Une vidéo a largement circulé sur les réseaux sociaux. Publiée lundi 28 septembre 2020, elle montre une citoyenne lançant un appel pour dénoncer le fait que sa mère décédée, ait été abandonnée sur le parvis, par la morgue de l’hôpital Abderrahmen Mami, spécialement aménagé pour l’accueil des malades Covid-19 lors du confinement sanitaire général.
Se présentant comme étant du corps médical, la femme a pointé l’inhumanité du staff médical qui a refusé d’accepter la dépouille de sa mère filmée alors qu’elle était à même le sol près de l’ambulance des services municipaux qui l’a déposée et devant les locaux de la morgue. Et d’affirmer que le personnel était en train de la regarder par la fenêtre, sans bouger ou lui porter assistance, alors qu’elle vient de perdre sa mère et qu’elle ne pourra même pas l’enterrer et la pleurer, la défunte étant contaminée.
La dame a appelé dans ce cadre le gouvernement, le ministre de la Santé et les instances régionales à intervenir.
Des sources informées ont affirmé à Business News la saturation de l’hôpital et que, depuis, une solution a été trouvée.
On notera que ce n’est pas la première fois que l’hôpital est pointé du doigt. Il y a de cela dix jours, les agents du Samu dénonçaient dans une vidéo similaire le refus de prendre en charge un malade covid+ sous le prétexte d’absence de lits de réanimation.
Notons qu’il y a une recrudescence de la pandémie en Tunisie. Mardi 29 septembre, le ministère de la Santé a annoncé le plus lourd bilan humain depuis le début de la propagation du Covid-19. 32 décès ont été recensés en 48 heures. Pour les 27 et 28 septembre courant, 1.291 nouveaux cas ont été comptabilisés. Le bilan total des infectés a atteint 17.405 contaminations au Covid-19.
I.N
Elles nous bombardent depuis un petit moment et ce n'est que le début du processus.
L'étape suivante est pour très bientôt.
La patience est une vertu.
Salutations
Ces foutus kwenjya ont juré de détruire la Tunisie et ils s y appliquent pour le faire. Me yinfaa fikoum Ken Ben Ali et Bourguiba intouma il kwenjya : la prison et l exile. Les kwenjya sont des rats d égouts ils sont habitués à vivre dans la saleté
Le triumvirat, avec à sa tête des nuées de criquets pèlerins guidées par les khriji, abou et marzougui, entama dès les premières secondes de sa gouvernance, le déclin d'une petite nation qui essayait tant bien que mal de se frayer un chemin dans un monde sans pitié.
En à peine quelques mois, ils ravagèrent tous les acquis gagnés depuis l'indépendance, bâtis principalement par l'inimitable et l'irremplaçable Habib BOURGUIBA.
Je vous laisse juger par vous même tous les "bienfaits" des fourberies de ceux qui promirent aux tunisiens en 2011, une vie bien meilleure et une prospérité sans égale.
Toute ma compassion à cette femme ayant vécu cette mésaventure traumatisant .
La minorité des tunisiens qui ont votés pour les khwanjias portent la responsabilité du désastre malgré que la fraude électorale a joué beaucoup dans tout les scrutins depuis 2011.
BN a publié mon com, comme il aurait pu ne pas le publier, donc je n'ai tien à rajouter, rien à commenter et si vous sentez visé ?
Y a comme comme 1 pb et chacun d'entre nous "TOUS" doit faire 1 travail de réflexion!!
Les 'cas' sont ceux testés positifs. Or le test pcr est tout sauf fiable pour detecter la maladie. Il detecte des fragments de virus. On peut etre testé 'positif' en n'etant ni contagieux ni malade.
De plus, plus vous testerez plus vous trouverez de cas, et c'est normal. Si vous avez été en contact avec le virus, même 3 mois apres, vous avez des residus qui circulent dans votre corps sans soucis. Donc plus le temps passe et plus il y a de tests disponibles, et plus le temps passe et plus il y a eu des gens en contact (et plus dutout malades ou jamais ete malades, mais NON contagieux)... c'est sûr que le nombre de 'cas' augmente !
Cessons d'agiter des chiffres sans aucun sens et concentrons nous sur
1. Organisation des soins (covid et non covid)
2. Mettre en place des programmes de prevention des maladies car ce virus est juste un premier pas vers les autres. Il faut encourager le sport, les activites de plein air, eduquer à une bonne hygiene alimentaire et au sommeil reparateur.
A bon entendeur, salut !
Voilà ce qu'il m'a dit cet été.
Vous publiez des com de ce niveau et vous savez ce qu'on dit à l'école de l'éducation des enfants ?
Non ?
Je vous réponds:
L'éducation de tous les enfants Tunisiens(nes) est à l'image
de l'éducation reçue par le parent!!!!
Il est vrai, que dans votre pays peuplé de:
Terroristes
D'islamistes
Et de collabos de tout genre...
Vous aurez du filtré ces com "Martiens" parc que les Martiens sont plus intelligents que "TOUS" les Zarabes et Muslims réunis.
Je n'ai aucune affinité avec ces gens là qui gagnent du fric sur le dos "d'1 cercueil d'1 Tunisienne rejetée" par sa République (s'il existe encore 1)..
Pauvre de vous, la Tunisie est éternelle su vous ne le saviez pas!
https://www.tunisiefocus.com/politique/excedee-la-population-de-beni-khiar-brandit-la-photo-de-feu-zine-al-abidine-ben-ali-sur-la-place-publique-237690/
Tout ce que vit actuellement la Tunisie de malheur depuis le départ du Docteur Abdellatif Mekki, du ministère de la Santé, est la faute de la vengeance criminelle de l'escroc Elyes Fakhfakh.
Je ne comprends pas, pourquoi l'actuel premier ministre Hichem Mechichi, ne restitue-t-il pas le Docteur Abdellatif Mekki à la tête du ministère de la Santé, pour qu'il puisse continuer le merveilleux travail dont il fit preuve avant son limogeage abusif.
Par exemple, une ministre de l'enseignement supérieur (actuellement sur watania 1) qui ne sait parler correctement l'arabe ni le français.
Elle discute comme une employée d'administration.
Des mesures d'hygiène de base toujours nécessaires.
En principe, un cadavre peut toujours être porteur d'agents pathogènes et donc potentiellement infectieux, de sorte que des mesures d'hygiène générales sont toujours nécessaires. Etant donné que les voies d'excrétion habituelles du virus du SRAS-CoV-2, telles que la toux ou l'expiration, ne sont plus présentes après le décès d'une personne, le cadavre d'une personne décédée du COVID-19 ne présente pas en soi un risque d'infection plus élevé que dans le cas de la grippe.