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Syndicat de l'Enseignement de base : des protestations régionales et une grève générale en vue
29/08/2016 | 19:06
1 min
Syndicat de l'Enseignement de base : des protestations régionales et une grève générale en vue

 

Le syndicat général de l’enseignement de base relavant de l’UGTT compte organiser des rassemblements de protestation devant les délégations régionales de l’Enseignement le 1er  septembre 2016. « Une journée de colère nationale » est, également, prévue le 5 septembre 2016.

 

Le secrétaire général adjoint du syndicat Taher Dhaker, a affirmé dans une déclaration à l’agence TAP, aujourd’hui, lundi 29 Août 2016, que ses protestations sont dues à la non activation de plusieurs accords par les autorités de tutelle.

 

Taher Dhaker a ajouté que le ministère n’a pas respecté l’accord signé le 5 décembre 2015, relatif principalement à la régularisation de la situation des instituteurs remplaçants sur une période s’échelonnant de 4 à 5 ans. « Si le ministère renonce à l’application de cet accord, une grève générale dans toutes les écoles de la Tunisie sera observée le5 octobre 2016 ». Par ailleurs, il a appelé le ministère à respecter cet accord et à appliquer ses différentes clauses afin d’éviter des éventuelles tensions, notamment, à l’approche de la rentrée scolaire.

 

S.H

29/08/2016 | 19:06
1 min
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Commentaires (21)

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Tunisienne
| 30-08-2016 21:43
Et jusqu'à quand le cercle vicieux :


Revendications sans travail (ou sans suffisamment de travail) et sans production/ productivité;

Gouvernements qui cèdent pour calmer le jeu et permettre la reprise du travail;

Surendettement de l'État pour payer les salaires et les augmentations de salaires, alors que la production et la productivité ne sont pas au rendez-vous ?

salahtataouine
| 30-08-2016 19:58
Les anti syndicalistes primaires sautent sur n importe quelle occasion pour taper sur le monde syndicale (aidé par une presse plus antisyndicale que moi tu meurs !!)
Un etat qui n honore pas ses signatures n est plus un etat
Le gouv se precipite pour aller nous endetter pour payer "ses cranciers" (fmi et autres) ...et se lamente dès qu une categorie sociale reclame le respect d un accord conclu
Ceux qui commentent n ont rien compris ..ils sont "orientés" vers une manip qu ils gobent , heureux comme un bolt franchissant le ligne des 100 m &vec moins de 10 s
Dormez ...peuple d ignorants

nazou
| 30-08-2016 19:20
comprendre un simple communiqué ?!!!

Vous devriez mettre un bonhomme ou une bonne femme qui parle le langage des signes !!!
Et peut-être, c'est pas sur zeeda !!!
Qu'ils comprendront qu'un ministre de tutelle avait SIGNÉ UN ACCORD en 2015 avec le syndicat des enseignants !

Ce que le syndicat réclame c'est le respect de CET ACCORD !!!!

HOW !!!!FAUT PAS TAPPER SUR L'UGTT JUSTE POUR TAPPER !!!
Quant ils ont raison, ils ont raison !!!

Tunisienne
| 30-08-2016 19:06
Merci beaucoup, cher compatriote !

J'en profite pour vous dire que je souscris sans réserves à vos positions sur les autres sujets.

Bonne continuation !

SAM53
| 30-08-2016 17:42
Bravo à "Tunisienne" tout a été dit comme il le faut.

el manchou
| 30-08-2016 15:45
Les enseignants du public s'en fichent des grèves, avec l'argent des cours particuliers ils mettent leurs enfants dans les écoles privées.

Tunisienne
| 30-08-2016 15:34
en associant l'UGTT à la constitution du Gouvernement d'Union nationale (pour, pensait-il, avoir la paix et du répit).

Résultat des courses :

- Éviction de certains Ministres juste parce qu'ils avaient tenu tête à l'UGTT, ses responsables et ses adhérents;

- Approbation de la nouvelle équipe gouvernementale jugée assez malléable et non offensive;

- l'UGTT en sort renforcée (comme interlocuteur incontournable pouvant faire et défaire les gouvernements et avec le sentiment et l'image d'une plus grande puissance pouvant tout se permettre impunément);

- Ses responsables sectoriels et régionaux et ses adhérents deviennent plus arrogants, plus gourmands et plus incontrôlables !

