Depuis 1959, l'article premier de la Constitution tunisienne le confirme noir sur blanc, que :« la Tunisie est un État libre, indépendant et souverain, l'Islam est sa religion, l'arabe sa langue et la République son régime».
Ça te rend jaloux, que j'utilise mon droit constitutionnel en m'identifiant Tunisien, Musulman?
Et lorsque j'ajoute que je suis un Arabe, ça te donne la rage?
Pourquoi tu m'interdis de le dire et tu m'impose de considérer un athée comme étant mon frère?
Je te jure par tous tes frères athées, juifs et homosexuels, qu'aucun d'entre vous n'entrera chez moi, ni qu'il boive un café avec moi. Seuls les Chrétiens sont proches de l'Islam de par l'éloge que le Coran réserve à leurs religieux. La bonté et la sincérité des Chrétiens n'existent ni chez les athées, ni chez les juifs.
C'est mon droit, non?
Et ton histoire de juifs et de Chrétiens avant quatorze siècles de l'Islam, tu peux la réciter aux autres, car toute la Tunisie d'avant mille ans, ne comptait même pas cent mille habitants. Qu'ils soient chrétiens, juifs, amazighs, barbares ou même chinois. Lorsqu'on leur ajoute la science exacte de l'Islam, que les femmes musulmanes n'épousent, ni juifs, ni Chrétiens, Il n'est plus possible de trouver une seule trace génétique de ceux dont tu insistes à les avoir pour tes ascendants, à moins que tes parents ne soient eux-mêmes des non-musulmans. Sinon, ne leur fais pas mal s'il te plaît, car ils doivent ne rêver que de leur pèlerinage à la Mecque, non pas à Monaco.
Et si tu insistes beaucoup à ce que nous les Tunisiens, nous fûmes occupés par les Arabes et par les Musulmans, j'insisterais de ma part à te demander, pourquoi aucun Tunisien n'avait profité des 75 ans de colonisation française chrétienne, pour «s'évader» de «l'occupation» arabe et musulmane de la Tunisie vers le Christianisme ou le Judaïsme et pourquoi, tous les Tunisiens chassèrent les occupants français par «Allahou Akbar», non pas par «Alléluia»?
Et à propos de ta phrase je cite : «normalement je ne dois même pas discuter avec vous», je te dirais, pourquoi donc tu te rabaisses avec toute cette humilité pour discuter avec moi, du moment que tu aies suffisamment de tes pairs pour jongler avec vos mensonges et vos intrigues?
Je te remercie pour tout ton abaissement des Pharaons, jusqu'à avoir discuté avec moi. Je t'embrasse les mains et les pieds, ô arrogant de mes bottes.