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Abdellatif Mekki : Le différend essentiel qui divise Ennahdha est la manière de diriger le parti
22/09/2017 | 17:02
1 min
Abdellatif Mekki : Le différend essentiel qui divise Ennahdha est la manière de diriger le parti

 

Le dirigeant d'Ennahdha, Abdellatif Mekki a évoqué, ce vendredi 22 septembre 2017, les différends que connait son parti, précisant que ce ne sont pas des désaccords bien graves et qu’ils concernent surtout des positions sur des dossiers nationaux.

 

Il a indiqué, sans vouloir rentrer dans les détails, qu’Ennahdha est « un large fleuve » réunissant différentes tendances, « qui peuvent s’opposer sur certaines positions » et qu’il est impossible que ce fleuve puisse « passer par un trou étroit ».

 

Abdellatif Mekki a souligné que le différend essentiel concerne la manière de diriger le parti « à la façon présidentielle », en donnant tout le poids décisionnel au président Rached Ghannouchi, « qui de par sa personnalité et son statut accapare encore plus ce rôle ».

« Nous avons appelé à faire une évaluation profonde en ce mi-mandat, et ce qui en découlera nous allons l’appliquer » a confié le dirigeant d’Ennahdha.

 

M.B.Z

22/09/2017 | 17:02
1 min
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Commentaires (12)

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A4
| 23-09-2017 22:18
LA MAIN DE FATMA
Ecrit par A4 - Tunis, le 15 Novembre 2012

Ils sont venus dès l'aube se suivant un à un
En traînant leurs vieilles babouches et leurs couffins
Ils sont venus tôt par petits groupes de voyeurs
Impatients d'assister à l'immense frayeur
Ils ont accouru nombreux par grandes hordes
Voir la vilaine voleuse au bout d'une corde

L'ambiance était bien chaude et le ciel menaçant
Un décor lugubre et un climat angoissant
Pourtant ils sont là avec enfants, chats et chiens
Pour voir l'amputation de la première main
Les tripes pleines de haine et le regard vengeur
Sous un gros nuage et une lourde moiteur

Soudain les cris jaillissent de toutes les gorges
A la vue du bourreau, son outil de forge
Et la frêle silhouette qui marche en trébuchant
De celle qui a volé l'orange du marchand
C'est un petit bout de femme nourrie du désert
Couverte d'un épais drap de couleur misère

Soumise, elle tendit la main d'un air effaré
Pour en être sauvagement vite séparée
Le coup était fort et sec éjectant la main
Devant la sale gueule noire d'un bâtard de chien
Qui ne fit qu'une bouchée de la pauvre menotte
Sous les rires endiablés de la foule de coyotes

Une foule enthousiaste et composée surtout
De ceux ne sachant rien et ceux ignorant tout
Le plus doué parmi eux, et ça c'est certain
Est à peine capable de compter jusqu'à un
Il y a même des voilées couvertes de mousseline
A la démarche vulgairement masculine

Ils raconteront sûr avec grande fierté
Qu'ils ont pu voir la première main amputée
Qu'ils ont encore à l'oreille, même si c'est hideux
Le cri strident de la voleuse coupée en deux
Les assoiffés de sang aux âmes qui dégénèrent
Ne peuvent prier que pour un dieu sanguinaire

kameleon78
| 23-09-2017 18:52
Tu peux rêver l'ami, fini le pouvoir pour les islamistes, ils sont sur la sellette, ils sont surveillés par la CIA et ils risquent d'être emprisonnés s'ils se rendent aux Etats-Unis et même en Tunisie, vous êtes sous le coup de la loi qui vous prépare des dossiers sur votre implication dans les meurtres et les malversations sous la Troïka. Préparez-vous à subir le châtiment, bandes de nazillons islamistes, la pire gangrène de l'humanité.

Carthage Libre
| 23-09-2017 12:27
Dans toutes les sectes du monde, on ne critique pas, on ne se rebelle pas, on exécute les ordres du Gourou, comme par exemple la "secte de l'Enfer" de Jim Jones, où près de 1000 membres se sont suicidés collectivement en guyane en 1979 ; il y'a eu une "remise en cause" de la secte à cette époque là et puis, paf, "on se suicide collectivement" et c'est ce qui s'est passé...

J'espère que cette secte opaque de malheur ici chez nous en fera de même et bon débarras, ils ont tellement, mais tellement fait de mal à notre pays ces gens là.

chokri
| 23-09-2017 11:52
vivement qu'ennahda prenne le pouvoir pour qu'on puisse dégagez les vendu comme Cg, Kameleon etc et rétablir la charia

G&G
| 23-09-2017 10:05
Aujourd'hui Ennahdha n'est qu'un petit ruisseau qui coule à sec. Nahdha comme Nida comme tous les partis nés de la dernière heure sont mis à nu et n'ont plus rien à montrer à ce peuple affamé qui se contente d'un sandwich à la chawarma et saucisses de chaton

