Le secrétaire d'État aux ressources hydrauliques et à la Pêche, Abdallah Rebhi, était l’invité de la matinale de Nessma TV, le 13 novembre 2017 pour faire part des dernières évolutions observées dans le sud tunisien, après la catastrophe qui a causé la mort de plusieurs personnes ce week-end.
« Il y a aujourd’hui un retour progressif à la normale. L’essentiel des précipitations a eu lieu entre Médenine et Gabès. Les chiffres des précipitations dont nous disposons sont les suivants : Mareth 221 mm, Médenine 191 mm, Toujane 219 mm, Zarzis 195 mm et Djerba 166 mm. Je donne ces chiffres pour montrer l’exceptionnalité de ses pluies. Nous n’avons pas vu ça depuis plus de 50 ans ! Les membres de la commission nationale de lutte contre les catastrophes naturelles ont donc été pris de cours. Nous avons néanmoins essayé de prévenir la population à travers des éditions météo exceptionnelles et les radios locales. Mais l’eau est pire que le feu ! » a-t-il dit.
Le secrétaire d’Etat a également révélé qu’il y a dans la région de Médenine 17 puits, « ils ont tous été coupés. A l’heure où je vous parle ils ont tous repris leur fonctionnement normal ! ».
Malgré le sinistre, une note positive a cependant été relevée par le responsable ministériel. « Ces pluies diluviennes ont engendré des crues exceptionnelles qui vont faire que l’an prochain, nous auront une production agricole exceptionnelle dans la région ». Il a aussi révélé qu’il a été décidé de démarrer la construction de plusieurs ouvrages pour retenir l’eau dont un barrage.
M. Rebhi a au final déploré les pertes en vies humaines et salué le courage de ceux qui ont été sur terrain pour sauver les citoyens des eaux et des coulées de boues, mettant en danger leurs propres vies.
Le secrétaire d'État aux ressources hydrauliques et à la Pêche, Abdallah Rebhi, était l’invité de la matinale de Nessma TV, le 13 novembre 2017 pour faire part des dernières évolutions observées dans le sud tunisien, après la catastrophe qui a causé la mort de plusieurs personnes ce week-end.
« Il y a aujourd’hui un retour progressif à la normale. L’essentiel des précipitations a eu lieu entre Médenine et Gabès. Les chiffres des précipitations dont nous disposons sont les suivants : Mareth 221 mm, Médenine 191 mm, Toujane 219 mm, Zarzis 195 mm et Djerba 166 mm. Je donne ces chiffres pour montrer l’exceptionnalité de ses pluies. Nous n’avons pas vu ça depuis plus de 50 ans ! Les membres de la commission nationale de lutte contre les catastrophes naturelles ont donc été pris de cours. Nous avons néanmoins essayé de prévenir la population à travers des éditions météo exceptionnelles et les radios locales. Mais l’eau est pire que le feu ! » a-t-il dit.
Le secrétaire d’Etat a également révélé qu’il y a dans la région de Médenine 17 puits, « ils ont tous été coupés. A l’heure où je vous parle ils ont tous repris leur fonctionnement normal ! ».
Malgré le sinistre, une note positive a cependant été relevée par le responsable ministériel. « Ces pluies diluviennes ont engendré des crues exceptionnelles qui vont faire que l’an prochain, nous auront une production agricole exceptionnelle dans la région ». Il a aussi révélé qu’il a été décidé de démarrer la construction de plusieurs ouvrages pour retenir l’eau dont un barrage.
M. Rebhi a au final déploré les pertes en vies humaines et salué le courage de ceux qui ont été sur terrain pour sauver les citoyens des eaux et des coulées de boues, mettant en danger leurs propres vies.
Tout le monde sait que l eau est pire que le feu depuis l antiquité. Mais dites nous sieur Rabhi qu est ce que votre ministère à fait pour les pauvres régions délaissées depuis l indépendance à ce jour. Rien, c est sur et certain : le nord ouest, le Kairouanais, le sud est et ouest etc...vos 24 CRDA et leur armada de cadres, d agents et de logistique doivent être consacrés aux vrais problèmes des citoyens dans toutes les régions du pays du égard des budgets colossaux mis à leur disposition.
il est vrai que l'homme peut parvenir à maîtriser le fléau du feu mais celui de l'eau est quasi impossible. La montée des eaux diluviennes ne datent d'aujourd'hui (cf la parabole biblique de l'Arche de Noë). Cependant, force est de reconnaître que de nos jours ce phénomène s'accentue gravement et se manifeste dans des régions inhabituelles, conséquence du réchauffement climatique et de la non prise en compte des effets induits notamment sur le plan d'occupation des sols (les permis de construire accordés en zones inondables, bétonnage à tout va, destruction des zones de rétention d'eau...)
Il faut bien calmer les gens et puisqu'ils sont stupides il faut leur donner des explications stupides.
Maintenant, la vérité est que:
1- Etat = réactivité 0 (depuis des
décennies)
2- De grandes réserves d'eau dans la nappe phréatique ne veut forcément pas dire une meilleure productivité l'an prochain (ce n'est pas le facteur unique d'une bonne récolte)
3- Trop de blabla (mensonges intentionnels dans 80% des cas) wil fi3l yjib mennou rabbi. (par exemple que c'est-il passé après la réunion de Chahed avec les directeurs des supermarchés? : les prix en dehors des supermarchés pour les produits agricoles sont 60% inférieurs (bien que eux aussi sont exorbitants).
L'Etat explique que c'est à cause du manque de pluie alors que l'intermédiaire paie l'agriculteur même pas le 1/3 du prix sur l'étalage.
Le gouvernement joue avec le feu et finira par se bruler.
Arrêtons de verser des larmes de crocodile sur les disparus qui ont tenté de traverser des oueds.
Les gens emportés par les eaux des oueds déchaînés, comme se fut le cas ces derniers jours au Sud, bien que leurs disparitions soient des plus déplorables, sont les seuls responsables de leur propre mort.
En effet nous savons tous et depuis la nuit des temps que l'Oued est Dieu dans son lit majeur et gare à celui qui se donne le droit de l'occuper ou de s'en approcher au moment de son passage.
Moralité de l'histoire il ne faut jamais se frotter à un Oued en crue.
"Ces pluies diluviennes ont engendré des crues exceptionnelles qui vont faire que l'an prochain, nous auront une production agricole exceptionnelle dans la région "