Kelmet Hak
| 30-08-2016 09:38
Les enseignants du primaire ont entamé la dernière année scolaire avec une grève qui a faussé l'enthousiasme des élèves et de leurs parents.les enseignants du primaire ont déjà eu droit à trois promotions exceptionnelles, en vertu d'un accord conclu en 2014, ce dit accord entrera en vigueur à présent et se prolongera jusqu'à 2019. Donc tous les enseignants quel que soit leurs niveau, assiduité et productivité ont eu d'une façon équitable trois promotions exceptionnelles en vertu de cette décision. D'où d'ici 2019 les enseignants du primaire n'ont rien à craindre quant à leur plan de carrière déjà garanti.
C'est incroyable, comment un employé peut être promu et gratifié pour un travail qu'il n'a pas encore fait ?
Il y a une crise de VALEURES en Tunisie! et dans le but de redonner au travail sa valeure, il est recommandé que le gouvernement révise les méthodes de promotion dans la fonction publique. Les passages automatique de grades aprés un nombre définis d'années ne peut en aucun cas encourager les fonctionnaires a effectuer un effort supplémentaire. La lenteur des administrations est une des conséquences du système adopté ou les employés sont traité en masse et ou l'effort personnel n'est pas gratifié à sa juste valeure. Il est impératif d'instaurer un nouveau système qui favorise ceux qui se détachent du lot et qui sont capable de fournir un plus dans leurs institution ou admiministration. Des horizons doivent s'ouvrir aux éléments à productivité exceptionnelle mis à part leur age et leur accension sera un catalyseur de compétitivité avec les autres employés. L'administration a besoin d'une redynamisation et ceci permettera normalement de faire une sélection des employé ce qui aidera les responsables à restructurer et à réorganiser dans le but d'améliorer la productivité de leurs institutions. Il faut donner de l'importance au mérite et d'ou les promotions sont attribuées aux employés les plus compétants mis à part leur ancienneté et leur age.Le poste et le travail doit être un cadeau qu'on gagne chaque jour et non pas « un clou dans un mur » comme le décrivent les Tunisiens dans leur langage courant.

Les syndicats, institutions respectées pour leur vénération de la valeur du travail et leur défense des droits des travailleurs sont appelé à reprendre leur mission et à inciter les Tunisiens à travailler de plus en plus pour se sauver sachant que le travail est notre seul salut.

Tuesday
| 30-08-2016 08:57
"« Si le ministère renonce à l'application de cet accord, une grève générale dans toutes les écoles de la Tunisie sera observée le5 octobre 2016 »,

Va le dire à nos trois soldats tués hier sur le champs de bataille, et qui se sont sacrifiés pour le pays, et ces vermines qui crient pour les miettes alors que la Tunisie souffre, et a besoin de calme.

J'espère qu'un jour ces minables de syndicalistes ne trouveront personne pour assurer leur sécurité après avoir mené le pays au chaos.

Du temps de Ben Ali, il pissaient dans leurs pantalons, et maintenant "wallaou siouda bougulada".

"Allah la trabhék ya ben Ali", vous avez désérté et tout lâché d'un seul coup, et laissé "man habba wa dabba ykim fiha lathèn!"

C'est malheureux, c'est malheureux, c'est malheureux!

J'éspère qu'un jours les militaires finiront par prendre le pouvoir pour instaurer la discipline.
On est un peuple qui doit etre mené par le bâton, parce que "él motrobi...mén 3and rabbi, ma tkhaféch 3lih", pour le reste, chassez le naturel..il revient au galop!

HASSO
| 30-08-2016 02:20
Tôt ou tard le gouvernement serait en mesure d'affronter l'UGTT. Les autres gouvernements ont été obligés de s'incliner aux exigences de ce dernier en espérant gagner la paix sociale et éviter ainsi un éventuel affrontement. Résultat, un alourdissement des charges salariales de l'Etat ( depuis 2012, les salaires des fonctionnaires ont augmenté de plus de 90% ayant provoqué entre autre les problèmes de la finance publique) sans aucune trêve sociale.