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Arrestation de 10 takfiristes à Hammam-Lif
11/06/2015 | 20:30
1 min
Arrestation de 10 takfiristes à Hammam-Lif

Dans un communiqué rendu public ce soir du jeudi 11 juin 2015, sur sa page officielle, le ministère de l’Intérieur annonce que, dans le cadre de la poursuite des investigations concernant les réseaux spécialisés dans les voyages des jeunes vers les zones de conflit, l’Unité nationale des investigations en matière de crimes terroristes, en coordination avec le district de sûreté d’Hammam-Lif, a réussi à arrêter 10 individus prônant l’approche takfiriste.

 

Ces individus, ajoute le même communiqué, sont en relation avec un homme, actif au sein d’un des groupes terroristes en Syrie, qui synchronisait avec eux pour le voyage des jeunes vers ladite zone.

 

Les mêmes investigations ont révélé, conclut le communiqué, que l’un de ces individus vient de rentrer de Syrie, sachant que les 10 personnes arrêtées ont été déférées devant la justice après avoir fait l’objet d’un mandat de dépôt.

11/06/2015 | 20:30
1 min
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Commentaires (4) Commenter
@pseudo et @Weld ElHamhama 2 ème partie
Abel Chater
| 13-06-2015 16:07
@pseudo et @Weld ElHamhama 2ème partie
Bourguiba installa son proche le défunt Sahli, le docteur Sadok Boussoffara, comme Maire (président de la municipalité) d'Hammam-Lif à vie. Un homme apolitique dont la bonté rayonnait de par les rides de son visage toujours prêt à un sourire crispé. Un homme honnête qui ne voulait rien de personne, mais qu'on lui offrait tout pour leurs propres causes.
Le docteur Boussoffara n'a jamais fait de mal à quiconque, mais il n'a aussi rien fait de bien à la ville d'Hammam-Lif. On dit qu'il ne supportait ni ministres, ni gouverneurs ni autres qui seraient de grade plus haut que lui. Il aimait être applaudi même pour rien. Par sa nonchalance et son immobilisme politico-administratif, il a transformé cette belle ville en un dortoir pour tous et pour chacun.
Chacun qui vient à Hammam-Lif même provisoirement, y reste pour toujours et se sent vite chez lui, tellement la gentillesse et la bonté des Hammam-Lifois le transforment en l'un des leurs. Une telle bienveillance qui tangente l'indulgence, pourrait s'avérer uniques de par l'ensemble de la république tunisienne. Aucun habitant d'Hammam-Lif ne fait de mal à cette ville. Au contraire, partout où on va et qu'on trouve un Hammam-Lifois, il te prend en charge comme si tu étais son propre frère.
C'est pour cela que la ville grandit et grandit, sans qu'elle ne perde de valeur. La gamme des Hammam-Lifois varie entre le mendiant devant la poste et le clochard aux alentours de la gare SNCFT, jusqu'au sommet des ministères, des richards et de l'état. Béji Caïd Essebsi est Hammam-Lifois de souche. L'ancien ministre des Affaires étrangères et Secrétaire Général de l'Union du Maghreb Arabe, Habib ben Yahya, est aussi Hammam-Lifois qui a grandi à la Petite Sardaigne (actuelle Cité Mhamde Ali) en voisinage murale avec le défunt acteur Abdelmajid Lakhal et à deux pas de l'un des plus anciens architectes en urbanisme de la Tunisie, le regretté Chahir Chater.
Hammam-Lif est une ville à ne jamais pleurer, car il n'y a pas une plus belle vie qu'entre le vrai peuple de Carthage, de la Zitouna et de Kairouan, réunis au marché municipal, dans les cafés du rond-point ou de Sidi Bourigua ou orné de blanc et vert à l'intérieur de son stade municipal de football.
Malgré le vol des deux têtes de lions en marbre, qui ornaient l'entrée du palais beylical d'Hammam-Lif, cette ville demeure la ville des lions de toutes les souches du peuple tunisien. Les Hammam-Lifois sont riches en leur bonté et en leur solidarité. Personne ne dort sans nourriture dans cette ville et avec cent millimes de «glibettes», chacun peut passer une bonne soirée à la corniche en faisant le va-et-vient devant La Sirène.
