Le président de la République, Béji Caïd s’est réuni, aujourd’hui vendredi 9 octobre 2015 au palais de Carthage avec l’équipe de réflexion économique qu’il a chargé d’élaborer un rapport sur le projet de loi de la réconciliation économique et financière.
Par ailleurs, Moez Joudi, membre de cette équipe, a indiqué dans une déclaration aux médias que l’équipe a présenté un rapport sur les répercussions positives attendues du projet de loi consistant à fournir un climat propice aux investissements nationaux et étrangers, et à soutenir l’action et le rendement de l’administration.
Et d’ajouter que ledit rapport comporte également des propositions relatives aux dispositions portant sur les infractions de change, tout en mettant l’accent sur la nécessité d’accompagner le projet en question par des réformes économiques fondamentales.
S.H
Un rapport sur les répercussions du projet de réconciliation économique, présenté au chef de l'Etat
Le président de la République, Béji Caïd s’est réuni, aujourd’hui vendredi 9 octobre 2015 au palais de Carthage avec l’équipe de réflexion économique qu’il a chargé d’élaborer un rapport sur le projet de loi de la réconciliation économique et financière.
Par ailleurs, Moez Joudi, membre de cette équipe, a indiqué dans une déclaration aux médias que l’équipe a présenté un rapport sur les répercussions positives attendues du projet de loi consistant à fournir un climat propice aux investissements nationaux et étrangers, et à soutenir l’action et le rendement de l’administration.
Et d’ajouter que ledit rapport comporte également des propositions relatives aux dispositions portant sur les infractions de change, tout en mettant l’accent sur la nécessité d’accompagner le projet en question par des réformes économiques fondamentales.
Merci, Madame ou Monsieur, pour l'interet que vous avez porte a mes commentaires, et en particulier a celui ou vous avez justement detecte plusieurs fautes.
J'ai ecrit a la hate et ne me suis pas relue...Quant aux accents et aux cedilles de la langue francaise, j'ai bien peur que ce ne soit ni la premiere, ni la derniere fois ou vous allez remarquez leur absence dans mes ecrits. La raison en est que, tout simplement, je n'utilise pas un clavier francais.
Mes excuses aupres de vous et tous les lecteurs de ce site, si cela cause le moindre agacement.
En vous remerciant
Je corrige vos fautes:
"Veuillez reposer" est non pas " Veuillez reposez"
"compatriote" est non pas " compatrite"
"posté" est non pas "poste"
" nous a offerte " est non pas " nous a offert"
"réflexions" est non pas " reflexions"
" façon " est non pas "facon "
" développement " est non pas "developpement "
" Respectueuses" est non pas " Respecteuses"
Je ne vous ai jamais vu faire autant de fautes. J'ai l'impression qu'il y a plusieurs "Kairouan" (toute une équipe) sur ce forum !
Veuillez reposez votre question a notre compatrite @Dr. Jamel Tazarki; c'est lui qui nous a poste, et la citation de Karl Marx, et le lien pour la chanson qu'il nous a offert.
Pour ma part, mon textes et mes reflexions ne sont en aucune facon un developpement a partir de citations de quiconque.
Mon ami Kairouan montre mois un état qui appliqué la loi de Karl Marx est triomphé impossible il me semble que cette loi est virtuelle que réelle je vous remerciez de la chanson que vous nous proposez :
Très Chers Compatriotes,
à vous tous cette très belle chanson de Jean-Jacques Goldman: https://www.youtube.com/watch?v=-eR6v2zcy4c
@Kairouan: merci pour le texte ci-dessous qui contient un fond de vérité.
Je vous donne une citation de Karl Marx: "toute classe qui aspire à la domination doit conquérir d'abord le pouvoir politique pour représenter à son tour son intérêt propre comme étant l'intérêt général."
Bon, Il est temps d'aller à la piscine olympique pour une heure de nation.
Permettez-moi de vous reposter cette reflecxion faite en Septembre 2014 sur le mealange des genres entre la politique et le monde des affaires en Tunisie **:
De l'Entreprenariat en Politique ou de la Politique Entreprenariale?
Kairouan |02-09-2014 11:09
@ Mohamed Salah
Cher Monsieur
Votre intervention met l'accent sur un aspect tres PERTINENT, car capital pour une juste comprehension - et une nette disticntion - entre deux notions ; a savoir, d'une part la place de l'entrepreneur dans les 'Institutions Physiques' d'un pays (Gouvernement, Parlements, Entreprises, Incubateurs, Societe de savoir, Centres d'influence(sic), etc..) ; et le role de l'entreprenariat (dans son acception generale) dans les 'Institutions Sociales ' d'un Etat (i.e. ses Politiques, Programmes de developpement, Mesures, Regulations, etc.).
