Elles n'en ont surtout pas besoin, pourquoi devraient-elles "investir d'une part de leurs bénéfices" (G. Brassens) ce qu'elles retirent de leur dur labeur.
Parce que mine de rien, pour exercer certains métiers, "c'est effrayant ce qu'il faut se donner du mal".
A ce sujet, je vous rappelle une disposition identique d'il y a six ans environ, qui limitait le voyage des jeunes femmes Tunisiennes vers l'Irak et la Syrie.
C'est vraiment parce que je n'ai rien à faire que j'aborde le sujet, j'ai déjà assez d'inquiétudes pour ce qui se passe dans ma SEULE patrie.