu’il faut quelqu’un qui ne soit pas vraiment hostile à Ennahdha pour mériter le soutien du parti islamiste, Rached Ghannouchi est en train de tenter de faire du neuf avec du vieux en tendant une perche à l’ancien président Moncef Marzouki.
Le contact est établi par le biais de son gendre Rafik Abdessalem qui tente, autant que faire se peut, de dégeler les relations entre Ghannouchi et Marzouki. En signe de bonne volonté, il l’a invité à présider une conférence-débat, créée de toutes pièces.
Organisée par le Centre d’Etudes Stratégiques et Diplomatiques, la conférence-débat (généralement payante) fait partie d’une série intitulée « Où va la Tunisie ? ». D’après le site web du centre, la dernière conférence remonte à juin 2018… Le centre, quant à lui, a deux sièges principaux, l’un à Tunis et l’autre à Londres et est présidé par … Rafik Abdessalem.
R.B.H