alexametrics
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Commentaires
takilas
Ti winou hak essirk. Où est-il passé le clown ?
a posté le 02-10-2020 à 14:20
Où est-il passé le farfelu"il frifcha" ?
Il s'est avéré que c'est un grand charognard.
Et les tunisiens le désignent par buzzeur. Issakheff miskin âamal el âar.
Au lieu de se défendre contre le procès de son emprisonnement imminent.
Mansour Lahyani
Bah... tant pis, pour cette fois... A une prochaine réédition !
a posté le 02-10-2020 à 10:30
L'agression de Ahmed Mouha n'est pas politique : seulement bassement criminelle ! Et doublement criminelle, si on tient compte du fait que cette affirmation des services de police met à bas toute la théorie vite mise en place par les cons disciples de Makhlouf pour gagner définitivement la sympathie de ceux qui sont rétifs à cet expert en kalach !
C'était pourtant une occasion unique, irremplaçable, de faire briller l'étoile des islamo-fascistes en butte aux attaques des mécréants !
Tant pis, pour cette fois... A une prochaine réédition !
aldo
==== je présente mes félicitations à markhoufelkarama ====
a posté le 01-10-2020 à 17:35
que ton collègue s'en est sorti , et SURTOUT POUR TOI je compatie à ta douleur et déception car cet acte horrible n'était pas comme tu le souhaitais une TENTATIVE D'ASSASSINAT POLITIQUE , je suis navré pour toi , il y aura peut-être d'autres occasions ***
bokbok
terroriste
a posté le 01-10-2020 à 17:04
Et donc pourquoi ghannouchi n'a pas ouvert le bec pour contre dire ce qu'il a dit dernièrement ?
Je ne sia spas comment ces gens, malhonnêtes rêve du "paradis et des hour elein" avec tous ces mensonges.
raison de plus pour dissoudre cette assemblé de clown
Abel Chater
Nous aurions souhaité le dixième de ce soutien de BN aux criminels "alcoolistes", aux autres criminels "islamistes", même en respect aux éthiques et à la déontologie du journalisme.
a posté le 01-10-2020 à 17:04
Je ne sais qui piège BN par une telle sottise, jusqu'à banaliser les crimes des uns, tout en gonflant les crimes des autres.
BN se réjouit en klaxonnant d'un rythme excessif, qu'il ne s'agit-là que d'un braquage apolitique. Il ne manque encore à BN, que d'appeler à la libération des braqueurs, parce que ces derniers n'ont braqué ni l'un de leurs collègues, ni leur Zalèma canif moussi. Ils n'ont braqué que l'un du parti d'Al-Karama.
Le parti Al-Karama, qui dit la vérité et qui bouge pour la réussite de la Révolution du 14 janvier 2011, ne fait pas l'affaire des Azlèms et de leurs Adhnèbs.
takilas
Vous êtes sûr.
a posté le 01-10-2020 à 16:42
Est-ce que le farfelu makhlouf est d'accord?
Celui qui lorsqu'il parle dit n'importe quoi, ne sait pas parler, avec un manque évident d'instruction et de culture générale. Il est vide. Il est farfelu et n'a aucun raisonnement.
D'ailleurs le papier qu'il a obtenu, est douteux surtout qu'il l'a obtenu dans une période floue. ya thnoubi ? Jamais il n'ose parler de droit ou de jurisprudence ; zâama mouche fausse copie et connivences.
Ghazi
Non, l'agression d'Ahmed Mouha EST BIEN MONTEE
a posté le 01-10-2020 à 16:27
Politique ? Montée par qui ? Pas de preuves pour le moment.
On finira par le savoir.

1/Les agresseurs : Spécialistes des braquages à l'arme blanche, connus de nos services de sécurités de Bizerte et Menzel Bourguiba, ils sont expérimentés.
2/Les aveux des agresseurs : Tirés par les cheveux, on dirait une histoire de "3ammi Radhouane", tellement trop simple que ça colle (Les sécuritaires savent ce que cette phrase veut dire).
Ils étaient ivres NON ? Il n'y a pas eu d'analyses de sang (!), pour déterminer si c'est de l'alcool ou de la drogue, cela change tout, or ce qui a été déclaré OFFICIELLEMENT c'est qu'ils étaient IVRES. D'après quoi ? On ignore.
3//Le rapport de la patrouille : Aussi, tirés par les cheveux, vu la complexité des ruelles de la ville ancienne de Bizerte et l'emplacement de la mosquée, c'est vraiment inconcevable qu'on puisse appréhendé l'un des agresseurs et laisser filer l'autre, pour le capturer après 10 heures de l'heure de l'agression.
4/Le circuit pénal que prend le dossier sent une odeur de legos et de puzzles (Montage et démontage).
5/Le nombre de personnes, qui ont voulus instrumentaliser ce dossier lorsque la victime était sous opération chirurgicale (Ils pensaient peut-être qu'elle aller succomber).

Une agression montée, et démontée lors des l'investigations du Mardi et Mercredi, pour en faire une simple agression.
Plusieurs autres indices démontrent que c'est du Photoshop judiciaire.
Rached Mahbouli
BN prend parti
a posté le 01-10-2020 à 16:18
On n'affirme pas des certitudes quand l'enquête ne fait que commencer.