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Tunisie - Samir Ben Amor persiste et signe dans son démenti du Maghreb
14/11/2012 | 1
min
Tunisie - Samir Ben Amor persiste et signe dans son démenti du Maghreb
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Intervenant sur les ondes de Mosaïque Fm, aujourd’hui, mercredi 14 novembre 2012, Samir Ben Amor, conseiller à la présidence de la République, député et dirigeant au CPR, revient sur l’interview accordée au « Maghreb », samedi 10 novembre, et accuse le journal d’avoir déformé ses propos. Face à l’enregistrement de cet entretien, auquel le journaliste de Mosaïque Fm le confronte, M. Ben Amor, accuse également ce dernier de déformer ses propos en « les sortant de leur contexte » et affirme que cet enregistrement « ne fait que confirmer que ses déclarations sont différentes de celles publiées par le journal ».

 

Selon les déclarations de Samir Ben Amor à Mosaïque Fm, ce dernier précise que la raison pour laquelle il a affirmé « ne pas avoir eu recours à une campagne électorale » est qu’il n’est « nullement intéressé par les postes de pouvoir », information qui aurait été, selon lui, occultée dans l’article du Maghreb.

 

Rappelons que dans l’enregistrement rendu public par « Le Maghreb », on entend bien Samir Ben Amor déclarer « j’ai payé cher le fait de ne pas avoir fait de campagne électorale » et ajouter « moi-même je n’ai pas eu recours à des milices, ni soudoyé des gens pour voter pour moi ou lancé une campagne sur Facebook pour gagner en popularité ».  A la réponse de la journaliste qui lui a demandé « si certains membres du CPR ont eu recours à ce genre de pratiques », M. Ben Amor refuse de donner des noms, mais ne nie pas pour autant l’existence de telles pratiques au sein de son parti.

 

Aujourd’hui, l’homme politique affirme « s’être peut-être mal exprimé » et n’exclut pas la possibilité que « la journaliste ait mal compris ses propos ». Il a tenu à préciser qu’il n’existe pas de telles pratiques au sein du CPR, mais que ceci était possible dans d’autres partis, et déclare que des divergences d’opinions existent entre les membres du Congrès mais qu’il n’y avait pas de réels conflits et que ses propos n’ont pas entaché ses « bonnes relations » avec ses collègues.

 

Synda T.


 

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14/11/2012 | 1
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