| 13-07-2018 08:24
Il ne faut pas oublier les sabotages, les poses de bâtons dans les roues de la part de nahdha depuis 2014, et ce surtout après leurs défaites électorales.
Dernières news
Youssef Chahed reçoit Johannes Hahn et les bailleurs de fonds européens
Le chef du gouvernement, Youssef Chahed, a reçu, le 12 juillet 2018, Johannes Hahn, commissaire européen à la politique du voisinage, ainsi que les représentants des principaux bailleurs de fonds européens et de la BAD.
La rencontre a eu lieu à Dar Dhiafa et a vu la présence de plusieurs ministres ainsi que celle du gouverneur de la Banque centrale, Marouane Abassi. La rencontre a pour objet le développement des programmes de coopération entre la Tunisie et l’Union européenne, d’après un communiqué de la présidence du gouvernement.
S.F
A lire également
sur le fil
Dans la même Rubrique
Refus de libération de Meriem Sassi
18/04/2024
0
Commentaires (3)
Commenter..langue de bois, langue d' ebene..a quoi bon se mentir
| 12-07-2018 18:33
..Cooperation economique mon oeil, oui!!
Langue de bois, pour nous satisfaire notre ego..sans resultat.
On a deja eu mainte fois le meme communiqué stereotypé, alors!!
On est en train de quemander des prets et des dons. Ca c' est de l'information pur jus.
On est sous perfusion, basta.
Les bailleurs potentiels demandent des garanties de remboursement et de la securité pour eux. Ils dictent leurs conditions, comme une banque quelconque.
Tout le reste est du marchandage. Mais les prets doivent etre remboursés a un moment , et avec un taux, dependant de notre Rating= BB -
Avec un nombre de fonctionnaires plethorique , une ARP budgetivore, bavarde et inefficace, un president reciteur de versets coraniques et de blagues eculées , les garanties qu' on peut offrir sont minimes.
Ils ont peur des invasions des affamés, des deseperés, des laissers pour compte, voire des reveurs de ce coté de la mer bleue.
Ajoutons a cela notre rendement et le "dynamisme" effrené en greves et augmentations de notre vaillante UGTT..bref.
On n' est pas sorti de l' auberge,..on n' y meme pas rentré dans cette auberge=gargotte.
Nous sommes devenus helas, mendiants, Mr. Chahed se demene comme il peut, et les nabbaras divaguent.
On a trop mal pour notre pays.
Langue de bois, pour nous satisfaire notre ego..sans resultat.
On a deja eu mainte fois le meme communiqué stereotypé, alors!!
On est en train de quemander des prets et des dons. Ca c' est de l'information pur jus.
On est sous perfusion, basta.
Les bailleurs potentiels demandent des garanties de remboursement et de la securité pour eux. Ils dictent leurs conditions, comme une banque quelconque.
Tout le reste est du marchandage. Mais les prets doivent etre remboursés a un moment , et avec un taux, dependant de notre Rating= BB -
Avec un nombre de fonctionnaires plethorique , une ARP budgetivore, bavarde et inefficace, un president reciteur de versets coraniques et de blagues eculées , les garanties qu' on peut offrir sont minimes.
Ils ont peur des invasions des affamés, des deseperés, des laissers pour compte, voire des reveurs de ce coté de la mer bleue.
Ajoutons a cela notre rendement et le "dynamisme" effrené en greves et augmentations de notre vaillante UGTT..bref.
On n' est pas sorti de l' auberge,..on n' y meme pas rentré dans cette auberge=gargotte.
Nous sommes devenus helas, mendiants, Mr. Chahed se demene comme il peut, et les nabbaras divaguent.
On a trop mal pour notre pays.
L ISLAM POLITIQUE EST DOIT ETRE COMBATTU
| 12-07-2018 16:05
On aimerait bien que la Tunisie nous montre un jour que le politique quelle qu'elle soit sa couleur politique a retrouvé le sentiment du bons sens et de la raison. On va bientôt bouclé une décennie poste révolutionnaire et le pays est toujours embourbé dans les mêmes difficultés économiques et sociales. Une prise de conscience collective d'hommes et de femmes avertis est urgemment souhaitée, collective ne veut dire ni union nationale ni programme commun ni feuille de route de Carthage qui ont tous lamentablement échoués. La Tunisie est au bord de l'asphyxie totale suite à une mauvaise gestion analytique qui a empêché le pays de trouver son salut. L'endettement s'il n'est pas structuré, s'il n'est pas investi dans des infrastructures rationnelles et réelles il se transformera en surendettement mortifier. La croissance économique qui fuit la Tunisie depuis sept ans ne reviendra que quand la confiance revienne. Les frères musulmans qui ont démontré leur incapacité de gouverner doivent( directement ou indirectement) quitter l'espace politique politique Tunisien.