Celui qui n'aime pas Hammam-Lif , ne la connaît que de par les mensonges qu'on raconte à son sujet et celui qui l'aime, il est automatiquement mon ami et mon frère que j'aime beaucoup.
Je vous embrasse tous les deux.
@pseudo et @Weld ElHamhama 1ère partie
Abel Chater
| 13-06-2015 16:05
@pseudo et @Weld ElHamhama
Soyons honnêtes et soyons équitables envers la plus belle ville de la Tunisie, l'unique située entre la montagne et la mer.
Vous deux, vous parlez furtivement de la ville du Bey, qui fut épargnée par convention internationale, des bombardements de la deuxième guerre mondiale et qui abrita les grandes figures de la lutte nationale contre l'occupant français, tels qu'Ali Zlitni, Lazhar Chraïti et beaucoup, beaucoup d'autres, jusqu'aux simples habitants de «Oued Trabelsias», qui moururent sur les barrages du premier, deuxième et troisième pont, depuis la Khayria (Sabbala el-hamra et l'Italien Georgio), jusqu'à (Sidi Sâad l'abattoire, actuelle Ennozha). Hammam-Lif était le passage unique vers le Cap Bon, le Sahel et le Sud de la Tunisie. Celui qui bloquait la GP 1 au niveau d'Hammam-Lif, pouvait bloquer à lui-seul, tout le restant du pays. C'est pour cela que les Martyrs tombés à Hammam-Lif pour la libération de la Tunisie, comptent par milliers, sans que les arrivistes de Bourguiba ne soient reconnaissants àleurs familles.
Le palais du Bey rassemblait les foules autour du grand jardin à côté de l'école primaire (Dar El-Bey). L'orchestre beylical fut quotidiennement au rendez-vous. Les baraques en bois peintes en bleu, installées au bord de l'eau du côté de la «Casma», proposaient un paradis balnéaire à qui en voudrait goûter au plaisir d'être Hammam-Lif, même pour une seule journée.
Après l'indépendance, la jalousie et la rancune de Bourguiba contre la ville d'Hammam-Lif, où il «travailla» comme premier ministre chez le Bey, était grande jusqu'à l'énormité. Il délaissa même le palais beylical à son sort, au même moment où il s'empara de tous les autres. Il délaissa toute la ville d'Hammam-Lif dans les oubliettes des projets et même des institutions de l'état. Pas une seule «succursale» de ministère, ni un gouvernorat, ni même STEG, SONEDE ou Télécom. Rien de rien, au point qu'un ami me dit à l'arrivée de Ben Ali, qu'il n'arrive pas à détecter le moindre changement à Hammam-Lif, sauf que les «gendarmes» de la Garde Nationale qui se tenaient à l'entrée de la ville furent remplacés par des policiers.
L'attitude hostile de Bourguiba envers la ville d'Hammam-Lif, demeure incompréhensible jusqu'à aujourd'hui. Elle ne pourrait trouver sa source que dans un vécu personnel de Bourguiba à Hammam-Lif. Ce fut seulement après l'arrivée de Ben Ali qu'Hammam-Lif eut ses deux ponts vitaux, tant rêvés et tant attendus
@pseudo
Weld ElHamhama
| 12-06-2015 09:06
On dirait que tu trompes de ville!! Hammam-lif est une belle ville qui abrite des gens de tout genre et le restera. Mais elle n'est une "station balnéaire" et surtout pas "un refuge des gens pauvres". Quant à "zatla", c'est une monnaie courante dans tout le pays. Les "barons de transfert", ça c'est le comble!!!
N'importe quoi!!!
priorite pour developper Hammam Lif
pseudo
| 11-06-2015 22:06
Et vous aurez moins de takfiriste ;ya hasra ahla Hammam LIF.station balnéaire avec des eaux thermales;abandonné depuis des descennies au profit de la banlieue nord;et devenu le refuge des gens pauvres qui ne peuvent se loger ailleurs ezatla et maintenant les barons de transfert de pauvres jeunes endoctrinés et recevant des millions sont devenus les deux industries les plus prosperes;ou est l 'ETAT,LE mINISTRE du developpement devrait d 'y rendre;une priorité