Cette grosse matronne, a-t-elle oublié, quand, en pure mégère du RCD, elle nous chantait sa "berceuse" : "Allah ouahad, Allah ouahad, Ben Ali, mè kifou hadd"?
Nous, on ne l'a pas oublié...

Et ta sale nahdha , c'est quoi alors ?
Celle qui vous a ramenée à Tunis pour vous donner, sans raison, des recrutements anarchiques dans la fonction publique et d'être payés par le FMI.

Abir Moussi, le PDL traités de tous les maux, identifiés au RCD, et à la dictature.
Abir insultée, frappée, par les islamistes, trouve grâce à leurs yeux.
Par opportunisme, ils sont capables de voir le diable en elle, et tout aussi vite avoir pour elle les yeux de Chimène.
C'est tellement transparent, bête comme chou et digne des cervelles des petits voyous.
Elle critique l'homme qui les à fait tomber.
Elle en devient raisonnable, juste dans ses dires et actes, leur alliée objective même si tout un monde l'en sépare.
Nous avons encore un cas où il est démontré que ces gens ne pensent pas, ne réfléchissent pas, ils comptent.
Ils comptent les alliés, les ralliés, achètent les vertueux d'hier prêts à se vendre, et gardent toujours l'horizon dans le viseur, le pouvoir.
Il n'est guère d'occasion où on ne trouve clairement énoncé ou en filigrane, le même motif, tout pour le pouvoir.
Allah peut servir, alors le pouvoir vaut bien une sourate.
Mais, aussitôt, on ménage l'auditoire, on lui fait quelques phrases bien senties sur l'intérêt du pays, son économie, sur la situation sociale.
Sans oublier le credo basique et premier, la démocratie.
Côte jardin, il n'en va pas de même.
On tient la maison d'une main de fer, c'est le Chef et rien que lui qui décide du menu et de la manière d'installer la table, les convives et la place de chacun.
C'est lui le potentat, et gare à qui ose le contrer, son sort est vite scellé et la Choura uniment l'exclura.
En quelque sorte, le monde est scindé en deux, schizophrène, bipolaire et totalement et très clairement contradictoire.
Un dedans versus un dehors.
Deux mondes, deux postures, deux langues ou plus, et si besoin un verset par-ci pour les convertis et un autre à l'endroit de ceux à convaincre.
Cette bipartition opaque a fort bien servi.
Le Roi est nu, et tout le monde ou presque sait d'intuition au moins ce que je note.
Alors, on fait faire le job par d'autres.
D'abord, c'est moins voyant, et on peut utiliser leur crédit ou ce qui en reste et avancer couvert.
Sauf, que cela commence à se savoir.
D'abord, par la répétition du mode opératoire, le défilé des conquêtes et l'excès de leur verbiage en tout point quasi identique à chaque opération.
'? ce train, bientôt il ne restera plus grand monde à débaucher.
Même si le bruit fait autour des déclarations très spontanées peut assourdir jusqu'à rendre inaudible la parole de la société.
Mais, à force de tirer tous dans le même sens, à contre-courant, cela n'inversera pas le sens du flux, et l'eau du fleuve continuera à se jeter dans l'océan si c'est son destin.

soutien inconditionnel à Maître Abir Moussi, dernier espoir pour un pays ruiné qui n'est plus que des souvenirs...

Depuis 2011, j'observe la scène politique tunisienne, et je prédis que Abir Moussi accèdera au pouvoir pour rétablir le prestige de la Tunisie.

La société tunisienne est très conservatrice, patriarcale jusqu´à l´os.
Une femme est respectée lorsqu'elle ne parle pas trop et n'apparait pas très souvent au public :

Ca veut dire que moins c'est plus !

De plus, celui qui parle trop, à voix haute et criant, de manière spontanée et émotionnelle, fait forcément des erreurs !

Et pourtant, c´est notre vérité !

Je plains surtout votre femme.

Sinon, la société tunisienne est progressiste.

Sa contribution avant le 25 juillet était négative et Saied l'a utilisée aussi pour préparer son putsch. Elle avec d'autres députés comme Makhlouf ont une responsabilité directe dans ce qui passait au parlement, Dans une démocratie naissante, elle avec d'autres ont aidé les populistes comme Saied pour s'attaquer à la démocratie représentative. Cette démocratie est la seule chance pour Moussi pour accéder au pouvoir dans une société patriarcale.

Depuis le 25.07, elle fait de bonnes initiatives pour la démocratie et ses analyses de la situation sont souvent correctes.

Elle commence à exagérer celle-là. Mais ma parole elle est pas fatiguée de parler! De toute façon elle sait faire que ça: parler. On veut des actions pour notre pays. On veut des projets. On veut de l'emploi, on veut..., on veut... Mais ça suffit avec les discours? les sit-ins, les grèves de la fin qui finissent par être suspendus parce qu'ils n'ont aucun justificatif réel et sérieux.

Les nostalgiques du régime décennal déchu( le 25/7/21) se déchainent contre Mme ABIR MOUSSI s'étoffant comme de bien entendu d'une hypocrisie coutumière et d'une duplicité sournoise. Il est vrai que la culture de la critique constructive est absente dans notre pays depuis la nuit des temps. Néanmoins, mettre en doute les luttes de cette mère courage qui sans ses actions menés contre le gourou(vos termes) la Tunisie serait aujourd'hui entre les mains des turcs et des qataris. La critique et le dialogue contradictoire sont de ce fait nécessaires pour qu'une démocratie avance mais pas des insultes abjectes s.v.p.

Qu'est ce que tu veux qu'elle fasse !?

Au lieu de faire le clown à l'ARP et de saboter systématiquement la tenue d'élections de la Cour Constitutionnelle à chaque fois que celle-ci était à l'ordre du jour,sous prétexte qu'elle allait être tenue par des Khwenjiès,comme si 4 sur les 12 membres ne devaient pas être nommés par le président de la république,elle eût été mieux inspirée de collaborer à son édification afin que celle-ci puisse jouer son rôle d'arbitrage dans les litiges constitutionnels.....
Elle en est réduite aujourd'hui à quémander du Tribunal administratif de jouer ce rôle,qui n'est évidemment pas le sien;
Et j'ajouterai que sans l'aval tacite et hypocrite du gourou Rached Ghanouchi,trop heureux d'évoluer depuis l'ère Béji Caied essebssi en l'absence de cette cour,croyant pouvoir toujours isoul ou ijoul fort d'une majorité même réduite et de circonstance à l'ARP,elle ne serait pas parvenue à ces fins;
Mèwlènè el Emir KS,attendait tout ce beau monde,aux aguets,pour bondir sur eux en ce 25 Juillet 2021,leur fauchant l'herbe sous les pieds.....
Abir Barbou nous rappelle cette Fable de La Fontaine où "Tel est pris qui croyait prendre".