Effectivement, ce n'est pas en « placant » les Entrepreneurs au centre du pouvoir politique qu'on va necesserement diffuser ou dynamiser l'esprit entreprenarial dans la societe Tunisienne ou - en consequence - booster l'industrie du pays . Ces objectifs - qui sont peut etre sincerement recherches par nos partis politiques exigent - non pas la nomination en tetes de listes electorales d'hommes d'affaires - mais bel et bien la definition de politiques industrielles et developmentales sur le moyen terme. Des politiques qui se font en consultation - oui - (ce que vous appelez passerelles) - avec ces Hommes d'Affaires, en pleine action sur le terrain, menageant leurs ressources (naturelles, humaines, technologiques, etc), leurs opportunites, et leurs risques.
C'est comme ca - du milieu qui est le sien et non de sur un siege au parlement - que l'Entrepreneur peut eclairer les prises de decision et aider a definir les mesures adequates et strategiques (prioritarisation, investissement, approvisionnement, promotion technologique, R&D, formation professionnelle, etc ) a meme d'assurer un developpment industriel.
Un entrepreneur « politiquement utile et bon », est celui qui REPRESENTE - non pas le peuple( !)- mais, avec focus et precision technique, les interets de son secteur d'acitivites - qui est naturellement en relation avec plein d'autres secteurs - tous elements d'un system national qui se veut innovant. Cette representation peut entre autres se faire a travers d'autres 'Institutions Physiques ' ou l'entrepreneur peut sieger, en l'occurrence les lobbies et les centres d'influence (sic), les ordres de professions...
Par ailleurs, et pour finir cette petite reflexion, je trouve inquietante cette evolution [et sa defence par les journalistes**] de la place du Monde des affaires dans les cercles du pouvoir en Tunisie. Alors que les choses devraient evoluer dans le sens mentionne ci-dessus (comme aussi dans vos interventions, indeed we're not reinventing the wheel here!), on assiste a un amalgame [devrais-je dire NOYAUTAGE?] entre les roles de differents acteurs (agents) politiques, economiques, et sociaux dans le processus de developpement, et la bonne gouvernance du pays.
C'est qu'apres une "proximite" pas tout a fait saine - par le passe - entre les hauts cadres de la bureaucratie, ou ceux du parti au pouvoir [en l'occurrence le RCD avant la revolution], d'un cote, avec les grandes personnalites de la bourgeoisie industrielle en Tunisie, de l'autre*, on assiste a une transformation qui consiste a promouvor cette meme bougeoisie, jusqu'à en en faire l'Elite Politique Dirigeante [qui va occuper eventuellement des positions cles dans les appareils de l'etat - comme dans le parti au pouvoir ], cloisionnant ainsi - et encore plus - les 'couloirs d'action politique' en Tunisie, tout en eloignant l'Homme d'affaire ou l'Entrepreneur de son milieu naturel et reduisant son impact developpemental.
La question que les journalistes [et notament M. Bahloul**] devraient se poser ici, est de savoir de quelle representation parlons-nous vraiment?
En vous remerciant
Bien a vous,
Imen
* Cette reflexion prend en consideration une description des cercles de pouvoir en Tunisie du temps de Ben Ali ( Cf. article de Steffen Erdle, « Economic Transformation and Political Restoration ». Volker Perthes (Edt) Arab Elites: Negotiating the Politics of Change. Lynne Rienner Publishers (2004)
** Ce commentaire a ete poste a l'occasion de l'article de Nizar Behloul: Les Tunisiens ont besoin de représentants et non de représentatifs publie sur BN le 1er Sept 2014 [http://www.businessnews.com.tn/details_article.php?temp=1&t=523&a=49072]
J'ai eu l'occasion de lire l'article que vous avez mentionne ainsi que votre commentaire la dessus. Je partage vos craintes quand a l'eventuelle existence de "melange" d'interets. Mais je pense que si ceci devait se produire, alors ca releverait plus d'un esprit "clienteliste", ou de favoritisme, entre les signataires du contrat, plutot que de par les modalites memes de ce partenariat, ou par les marges de manoeuvre "techniques" (procedures juridiques ou technologie de la communication) des uns et des autres au sein de leur milieux respectifs.
Or dans le monde politique les marges de manoeuvre sont importantes, car elles peuvent etre faconnees par ces memes hommes/femmes politiques.
