alexametrics
vendredi 19 avril 2024
Heure de Tunis : 14:44
Dernières news
Zied Laâdhari : Une approche visant à encourager l'emploi des jeunes diplômés
05/03/2015 | 17:37
1 min
Zied Laâdhari : Une approche visant à encourager l'emploi des jeunes diplômés

 

Le ministre de la Formation professionnelle et de l’Emploi, Zied Laâdhari a déclaré, jeudi 5 mars 2015, en marge de sa participation à la Conférence sur l’investissement et l’entrepreneuriat, que son département tâchera de mettre à profit le prêt annoncé par la ministre américaine du Commerce.

En effet, Penny Pritzker, a affirmé que les USA ont décidé de verser la somme de 37 millions de dollars au profit des PME tunisiennes, en vue de la création de nouveaux postes d’emploi. Zied Laâdhari a ainsi indiqué que le ministère de la Formation professionnelle et de l’Emploi mettra en place une stratégie visant à concrétiser les investissements et à encourager l’emploi des jeunes diplômés, notamment dans les régions de l’intérieur de la Tunisie.

I.L.

05/03/2015 | 17:37
1 min
Suivez-nous
Commentaires (9) Commenter
Le chemin de l'enfer est pavé de bonnes intentions
Béhi
| 06-03-2015 16:42
Nos hommes d'affaires redoutent les recrutements, nos ouvriers ont l'une des plus basses productivité du monde, l'absentéisme est un fléau national, les grèves sont devenus le sport national par excellence.
la relation entre le patron et l'employé est déséquilibré. L'employé peut quitter son emploi dès qu'il le désire sans aucune contrainte à part un petit délai de préavis, le patron ne peut se défaire de son employé qu'à travers de lourdes pénalités et des mois de procédures prudhommesques coûteuses et démoralisantes à coup de mises en demeure et confrontations. Un contrat de travail est plus solide pour un employé qu'un contrat de mariage.
Les patrons résistent à employer, essaient par tous les moyens d'éviter d'avoir un syndicat dans leurs entreprises, Rechignent à augmenter la taille de leurs entreprises de peur d'avoir à recruter plus d'employés, délaissent l'industrie pour le commerce et les services pour éviter de recruter un grand nombre d'employés. D'autres utilisent des moyens détournés pour s'alléger de leurs ouvriers tels que les changement de sites.
Bref c'est une guéguerre permanente qui épuise les employés et les patrons.
Dans des pays comme les états unis ou comme l'Allemagne ou comme le Maroc d'ailleurs, la relation est souple et équilibré. Les patrons ne redoutent pas les recrutements, les employés trouvent facilement un emploi après leur licenciement.
La productivité, l'assiduité, l'assurance de retrouver un boulot, s'en retrouvent améliorés. Des assurances et des aides payent les salaires pendant les périodes de changement d'emplois.
Comme la France, nous faisons partis des derniers pays au monde qui cassent l'emploi par la réglementation de l'emploi rigide qui au départ vise à protéger les intérêts des employés, mais qui finit par détruire les emplois.
Boulot de rêve
Scarabée
| 06-03-2015 14:37
Qui consiste à redistribuer 37 millions de dollars.
Paraît-il aux jeunes diplômés des régions de l'intérieur. Les autres, ce n'est pas la peine.
Par contre, il ne faudra pas oublier les moins jeunes, pas forcément diplômés, et venant essentiellement de la galaxie des islamistes, pour compenser leurs années de prison, histoire de ne pas perdre les vielles habitudes.
voila le résultat du consensus
abouceltia
| 06-03-2015 12:05
un nadawi n'a rien à fo.... des chômeurs, sauf pour les faire voyager (sans retour) à travers la galaxy daesh.
si le nadawi était compétent cela se saurait remember les 3 ans de troika, y a des gens bien plus compétents que se communiquant islamo/sioniste
un ministère pourquoi faire.
jobseeker
| 05-03-2015 22:30
instituer un ministère qui se trouve superposé à 4 agences lesquelles ,réputées autonomes,peuvent être rattachées à n'importe quel département ministériel, ainsi on aurait fait l'économie d'un cabinet et de quelques chargés de mission
Encore des idées ces islamistes
DHEJ
| 05-03-2015 22:04
Après la réussite en créant des expatriés dans le terrorisme national et international, après la police //, que nous va péter cet islamiste démocrate?
Stratégie vous dites!
k.Hmida7806
| 05-03-2015 21:46
Si laadhari; vous qui etes nahdhawi de pure race, vous etes bien renseigné en emplois des jeunes et moins jeunes, en Syrie, au Mali...vous qui parlez encore de stratégie en la matière..des conseillers tels que ces ténébreux chourou, ellouze vous seront d'une grande aide... jamais, jamais je ne vous ferai confiance les pseudo-islamistes.
Approchez si vous en avez le culot !!
Stouko
| 05-03-2015 19:42
"Une approche"?! Oui
mais il faut s'approcher tout doucement, sur la pointe des pieds et en catimini, en lui faisant les yeux doux. Ensuite, l'embrasser sur le nez. Le caresser dans le sens du poil ; pas dans l'autre. Lui dire un mot très gentil du genre " i like your hair" !
Sinon, lui foutre la paix car, voyez-vous, un jeune diplômé en chomage depuis 20 ans, ça risque de faire BOOM !!
Ton bilan ????
HatemC
| 05-03-2015 19:34
tu seras jugé sur ton bilan .... pour le moment tu pagaies dans la choucroute ..... je n'ai rien à me mettre sous la dent ... 1 mois et 2 déclarations ..... Combien d'emplois as-tu créé ? Hatem Chaieb
Fifty minutes
The Mirror
| 05-03-2015 19:28
Selon des statistiques japonaises, le tunisien travaille 50 minutes par jour.
Lorsqu'un employé ne travaille que 50 mn par jour, tout en percevant un salaire de 8 heures de travail par jour, cela veut dire que l'employé consomme 9 fois plus qu'il n'en produise. Aucune économie au monde ne peut supporter ce gouffre. La situation étant ce qu'elle est, autant fermer la porte de l'embauche, et ne recruter un employé que pour remplacer un autre, qui vient d'être licencié, parce qu'il ne travaille que 50 mn par jour. Mais, pour appliquer cette politique de remise en valeur de la notion travail, il faut des HOMMES de CONVICTION. Le Gouvernement Assid ne comporte aucun homme de conviction, ils sont tous des peureux, des « laissez faire, laissez passer ». ils s'inquiètent surtout pour leur poste, et, au diable le pays qui s'écroule. La Tunisie emprunte de l'argent de la Banque Mondiale, non pas pour réaliser des projets, mais, hélas, pour payer les salaires des grévistes.