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Abid Briki démissionne du mouvement "la Tunisie en avant"
18/09/2019 | 22:58
1 min
Abid Briki démissionne du mouvement

 

Le secrétaire général du mouvement la Tunisie en avant, Abid Briki a annoncé, ce mercredi 18 septembre 2019, qu'il présente sa démission au secrétariat général du mouvement. 

 

Cette décision de Abid Briki a été prise à la suite des résultats qu'il a obtenu lors du premier tour de l'élection présidentielle. En effet, il n'a récolté que 0,17% (5.799 voix). 

 
Or, lors de sa présence sur le plateau de l'émission Saken Carthage, Abid Briki a assuré qu’il quittera définitivement la vie politique si, jamais, il obtient un résultat au-dessous des 3% au premier tour de la présidentielle.
 
S.H

18/09/2019 | 22:58
1 min
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Commentaires (12)

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MDO
| 19-09-2019 16:31
Ce malheureux candidat à l'élection présidentielle s'est vite précipité pour constituer ce qu'il appelle un parti politique, il s'est porté candidat comme l'éclair; il s'est fixé un seuil arbitraire au dessous du quel il a promis de quitter la vie politique. Tout cela montre l'anarchie et l'arbitraire dans la scène politique c'est comme si les politiciens font la politique pour eux- mêmes et non pas pour se préparer à assumer les responsabilités correspondantes.

TOPO
| 19-09-2019 11:58
Sous Ben Ali il a accepté comme beaucoup d'autre syndicalistes (Abdessalem JRAD a eu 4 lots u lotissement de CARTHAGE, Ya Bou Galb, ...) il adonc accepté que sa fille avec 15 de moyenne au bac, obtienne une orientation pour faire Médecine, alors que des élèves qui ont trimé toute l'année, et avaient des moyennes de plus de 17 au bac n'ont pas eu cette possibilité, Alors sa fille va laisser sa place à la fac, à moins qu'elle n'ait déjà obtenu son diplôme et qu'elle exerce maintenant, Mais n'y comptez pas, ces gens là n'ont aucune dignité. On a les syndicalistes qu'on méritent? Wa Kama Takounou, youwalla Alykom

Abel Chater
| 19-09-2019 11:24
C'en est fini avec cette mentalité d'esclaves, où les clous rouillés s'imposent sur les décombres du pays et de la population, jusqu'à leur propre mort.
L'assassinat de Salah Ben Youssef, ce n'était pas la faute de Bourguiba, c'était la faute de ses meurtriers Zarg Laïoun & Co.
La catastrophe des coopératives, dont a souffert la Tunisie jusqu'à la famine chez Bourguiba, ce n'était pas de sa faute, c'était de la faute d'Ahmed Ben Salah.
Le jeudi noir du 26 janvier 1978, où des milliers de Tunisiens ont été tués par les armes de leurs contribuables, ce n'était pas la faute de Bourguiba, c'était la faute du pain et de la «hamhama».
Idem pour les émeutes de 1983/1984, ce n'était pas la faute de Bourguiba, c'était la faute de Mohamed M'Zali.
Les exemples comptent par centaines. Tous sont partis, sauf Bourguiba resta jusqu'à ne plus faire la différence entre la mer et la piscine, où il nageait au début de toutes les informations de 20 heures de la guenon Khancha Adaâla.
La même chose avec l'autre dictateur déchu Ben Ali. La Tunisie transformée en la Bogota d'une économie bananière, financée par la drogue. Ce n'était pas de sa faute, c'était de la faute de son frère Moncef Ben Ali.
Et les excès de vols, d'escroqueries, de crédits non remboursables, d'expropriations des meilleures terres, des meilleurs terrains et des meilleurs commerces, ce n'était pas la faute à Ben Ali. C'était la faute à la famille de sa femme Layla Trabelsi.
Ben Ali est resté sous les applaudisseurs des hypocrites régionalistes, jusqu'à la Révolution du 14 janvier 2011.
Même le défunt président Béji Caïd Essebsi, qui nous a déjoués par le retour de ses Azlèms, se transforma en Bourguiba derrière les posters et les bustes de Bourguiba, afin de perdurer au pouvoir sous les applaudissements de ces mêmes hypocrites des anciens régimes. Souvenez-vous de cette mascarade de Sousse, où il devait inaugurer un projet commercial, comment ils lui ornèrent les rues de son passage et lui firent sortir les petits écoliers pour l'applaudir, comme à ses beaux vieux temps sous Bourguiba. Ne fut-ce la clairvoyance des médias tunisiens, qui lui refusèrent ce comportement à la «Bokassa», il se serait déclaré président à vie de lui-même, bien que la vie était plus courte que sa présidence.
Heureusement qu'un politicien tunisien de l'âge de Abid Briki, commence par reconnaître sa responsabilité personnelle dans l'échec aux actuelles présidentielles. Les autres comme Hamma Hammami, Rached Ghannouchi, Abdelfettah Mourou et tant d'autres clous rouillés, ils vont nous revenir par leur baratin de soutien pour Kaïs Saïed, alors qu'ils ne purent même pas soutenir leur propre candidature.
La Tunisie avance et change. Celui qui n'avance pas avec elle, recule pour se jeter de lui-même dans la poubelle de l'histoire.

monia
| 19-09-2019 10:26
Mais son passage au ministère de la fonction publique a été une agitation extrême comme si il était profane en politique. Moralité les syndicalistes n'ont aucun feeling politique sauf qq cas particuliers Med Trabelsi ministre des affaires sociales

cesarios
| 19-09-2019 10:11
dés le début vous n'avez aucun soutien , méme de votre famille politique et syndicale, vous n'aurez pas présenter votre candidature à la présidentielle, vous étes grillé par vous- méme, malheureusement, j'ai voulu vous voir sortir de la grande porte

Ahmed
| 19-09-2019 08:18
Prenez la retraite politique, svp , urgent .

cuisinier
| 19-09-2019 08:09
sa fille qu'il a fait emboucher à l'ambassade de Tunisie à Paris du temps qu'il était ministre (éphémère)? va-t-elle quitter l'ambassade ou bien c'est le butin de guerre? le peuple tunisien fait pitié

kamel
| 19-09-2019 07:21
Il parle de démission dans un parti antipersonnel. mahzla

momo
| 19-09-2019 07:18
dommage un prix nobel d'economie commelui

l'idiot du bled
| 19-09-2019 05:28
Mr BRIKI tu ne les as pas eus les 3% tu peux dire adieu à tes 10 BRIQUES Vas du côté El 3ogla ou 7essi ejerbi lieux propices pour écrire tes méditations