G&G
RCDiste et fier

takilas
| 22-09-2017 20:33
Nahdha va certainement repartir à la charge avec leurs habituels sabotages, menaces et chantages, pratiqués depuis leur venue à "Tunis" ; et non en Tunisie, lorsqu'ils étaient venus au cours de l'année 2011 à partir de Londres et de Paris, après avoir séjourné en nababs dans ces dites "villes, et après avoir été accueillis royalement par leur chef de bande le mafieux Ghanouchi, et ce afin de se partager dès leur venue en Tunisie, le butin de la banque centrale tunisienne, les meilleurs terrains constructibles ou les meilleures terres agricoles de la Tunisie, et puis d'appâter et soudoyer ceux (en général comme eux les originaires du south) qui les soutiennent lors des élections ; inutile de rappeler que toute cette bande du chef (jamais été à l'école) jusqu'à ceux qui ont été sélectionnés, avant de venir, pour chiper les postes clés, alors qu'ils sont des incultes, incompétents et n'ont jamais connu l'histoire de la Tunisie. C'est complètement insensé tout ce cirque, ou plutôt ces manigances préparées étonnement et paradoxalement par le naïf et debile qui a lâché les corrompus du RCD (de même les plus illettrés incompétents pareillement à ceux de nahdha comme par hasard), pour que par la suite les proches de sa femme (devenus adultesry) se manifetèrent pour concurrencer lesdits analphabètes du RCD, dont plusieurs d'entre eux soutiennent actuellement nahdha, et ce soit en Tunisie (surtout de Gabes et de Mednine), ou à Londres et à Paris (à l'étranger), et qui étaient (paradoxalement de même) privilégiés par Ben Ali ; et dont certaines personnes expliquaient cela par le régionalisme, omniprésent en Tunisie depuis lors et à ce jour et ce contre les originaires du Nord du pays et surtout, certainement par envie et mécréance, contre les tunisois devenus, avec ce dénigrement, détestés, même à l'assemblée des présumés représentants (des mascarade et des clows) du peuple, qui ne sont présents (le peu de fois qu'ils viennent puisqu'ils voyagent fréquemment à Londres et à Paris, et ce pour pour superviser leurs proches et leurs multiples projets, soit commerciaux ou autres de manufactures.

takilas
| 22-09-2017 20:12
De quel "diriger"il parle ce détraqué,
hal maghboun.
Nahdha ne sait rien et ne connaît rien de la manière de diriger ni de gérer.
Par contre en sabotage, en menace et en manigance, c'est des champions, qui sont apprivoisés pour diriger le mal et le massacre.

watani
| 22-09-2017 19:22
Ces islamistes ont bluffé, faisant croire aux tunisiens qu'ils ont la force et les armes pour les attaquer, qu'ils sont nombreux et qu'ils peuvent nous emmerder par Ansar Echariaa et cie. BCE avait peur a fait des erreurs dans ses calculs et d'ailleurs il le dit. On aurait pu les remettre dans leur cage et appliquer la loi, BelAid et Brahmi ont payé le prix de l'erreur de BCE. Où sont-ils les assassins de ces militants ? et pourtant BCE a promis de les identifier et les faire passer devant le tribunal, d'ailleurs il a promis beaucoup de choses pour gagner les élections mais a fait le contraire.

The Mirror
| 22-09-2017 19:19
Mon titre est une déclaration de Soumaya Ghanouchi, fille cadette de Rached Ghanouchi. La déclaration est citée dans un article de Jeune Afrique, intitulé « l'homme qui a trahi la révolution » (source : Jeune Afrique n°2719, février 2013).
Depuis donc 2013, Rached Ghanouchi est « l'homme qui a trahi la révolution ».
Qu'en est-il de 2017 alors ?
en 2017, le vocabulaire de Rached Ghanouchi est devenu trop sélectif.
Lorsque Ghanouchi parle, il ne prononce jamais le mot REVOLUTION, il sait qu'elle est morte, il sait qu'il l'a tuée.
Lorsque Ghanouchi parle, il ne prononce que deux mots : CONSENSUS et RECONCILIATION.

Ghanouchi est toujours visible, et lorsqu'il disparait de la circulation, c'est pour l'une ou l'autre des deux raisons ci-dessous :
' Faire le mort pour ne pas commenter les décisions controversées de Béji Caied Essebsi, que les onze million de tunisien ont commenté. on a vu cela avec l'égalité dans l'héritage et le mariage aux non musulmans,
' Partir clandestinement vers un pays arabe (EAU en l'occurrence) pour rencontrer un membre de la famille Ben Ali, en vu de préparer son retour au pays. Nous avons vécu cela avec the Ghanouchi-assisted come back of Slim Chiboub, et nous verrons très bientôt the Ghanouchi-assisted come back of Sakher El Matri.

Je reviens maintenant à l'article pour dire que je n'ai rien à dire à propos de ce pauvre Abdellatif Mekki, il me fait pitié celui-là.

Af
| 22-09-2017 18:10
Ces gentils frérots n'arrivent pas à se mettre d'accord sur au moins deux sujets.
Primo, ils sont encore et ils le seront toujours divisés sur la nature de leur raison d'être: les "da3aoui d'une part, dont le propre est de faire régner la terreur et d'autre part les adeptes de la pommade qui ne pensent qu'à se servir du "tawafo9".
Secundo, ils ont du mal à recadrer leur gourou qui multiplie dans l'impunité, les promenades à l'étranger et dont les plus récentes la belle réunion qu'il a eu avec un célèbre richissime libyen adepte de l'islamisme politique. Et aussi sa récente entrevue de bonne intention avec le gendre de son ancien bourreau.
Et dire que le karcher a été inventé pour nous aider à nous débarrasser de la racaille.